Bohars — Wikipédia

Bohars
Bohars
La mairie.
Blason de Bohars
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Brest
Intercommunalité Brest Métropole
Maire
Mandat
Armel Gourvil
2020-2026
Code postal 29820
Code commune 29011
Démographie
Gentilé Boharsiens
Population
municipale
3 615 hab. (2021)
Densité 497 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 49″ nord, 4° 30′ 44″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 93 m
Superficie 7,27 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Brest
(banlieue)
Aire d'attraction Brest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brest-4
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bohars
Liens
Site web http://www.mairie-bohars.fr

Bohars [boaʁ] est une commune française du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

La commune de Bohars fait partie de Brest Métropole avec les communes de Gouesnou, Guilers, Guipavas, Le Relecq-Kerhuon, Plougastel-Daoulas, Plouzané et Brest. Bohars adhère aussi à la démarche du Pays de Brest.

Bohars se trouve dans la 2e circonscription Brest ville et dans le canton de Brest-4.


Géographie

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Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 9,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 021 mm, avec 16,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Guipavas à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 229,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Bohars est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brest, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57,5 %), zones urbanisées (24,7 %), terres arables (11,9 %), forêts (3 %), prairies (2,7 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Botgars vers 1350, Botgarz en 1467, Bogarz en 1544, Bodhartz en 1543 et 1606[14].

La commune se nomme Boc'harzh en breton.

Le toponyme est formé avec le terme breton Bot qui signifie « demeure, résidence », associé à Garz, « haie, retranchement », et pourrait, selon Bernard Tanguy, faire référence à la motte de « Boc'harz ar C'hoat »[14].

Préhistoire et Antiquité

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Trois cent haches à douille de type armoricain ont été trouvées à Bohars.

Le quartier de Beuzit, dont le nom signifie en latin "plantation de buis" , atteste une présence gallo-romaine, probablement une villa.

Ancien Régime

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L'église Saint-Pierre-aux-Liens.

Au XVIe siècle, Bohars faisait partie de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan[15].

Le manoir du Tromeur, construit au début du XVIIe siècle était une maison forte composée, selon un aveu de 1583 d'un corps de logis entouré d'une cour close, crèche, écurie, grande aire, courtil, chapelle, jardin, verger (le tout cerné de murailles), grand bois de futaie, colombier, étang, deux moulins, etc. Démolie pendant les Guerres de la Ligue, la maison forte fut remplacée par un manoir en 1610. Ruiné pendant la Seconde Guerre mondiale, ce manoir, qui se trouvait à l'emplacement de l'actuel hôpital psychiatrique de Bohars, a été démoli en 1971, à la suite d'un incendie[16].

Le XIXe siècle

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A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Bohars en 1843 :

« Bohars : commune formée de l'ancienne trève de Guiler (...) Principaux villages : Mezlanen, Kerouvrion, Trémalouet, Beuzic, Penfeld. Superficie totale 538 hectares, dont (...) terres labourables 394 ha, prés et pâturages 47 ha, bois 39 ha, étang 1 ha, landes et incultes 48 ha. Moulins 17 : à eau, Kergmilliau, Talarn, Lannoc, Beuzic, Pouchou, Pont-ar-Saoul, Kervas, Rufa, Traonlez, Creac'h-Bellec. Le manoir de Traonmeur, où Tromeur, qu'Ogée indique en Guiler, est en Bohars : cette terre appartenait jadis à la famille de Lesguern ; elle a depuis passé dans celle des Huon de Kermarec. La route départementale n°10, du Finistère, dite de Brest à Saint-Renan, traverse la commune de l'est à l'ouest. Géologie : constitution granitique ; carrière de pierre à bâtir au Tromeur. On parle le breton et le français[17]. »

En avril 1872, un rapport du conseil général du Finistère indique l'ouverture d'une école de filles à Bohars[18].

En 1888, des habitants du quartier Penfeld réclame au préfet la construction d’une école de hameau. La demande est rejetée par l’inspection académique car les enfants de ce quartier ont déjà une école à proximité sur la commune de Lambézellec[19].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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Le « des commissaires de police et des agents du fisc ont procédé ce matin aux inventaires [des biens d'église] dans les communes de Guilers, Milizac et Bohars. Des bagarres ont eu lieu dans cette dernière commune. L'abbé Bizien, vicaire, a été appréhendé par deux gendarmes. Le commissaire de police l'a fait remettre en liberté. Dans les trois communes les portes |de l'église] ont été enfoncées »[20].

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Bohars porte les noms de 39 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 3 ( Didier Coat, Pierre Manach et Eugène Dorise[Note 2]) sont des marins morts en mer ; Gabriel Mailloux, lui aussi marin, est mort de maladie en Italie en septembre 1918 ; la plupart des autres sont des soldats morts sur le sol français, dont Henri Héréus, prêtre, infirmier tué lors de l'offensive de Champagne en septembre 1915 et Paul Faou, soldat au 70e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à Blercourt (Meuse), tous deux décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[21].

La Seconde Guerre mondiale

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Six habitants de Bohars sont morts de faits de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale : l'église (le clocher fut abattu) et le presbytère furent détruits, la population du bourg évacuée et des pillages commis lors des combats entre le et le liés au siège de Brest ; Bohars fut libéré le [22].

Le sergent américain Ralph T. Snyde et 10 de ses soldats furent abattus à Kerabiven le  ; une stèle commémorative a été inaugurée à cet endroit en 2014[23].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Par décret du , plusieurs villages[24] dépendant de la commune de Milizac sont rattachés à la commune de Bohars[25] :

« Article 1er. - Les villages de Poulrinon, Kérangall, Kerdonval, Boudiguès et Guillermit, dépendant actuellement de la commune de Milizac, canton de Plabennec (arrondissement de Brest, département du Finistère), tels qu'ils sont représentés limités par une ligne continue bleue sur le plan annexé au présent décret, sont rattachés à la commune de Bohars, canton de Brest (2e) (mêmes arrondissement et département).

Les divers chemins servant de limites entre les deux communes deviendront la propriété exclusive de la commune de Bohars. »

Deux soldats originaires de Bohars sont morts pour la France pendant la Guerre d'Algérie.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
20 mars 1932 mars 1971 Prosper Salaün[Note 4]   Meunier
mars 1971 17 juin 1995 Joseph Le Hir[Note 5]   Agriculteur retraité
Vice-président de la Communauté urbaine de Brest (1973 → ?)
17 juin 1995 25 mars 2008 Marcel Le Bars SE Directeur de caisse au CMB en retraite
25 mars 2008 En cours
(au 23 mai 2020)
Armel Gourvil[26] DVD Chef d'entreprise
Vice-président de Brest métropole[27] (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026

Armel Gourvil est le dix-neuvième maire de Bohars.

Drapeau du Royaume-Uni Tarporley (Royaume-Uni)

Drapeau de l'Italie Ventimiglia di Sicilia (Italie)

Démographie

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Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
582734747749787865822804843
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
842695950836826882835910866
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
901859891798734757740854896
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8409091 3612 8873 0433 1703 2883 3053 512
2017 2021 - - - - - - -
3 4583 615-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monument aux morts de 1914-1918.
  • La motte féodale du bois de la Montagne du Diable.
  • La chapelle de Loguillo ou de Notre-Dame-des-Grâces, dédiée à saint Quijau ; dans cet édifice Renaissance, dépendance du manoir de Kérampir, aujourd'hui détruit, reposent l'amiral Antoine Exelmans, décédé à Kérampir le 2 novembre 1944, et son épouse Marie de Penfentenyo.
  • Les moulins le long de la Penfeld.
  • L'église Saint-Pierre-aux-Liens.
  • L'hôpital psychiatrique de Bohars.
  • Le monument aux morts de 1914-1918.
  • Le château de Kerguillau.
  • Le château de Monplaisir - XIXe siècle.
  • Le château de Kerampir.

Personnalités liées à la commune

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  • Famille Huon de Kermadec (elle habitait le manoir du Tromeur, aujourd'hui disparu), dont :
    • Vincent Huon de Kermadec (né le à Rennes, décédé le à Brest, époux de Marie Renée Françoise de Lesguen (née le à Lanildut, décédée le au manoir du Tromeur en Bohars), dont le père était Pierre de Lesguen, seigneur du Tromeur.
      • Leur fils, Guillaume Jean Huon de Kermadec (né le à Bohars, décédé le à Pontorson (Manche)), marié avec Anne Françoise du Mescam
        • Leur fils, Jean-Marie Huon de Kermadec (né le à Brest, mais baptisé à Bohars, décédé le à Bohars au manoir du Tromeur), seigneur de Penanros, major des vaisseaux du Roi, fit la campagne des Antilles en 1783, marié avec Perrine Françoise la Sauldraie de Brigné.
          • Leur fils, Jean-Louis-Antoine Huon de Kermadec (né en 1778 à Rennes, décédé en 1835 au château de Meslien en Cléguer (Morbihan)), magistrat (il fut conseiller à la Cour royale de Rennes et président de Cour d'assises) et amoureux de la langue bretonne, chanteur de gwerz : Charles Le Goffic dans La vie amoureuse de La Tour-d'Auvergne a écrit :« Nul n'était plus habile que La Tour d'Auvergne à lever un sone, voire un beau gwerz pathétique, sinon peut-être son voisin de Morlaix, Huon de Kermadec, le Rouget de Lisle de la Chouannerie » car il fut l'auteur de Barner ar Vretoned, considéré comme l'hymne des Chouans. Il démissionna lors de la Révolution de Juillet en 1830 pour ne pas renier ses convictions légitimistes[30].
  • Amiral Antoine Exelmans (1885-1944), fils de l'amiral Maurice Exelmans et petit-fils du maréchal de France Rémy Exelmans. Propriétaire du manoir de Kérampir, il repose dans la chapelle de Loguillo, auprès de son épouse Marie de Penfentenyo (1897-1930), sœur de l'amiral Hervé de Penfentenyo, fille de l'amiral Auguste de Penfentenyo, petite-fille de l'amiral Louis Henri de Gueydon et tante de l'enseigne de vaisseau Alain de Penfentenyo.
  • François Drogou (1904-1940), capitaine de frégate, Compagnon de la Libération.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Eugène Dorise, né le à Bohars, capitaine au long cours , commandant du paquebot mixte Athos, mort en mer le lors du naufrage de son bateau, décoré de la Légion d'honneur et de la Croix de guerre.
  3. Eugène Feillard, décédé le à Bohars.
  4. Prosper Jean Hervé Salaün, né le à Bohars, décédé le à Bohars.
  5. Joseph Le Hir, né le à Gouesnou, décédé le à Brest. [1]
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Bohars et Guipavas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Brest-Guipavas » (commune de Guipavas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Brest-Guipavas » (commune de Guipavas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Brest », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brest », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Bernard Tanguy, Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses du Finistère, Chasse-Marée - ArMen. 1990.
  15. Jean Kerhervé, Anne-Françoise Pérès, Bernard Tanguy, Les biens de la Couronne dans la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan, d'après le rentier de 1544, Institut culturel de Bretagne, 1984.
  16. http://www.histoire.bohars.net/edifices/tromeur.php
  17. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Rennes, Molliex, (lire en ligne), pages 92 et 93.
  18. "Rapports et délibérations du Conseil général du Finistère", avril 1872, page 8, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5562178s/f8.image.r=Perguet.langFR
  19. Les écoles de hameaux du Finistère, http://www.roch-gad.eu/ecoles/spip.php?article194
  20. Journal L'Intransigeant, n° du 23 novembre 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7843372/f4.image.r=Milizac?rk=21459;2
  21. « Bohars. Monument aux Morts (Relevé n° 14348) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  22. « Libération de Bohars. Un parcours mémoriel pour les 75 ans », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Libération. Le 70e anniversaire dignement fêté », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ) et « Libération de Bohars. Un parcours mémoriel pour les 75 ans », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Le terme village en Finistère est utilisé en lieu et place de celui de hameau. La commune (ou paroisse) comprend son bourg et ses villages.
  25. Journal officiel du 2 juin 1955, page 5602
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. Annuaire des élus de Brest Métropole, sur brest.fr
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Annick Le Douguet, "Crime et justice en Bretagne", éditions Coop Breizh, 2011, [ (ISBN 978-2-84346-526-0)]