Ville-sur-Tourbe — Wikipédia

Ville-sur-Tourbe
Ville-sur-Tourbe
Carte postale du village avant les destructions de la Grande Guerre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Argonne Champenoise
Maire
Mandat
Christian Coyon
2020-2026
Code postal 51800
Code commune 51640
Démographie
Population
municipale
212 hab. (2021 en évolution de −13,82 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 15″ nord, 4° 47′ 04″ est
Altitude Min. 116 m
Max. 156 m
Superficie 11,13 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Sainte-Menehould
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argonne Suippe et Vesle
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ville-sur-Tourbe
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Ville-sur-Tourbe

Ville-sur-Tourbe est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Géographie

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Ville-sur-Tourbe est située dans le nord-est de la Marne. Le village se trouve au sud du territoire communal et est arrosé par la Tourbe, qui se jette dans l'Aisne dans la commune voisine de Servon-Melzicourt. Au nord du village on trouve l'étang de Ville et au nord-est le bois de Ville. Les routes départementales 982 et 66 traversent Ville-sur-Tourbe[1].

Communes limitrophes de Ville-sur-Tourbe
Cernay-en-Dormois Servon-Melzicourt
Massiges Ville-sur-Tourbe
Vrigny Malmy

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Tourbe, le ruisseau de Saint-Gilles, le ruisseau des Sugnons et le canal de la Tourbe[2],[Carte 1].

La Tourbe, d'une longueur de 21 km, prend sa source dans la commune de Somme-Tourbe et se jette dans divers bras de la Tourbe à Servon-Melzicourt, après avoir traversé dix communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Ville-sur-Tourbe[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Ville (15,2 ha)[Carte 1],[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 833 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montcheutin_sapc », sur la commune de Montcheutin à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −15,5 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Ville-sur-Tourbe est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sainte-Menehould, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,5 %), forêts (21,4 %), prairies (5,5 %), zones humides intérieures (3,2 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Villa (commencement du XIe siècle) ; Villa quæ dicitur super Turbam (1142) ; Villa super Turbam (1239) ; Vile-sur-Torbe (1261) ; Ville-sours-Tourbe (1261) ; Villa supra Turbam (1303-1312) ; Ville-sus-Tourbe (1366) ; Ville-sur-Tourbe, Ville (1389) ; Vile-sur-Tourbe (1538)[17].

De l'oïl ville « village »[18] et du nom de la rivière Tourbe, une rivière du département de la Marne, qui prend sa source sur la commune de Somme-Tourbe[19].

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Val-sur-Tourbe[20].

Première Guerre mondiale

Après la première bataille de la Marne, le bois de Ville, une forêt située au nord-est de Ville-sur-Tourbe, au sud-ouest de Servon-Melzicourt et au nord-ouest de Bois d’Hauzy[21], alors occupé par le 21e régiment d'infanterie colonial fut le théâtre de durs combats en .

Dans la soirée du , une attaque allemande, à la suite de travaux de mine, met en difficulté les marsouins français des 3e régiment d'infanterie coloniale et 7e régiment d'infanterie coloniale, faisant de nombreux blessés, tués ou disparus dans leurs rangs, mais l'offensive est stoppée[22],[23].

Lors de l'attaque française déclenchée le en Champagne, le territoire de la commune de Ville-sur-Tourbe constituait la partie la plus orientale du front d'attaque. La zone était tenue par la 151e division d'infanterie (général Lanquetot), plus particulièrement par les 403e et 410e régiments d'infanterie. Ceux-ci furent décimés lors de l'assaut donné au matin du sans pouvoir gagner un pouce de terrain en direction de Cernay-en-Dormois. Un calvaire situé dans les champs au nord de Ville-sur-Tourbe commémore l'événement[24].

Politique et administration

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Ville-sur-Tourbe était le chef-lieu du canton éponyme, dans l'arrondissement de Sainte-Menehould. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton d'Argonne Suippe et Vesle.

Par décret du , l'arrondissement de Sainte-Menehould est supprimée et la commune est intégrée le à l'arrondissement de Châlons-en-Champagne[25].

Intercommunalité

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La commune, antérieurement membre de la communauté de communes du canton de Ville-sur-Tourbe, est membre, depuis le , de la CC de l'Argonne Champenoise.

En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du [26], cette communauté de communes de l'Argonne Champenoise est issue de la fusion, au , de :

Les communes isolées de Cernay-en-Dormois, Les Charmontois, Herpont et Voilemont ont également rejoint l'Argonne Champenoise à sa création[27].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? 1983[28] Robert Coyon    
1983 2014 Hubert Hannetel[29]    
2014[30] En cours
(au 4 juillet 2014)
Christian Coyon   Agriculteur[31]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 4], en évolution de −13,82 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
420440503472531517561584591
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
553563580566560560563541475
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
467450433297362313277278244
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
257238214194202187205208241
2017 2021 - - - - - - -
219212-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine

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  • L'église Saint-Rémi date de 1924. Elle est construite par les entrepreneurs rémois Audibert et Bettinas d'après les plans de l'architecte Maurice. Elle remplace l'église de 1862, édifiée par l'architecte Collin et l'entrepreneur Demerle frères, et totalement détruite lors de la Première Guerre mondiale[35]. Une statuette de saint Roch en bois du XVIe siècle et un haut-relief en bois de saint Denis des XVIe et XIXe siècles sont inscrits monument historique au titre objet en 1975[36],[37].
  • La mairie actuelle est construite en 1928 par l'architecte Maurice et l'entrepreneur Noël. La précédente mairie-école, de 1849, a été détruite durant la Première Guerre mondiale[38].
  • L'ancienne gare, bâtie vers 1925, est devenue une maison privée. Elle était autrefois desservie par la ligne de chemin de fer de Revigny à Vouziers[39].
  • Le monument aux morts de 1914-1918[40].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Ville-sur-Tourbe » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Carte IGN de Ville-sur-Tourbe » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2013)..
  2. « Fiche communale de Ville-sur-Tourbe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  3. Sandre, « la Tourbe »
  4. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Ville-sur-Tourbe et Montcheutin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Montcheutin_sapc », sur la commune de Montcheutin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Montcheutin_sapc », sur la commune de Montcheutin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Ville-sur-Tourbe ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sainte-Menehould », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 297.
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1422-1423.
  19. SANDRE, « Fiche cours d'eau - La Tourbe (H1079000) »
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Emplacement du bois de Ville
  22. « Régiments / Régiments Coloniaux / 7e RIC /- En Champagne 1915 » (consulté le ).
  23. « Journal de marche du 7e RIC / 01 janvier - 19 septembre 1915 - vue 57 sqq » (consulté le ).
  24. Ce calvaire se situe près du croisement des routes de Ville-sur-Tourbe et de Massiges : « Circuit de Massiges : Les plaques et vestiges », sur Le Front de Champagne 1914-1918 (consulté le ).
  25. Décret no 2017-453 du 29 mars 2017 portant suppression de l'arrondissement de Sainte-Menehould (département de la Marne), publié au JORF du .
  26. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  27. « Arrêté préfectoral du 3 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes du canton de Ville-sur-Tourbe, de la Communauté de communes de la région de Givry- en-Argonne et de la Communauté de communes de la région de Sainte-Ménehould en y incluant les communes isolées de Cernay-en-Dormois, Les Charmontois, Herpont et Voilemont », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 bis,‎ , p. 16-24 (lire en ligne [PDF]).
  28. https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
  29. [xls]« Liste des maires au 1er août 2008 », sur site de la préfecture de la Marne (consulté le ).
  30. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  31. « Résultats municipales 2020 à Ville-sur-Tourbe », sur lemonde.fr (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Françoise Gaborit, 1986. Notice no IA00060066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 14 juin 2013.
  36. Françoise Gaborit, 1986. Notice no IM51000124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 14 juin 2013.
  37. Françoise Gaborit, 1986. Notice no IM51000007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 14 juin 2013.
  38. Françoise Gaborit, 1986. Notice no IA00060067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 14 juin 2013.
  39. Françoise Gaborit, 1986. Notice no IA00060068, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 14 juin 2013.
  40. Françoise Gaborit, 1987. Notice no IM51000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 14 juin 2013.