Anthony Bamford — Wikipédia
Membre de la Chambre des lords | |
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Naissance | |
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Nom de naissance | Anthony Paul Bamford |
Surnom | Lord Bamford |
Nationalité | britannique |
Formation | Ampleforth College (en) |
Activités | |
Père | Joseph Cyril Bamford (en) |
Mère | Marjorie Griffin (d) |
Conjoint | Carole née Gray Whitt (de uxoris baronne Bamford) |
Enfants |
Parti politique | |
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Distinctions |
Anthony Paul Bamford (né le ) est un parlementaire et homme d'affaires britannique, président de JCB excavators.
Biographie
[modifier | modifier le code]Bamford succède à son père, Joseph Cyril Bamford, le fondateur de JCB, en tant que chef depuis 1975.
Nommé Knight Bachelor[1] en 1990, il est élevé baron à vie en 2013 ; en France il est accordé chevalier dans l'ordre national du Mérite aussi bien que commandeur dans l'ordre du Mérite de la République italienne [2]. La reine Élisabeth II le nomme, en 2002, Deputy Lieutenant pour le Staffordshire[3].
Le journal américain Forbes estime sa fortune à 4,2 milliards d'USD en [4].
Bamford a fait part de sa volonté d'acquérir le groupe « Jaguar » en [5], mais s'est finalement rétracté quand il a appris que la vente incluait la marque « Land Rover ».
Il est aussi réputé comme collectionneur de Ferrari vintage, et est notamment le seul individu au monde à posséder deux Ferrari 250 GTO[6].
Depuis 1997, Anthony Bamford est propriétaire du Château Léoube, un domaine viticole français de renom situé entre La Londe-les-Maures et Bormes-les-Mimosas non loin du fort de Brégançon dont la production se résume en grande partie aux vins blancs et aux vins rosés.
Il est marié avec issu à Carole née Gray Whitt (puis The Lady Bamford OBE).
Politique
[modifier | modifier le code]Bamford est un fervent contributeur du Parti conservateur ayant fait une donation d'un million de livres sterling avant les élections de 2010[7]. Il est aussi proche du prince Charles de Galles[8].
Le , il est créé baron à vie dans la pairie du Royaume-Uni, en tant que baron Bamford, pour faire son entrée dans la Chambre des lords[9]. Il démissionne de la chambre des Lords le .
Il soutient financièrement la campagne en faveur du Brexit lors du référendum de 2016[10].
Il est engagé au sein de l'Atlas Network, un réseau américano-britannique fédérant des centaines de think tanks sur des bases libertariennes, eurosceptiques, atlantistes et climatosceptiques[10].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- The London Gazette, no 52543 (28 mai 1991), p. 8207. lien.
- « Anthony Paul Bamford », Debrett's Peerage. [http://www.debretts.com/people-of-today/profile/896/Anthony-Paul-Bamford-BAMFORD lien]. Consulté février 2015.
- www.staffordshire.gov.uk
- www.forbes.com
- Forbes Magazine
- www.lefigaro.fr
- www.lesechos.fr
- www.getnetworth.com
- www.parliament.uk
- Marlène Benquet et Théo Bourgeron, « Le libertarianisme autoritaire comme horizon politique », sur Contretemps,
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- www.jcb.com
- www.burkespeerage.com