Blancfossé — Wikipédia

Blancfossé
Blancfossé
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise picarde
Maire
Mandat
Guillaume Saguez
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60075
Démographie
Population
municipale
142 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 32″ nord, 2° 11′ 47″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 172 m
Superficie 5,16 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Blancfossé
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Blancfossé
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Blancfossé
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Blancfossé

Blancfossé est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]

Blancfossé est un village rural picard situé à 27 km au nord de Beauvais, à la même distance au sud d'Amiens et à l'ouest de Montdidier (Somme).

Le territoire communal est est tangenté à l'est par l'autoroute A16, dont l'accès le plus proche est la sortie no 15 Hardivillers.

La commune est traversée par le sentier de grande randonnée GR 125.

Au début du XIXe siècle, Blancfossé était décrit comme ayant un territoire « de médiocre étendue, (...) coupé par plusieurs ravins qui s'ouvrent dans un vallon principal courant de Corneille vers Croissy[1] »

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Chapelle Saint-Rémi[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Blancfossé[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 745 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Blancfossé est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,1 %), prairies (8,2 %), forêts (6 %), zones urbanisées (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 66, alors qu'il était de 62 en 2013 et de 65 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 83,2 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 12,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,5 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Blancfossé en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 55,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Blancfossé en 2018.
Typologie Blancfossé[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 83,2 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 12,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 615, 616, 6109 et 6122 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Le village était dénommé Album Fossatum (« fossé blanc ») en 1162[14].

Selon la légende, ce nom est lié au fossé de défense qu'auraient creusés les habitants à la suite des invasions normandes qui ont détruit au IXe siècle le village de Saint-Rémy, construit sur l'actuel cimetière de Blancfossé. Ce Riou ou Fossé blanc donnait également accès à une muche, souterrain refuge d'une soixantaine de mètres de long ayant de chaque côté plusieurs chambres ou cellules. Le passage, protégé par une porte aux gonds de fer, puis comblé, n'a été redécouvert qu'à la fin du XVIIIe siècle[15]. Aujourd'hui, « Le Fossé Blanc » est le nom d'un chemin creux à l'est du village[16].

Louis Graves indiquait en 1831 « selon la tradition locale, le village existait très-anciennement dans la vallée Saint-Remy, sur le chemin de Croissy, au lieu où est encore le cimetière. On a souvent trouvé des caves et des vestiges incontestables de construction sur l'emplacement.
Il y a à l'extrémité orientale du village un fort ou souterrain consistant en un boyau long de soixante mètres , ayant sur chaque côté dix,huit chambres ou cellules profondes de huit mètres sur deux de hauteur et de largeur. Ce fort, dont l'entrée avait été comblée, fut découvert il y a cinquante ans; il avait une porte à gonds de fer; on communiquait de son ouverture vers le bois qui couronne le coteau voisin par un chemin creux qu'on nomme encore le Riou ou Fossé blanc. On prétend qu'après ta destruction entière du village de Saint-Remy par les. Normands, les hahitans percèrent le fort dent il s'agit pour se soustraire à de nouveaux désastres , et ils se ménagèrent par le chemin qui était d'ailleurs couvert de bois, le moyen de se réfugier dans la forêt voisine. On bâtit plus tard le village actuel qui reçut et a conservé le nom du chemin creusé dans la pierre blanche[1] ».

Sous l'Ancien Régime, Blancfossé était compris dans.la châtellenie de Breteuil[1].

En 1783, un incendie détrruit la plus grande part du village et l'église, reconstruite vers 1786[1].

En 1831, une partie de l'ancien château, petite construction en briques, subsistait encore ainsi que la prison seigneuriale. La population était constituée essentiellement d'agriculteurs et de fabricants d'étoffes en laine, et ka commune comptait un moulin à vent et des carrières[1].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crèvecœur-le-Grand[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[18], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[19], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[20].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[21], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [22].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1962   J. H. Douchet    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001[24] juillet 2020 Gilbert Debraine[25] PRG  
juillet 2020[26] En cours
(au 2 décembre 2020)
Guillaume Saguez    

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 142 habitants[Note 2], en stagnation par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
446380516488524548534510505
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
506504489453429336325325292
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
277256234204202163129144139
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
13513311511891119135135132
2015 2020 2021 - - - - - -
142142142------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 78 hommes pour 67 femmes, soit un taux de 53,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,5 
5,3 
75-89 ans
9,1 
14,5 
60-74 ans
12,1 
15,8 
45-59 ans
19,7 
21,1 
30-44 ans
13,6 
19,7 
15-29 ans
24,2 
23,7 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Saint-Denis, bâtie en pierre crayeuse d'excellente qualité et datant probablement du XVIIe siècle, est constituée d'une simple nef, avec clocher en charpente au-dessus de l'entrée, et d'un chœur pentagonal[32].
  • La chapelle funéraire Saint-Rémi située au milieu du cimetière, se trouve sensiblement à l'emplacement de la première église de Blancfossé[32].
  • Puits ancien.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Blancfossé » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. Insee, « Métadonnées de la commune de Blancfossé ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blancfossé » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Blancfossé - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Blancfossé - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crèvecoeur, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 30-31, sur Google Books.
  2. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Blancfossé et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Blancfossé », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 61.
  15. J. B., « Ces villages aux noms insolites : Blancfossé, un nom tracé dans la craie », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  16. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 140.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  19. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  20. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  21. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  22. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  23. « Les maires de Blancfossé », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Bonhomme picard du 26 mars 2008
  25. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 15 (ISSN 1144-5092).
  26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Blancfossé (60075) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. a et b Dominique Vermand, « Église paroissiale Saint-Denis de Blancfossé », Diocèse d'Amiens, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).