Ed Atkins — Wikipédia

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Ed Atkins
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Ed Atkins, né en à Oxford (Royaume-Uni), est un artiste contemporain britannique surtout connu pour son art vidéo et sa poésie.

Il est actuellement établi à Berlin.

Biographie

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Ed Atkins grandit à Stonesfield, un petit village en banlieue d'Oxford. Sa mère est professeur d'art dans une école publique et son père est graphiste[1]. Il obtient son baccalauréat à Central Saint Martins et a ensuite obtenu une maîtrise en beaux-arts de la Slade School of University College London[2].

Atkins donne des conférences au Goldsmiths College de Londres[2] et a été qualifié de "l'un des grands artistes de notre temps" par le conservateur suisse Hans-Ulrich Obrist[1].

Atkins a eu des expositions personnelles à la Tate Britain, au Stedelijk Museum d'Amsterdam, à la Chisenhale Gallery, au MoMA PS1, à la Serpentine Gallery, au Palais de Tokyo et à la Kunsthalle Zürich. Au Serpentine Memory Marathon en 2012, il crée DEPRESSION[3], une performance qui utilise la projection, la voix modifiée numériquement et le masque de chrominance pour simuler les techniques cinématiques de ses vidéos[4]. En conjonction avec le Serpentine Extinction Marathon de 2014, Atkins produit www.8007274, un domaine qui invite les utilisateurs à s'inscrire pour une correspondance par e-mail unilatérale d'une décennie[5].

Bibliographie

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  • Kathy Noble, 'Ed Atkins', ArtReview, London, no. 46, March 2011, p. 97.
  • Isobel Harbison, 'Ed Atkins', Frieze, London, no.139, May 2011. Last accessed on 30 April 2015.
  • Richard Whitby, 'Ed Atkins', MAP Magazine, Glasgow, no. 25, 10 July 2011. Last accessed on 30 April 2015.
  • Patrick Ward, 'Cross Platform', The Wire, London, October, 2011, p.v16.
  • Dan Kidner, 'More Than a Feeling', Frieze, London, no. 142, October 2011, p. 210-215.
  • Ed Atkins and Caterina Riva, 'Come Dine With Us', Nero, Rome, no. 25, Winter 2011, p. 35-39.
  • Hans Ulrich Obrist and Ed Atkins, 'Ed Atkins; Interview by Hans Ulrich Obrist', Kaleidoscope, Milan, no.13, Winter 2011/2012, p. 138-147. Last accessed on 30 April 2015.
  • Martin Herbert, 'Ed Atkins', Artforum, New York, vol. 56, no. 6, February 2012, p. 212-215.
  • 'Atkins: In Conversation With', Aesthetica, New York, 1 August 2012. Last accessed on 30 April 2015.
  • Isobel Harbison, 'Ed Atkins at the Chisenhale Gallery, London', Kaleidoscope, Milan, no. 16, Fall 2012, p. 130.
  • Katy Guggenheim, 'Ed Atkins, Us Dead Talk Love at Chisenhale Gallery, London', Mouse, Milan, 24 October 2012. Last accessed on 30 April 2015.
  • Oliver Basciano, 'Ed Atkins and James Richards, in conversation', ArtReview, London, no. 64, December 2012, p. 95-101.
  • Jennifer Krasinski, 'The Sites of Death', Spike, Vienna, no. 35, Spring 2013, p. 56-65.
  • Kirsty Bell, 'Ed Atkins' Warm, Warm Warm *Spring Mouths', Art Agenda, New York, 1 April 2013. Last accessed on 30 April 2015.
  • Kevin McGarry '12th Lyon Biennale', Frieze, London, no. 159, November–December 2013, p. 150-151.
  • Klaus Biesenbach, 'An intimately, duplicitously reflexive experience', Flash Art, Milan, vol. 46, no. 293, November–December 2013, p. 18-53.

Récompenses et distinctions

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Notes et références

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  1. ↑ a et b Andrew Russeth, « An Artist Who Explores the Deep Creepiness of Facial-Recognition Technology », The New Yorker, (consulté le )
  2. ↑ a et b "Artist Profile: Ed Atkins", Giampaolo Bianconi, Rhizome, 21 January 2013. Retrieved on 29 April 2015.
  3. ↑ DEPRESSION
  4. ↑ Ed Atkins solo show press release - Serpentine Galleries, June - August 2014. Retrieved on 30 April 2015.
  5. ↑ The Space - Serpentine Extinction Marathon, Retrieved on 30 April 2015.
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ed Atkins » (voir la liste des auteurs).

Liens externes

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