Charles Gianferrari — Wikipédia

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Charles Gianferrari

Naissance	15 août 1921 Canton du Tessin
Décès	30 octobre 2010 (à 89 ans) Bullion
Nationalité	française
Activités	Mosaïste, artiste visuel, sculpteur
Distinctions	Liste détaillée 1 artistique (1954, 1966, 1968, 1969, 1969, 1969, 1972, 1972, 1972, 1972, 1973, 1973, 1973, 1973, 1974, 1975, 1975, 1975, 1975, 1975, 1976 et 1978)

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Charles Gianferrari né le 15 août 1921 à Astano (Suisse) et mort le 30 octobre 2010 à Bullion^[1] est un mosaïste et sculpteur français.

Charles Gianferrari fut associé à de nombreux projets en collaboration étroite avec Roger Anger dans une amitié et une admiration mutuelle croissante jusque dans les dernières années où il se consacra uniquement au projet d'Auroville. Il réalisa également de nombreux monuments avec son autre ami Jacques Bertoux (né en 1923), architecte et sculpteur, avec lequel entre autres il participa à la fondation du centre d'études L'Œuf.

• Caen, église Saint-Paul : sculptures.
• Chalon-sur-Saône, lycée Pontus de Tyard : mosaïque murale, 1961^[2].
• Dinard, piscine olympique, 2, boulevard du président Wilson : mosaïque, années 1960^[3].
• Divonne-les-Bains, centre nautique : œuvre signée avec l’œuf, en référence à l’équipe d’artistes du Centre d’études L'Œuf.
• Grenoble, hôtel de ville : mosaïque sur le sol du patio, 1965-1967^[4].
• La Tronche, faculté de médecine, université Joseph-Fourier, amphithéâtre Le Marchand : mosaïque murale, 1976^[5].
• Le Blanc-Mesnil, maternelle Anne Frank : mosaïque du sol de la cour^[6].
• Longchamp, lycée Henri Moisand : mosaïque de l'escalier, 1978^[7].
• Moux-en-Morvan : Hommage aux combattants du maquis des Fiottes, 1947, sculpture en collaboration avec Jacques Bertoux.
• Neuilly-sur-Seine, collège André Maurois : mosaïque murale.
• Paris :
  • n^o 7 avenue de la Porte-de-Champerret : fontaine de la Pyramide, fontaine et mosaïque^[8].
  • avenue de la Porte-de-Villiers : fontaine de la Cascade, fontaine et mosaïque^[8].
  • n^o 67 rue Barrault et n^os 28-30 rue de la Colonie : mosaïque murale dans le hall d'entrée, 1958-1962.
  • n^o 50 rue de Crimée : mosaïque murale dans le hall d'entrée, 1968.
  • n^o 17 avenue d'Italie : mosaïque murale sur la façade (niveau dalle), dans le hall d'entrée et dans le couloir d'entrée 187, avenue de Choisy, 1973.
• Villeneuve-d'Ascq, école Paul Cézanne : muret en claustra, 1988^[9].
• Mantes la Jolie :
  • lycée Jean Rostand : panneau en mosaïque de pierre, 1969, marbre et émail, environ 68 m². Devant cette composition, l'artiste a aménagé un espace de détente pour les lycéens à l'aide de plates-formes circulaires jouant à la fois le rôle de bancs et de jardinières intégrées, à l'image de soucoupes posées sur les allées. Elles sont réalisées en béton revêtu de galets de pierre, de briques et de marbre, dans des teintes ocres.
  • lycée Saint-Éxupéry : ensemble d'éléments en briques de Vaugirard (gradins formant des motifs circulaires, murs serpentant entre les préaux, bancs), briques pleines et dalles de grès (dallages en forme de coquilles d'escargot) surmontés par des préaux de plan triangulaire, 1969.
• Résidence Saint Ambroise^[Où ?] : fresque, 1969. Architecte : agence Anger-Heymann-Puccinelli^[10].

• Marc Gaillard, La Mosaïque contemporaine ; L'Œuf centre d'études, Narbonne, France, Achbarer, 2007, 140 p. (ISBN 978-2-7072-0547-6).
• Bernard Morot-Gaudry, « La sculpture en Morvan au XX^e et début du XXI^e siècle », Bulletin de l'Académie du Morvan, n^o 82, 2017, pp. 36-38.

• L'Œuf centre d'études

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