Estrun — Wikipédia
Estrun | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Cambrai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Cambrai | ||||
Maire Mandat | Jean-Luc Fasciaux 2020-2026 | ||||
Code postal | 59295 | ||||
Code commune | 59219 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Estrunois | ||||
Population municipale | 719 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 255 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 14′ 55″ nord, 3° 17′ 42″ est | ||||
Altitude | 52 m Min. 34 m Max. 72 m | ||||
Superficie | 2,82 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Cambrai | ||||
Législatives | Dix-huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Nord Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
modifier |
Estrun [etʁœ̃] est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Estrun se situe au confluent de l'Escaut et de la Sensée au lieu-dit Le bassin rond.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Escaut canalisée et un autre petit cours d'eau[1],[Carte 1].
L'Escaut est un fleuve européen de 355 km de long, qui traverse trois pays (France, Belgique et Pays-Bas), avant de se jeter en mer du Nord. La partie canalisée en France relie Cambrai à , après avoir traversé 34 communes[2].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 857 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Sensée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[3].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 20 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Estrun est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,2 %), zones urbanisées (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), zones humides intérieures (0,1 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]A 10 km de Cambrai et 15 km de Valenciennes, Estrun est facilement accessible par l'autoroute A2 proche.
La commune est desservie par le réseau de transports urbains de la Communauté d'agglomération de Cambrai appelé TUC (Transports Urbains du Cambrésis), par la ligne 18[15],[16]. La ligne S130 permet de rejoindre le collège de secteur à Iwuy.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village est mentionné au long des IXe au XIVe siècles sous les noms Strum et Stroms (881), Estrung (1122), Strunium (1142), Estreun (1349). Boniface[17] rappelle qu'il existe à Estrun les restes d'un campement romain dit « camp de César », de même qu'on trouve à Étrun dans le Pas-de-Calais les vestiges d'un camp romain ou oppidum également surnommé « camp de César ». Il voit dans le nom la même origine que pour Estourmel : forteresse, campement militaire. Mannier[18] voit plutôt l'origine du nom dans les mots germaniques strom, stroma ou stroem (rivière, cours d'eau) (stroom en flamand), le village étant situé sur les bords de l'Escaut. Mais selon Mannier le nom pourrait encore venir des mots germaniques stre et hem (« route » et « habitation »), comme pour Étrœungt dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe, située sur la voie romaine de Bavay à Reims. Les fouilles archéologiques font remonter le site au néolithique moyen[19] et remettent en question l'identification d'un camp romain de la guerre des Gaules[20].
La bulle du pape Innocent II, du 21 décembre 1142, confirme l'appartenance de la seigneurie d'Estrun, comprenant les propriétés, les terres, les prés et les ruisseaux, à l'église métropolitaine de Cambrai.
L'orthographe du nom varie entre Etrun (1793, 1801) et Estrun (1801, et depuis le 13 juin 1994)[21].
Histoire
[modifier | modifier le code]Sur ce lieu, en 881, le jeune roi de France Louis III contrôle l'avancée des Normands en faisant construire un château[22],[23]
À la suite du siège d'Arras, le diocèse d'Arras est détaché de l'archidiocèse de Cambrai en 1093. Deux évêques se retrouvent responsables de Cambrai Manassès, de 1093 à 1103 transféré par Pascal II à Soissons et Walcher ou Gaucher ou Gautier, de 1093 à 1106 promu à l'évêché par l'empereur Henri IV, il s'y maintint contre Manassès, bien que déposé par le pape au concile de Clermont en novembre 1095. Walcher se réfugie à Estrun dans un château qu'il avait fait construire[24].
Renaissance
[modifier | modifier le code]Marie de Médicis, veuve de Henri IV, mère de Louis XIII et régente du royaume tente d'exiger du Roi la disgrâce de Richelieu, elle tente d'obtenir le renvoi du ministre. Après la fameuse Journée des Dupes, le , Richelieu reste le principal ministre et Marie de Médicis est contrainte de se réconcilier avec lui.
Elle décide finalement de se retirer de la cour. Le roi la jugeant trop intrigante, parvint à la faire partir au château de Compiègne. De là, elle réussit à s'enfuir à Bruxelles en 1631, où elle compte plaider sa cause.
Le 18 juillet 1631, elle sort de Compiègne vers son exil de Bruxelles et s'arrête le lendemain à Estrun où elle eut la protection du marquis de Crèvecœur[25],[26], Henri-Marie Gouffier (1619-1640) son filleul[27] et gouverneur d'Avesnes-sur-Helpe où elle arrive le 20 juillet 1631[28].
Période révolutionnaire
[modifier | modifier le code]Compris entre l'Escaut et la Sensée, Estrun est un lieu stratégique, dominant les inondations défensives qui sont tendues entre Cambrai, Bouchain et Valenciennes. Ainsi, le village est-il occupé par les troupes françaises en 1793 sous le commandement du général Adam Philippe de Custine[29], puis par les Autrichiens et les Anglais durant le siège de Valenciennes.
Période moderne
[modifier | modifier le code]L'intense navigation sur l'Escaut et la Sensée avant la Première Guerre mondiale permet le développement de la cité, en particulier au niveau du Bassin Rond[30], où les mariniers se retrouvent et font leurs achats[31].
Cette activité ayant disparu, Estrun développe des activités nautiques et touristiques.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[32].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Le vote à Estrun favorise clairement les partis de droite.
Au premier tour de l'élection présidentielle de 2012, les quatre candidats arrivés en tête à Estrun sont Marine Le Pen (FN, 27,18 %), Nicolas Sarkozy (UMP, 25,49 %), François Hollande (PS, 21 %) et Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche, 11,65 %) avec un taux de participation de 86,96 %. Au second tour, Nicolas Sarkozy arrive en tête avec 57 % des voix et un taux de participation de 84,89 %.
Au second tour de l'élection législative de 2012, 55,72 % des électeurs d'Estrun ont voté pour François-Xavier Villain (UDI), contre 44,28 % pour Martine Filleul (PS).
Au second tour de l'élection présidentielle de 2007, 59,94 % des électeurs ont voté pour Nicolas Sarkozy (UMP), et 40,06 % pour Ségolène Royal (PS).
Au second tour de l'élection présidentielle de 2002, 98,79 % des électeurs ont voté pour Jacques Chirac (RPR), 1,21 % pour Jean-Marie Le Pen (Front National).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Maire en 1802-1803 : Eugène Caude[33].
Maire en 1807 : Tetart[34].
Avant 1983 : Stéphane Duhoux (PCF)
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
---|---|---|---|---|
Début | Fin | |||
Stéphane Duhoux (d) ( - ) | Parti communiste français | |||
Jean-Marie Mettier (d) | 25 ans | divers droite | ||
Jean-Luc Fasciaux (d)[35] (né le ) | En cours | 16 ans et 8 mois | indépendant |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2021, la commune comptait 719 habitants[Note 2], en évolution de +1,13 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 352 hommes pour 359 femmes, soit un taux de 50,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Oppidum
[modifier | modifier le code]L' Oppidum d'Estrun, dénommé localement « Camp César » est protégé en tant que monument historique : inscription le 11 avril 1980[41]. Le site gallo-romain fut réutilisé du IXe au XVIIIe siècle. Il a une forme rectangulaire de 560 m x 230 m et une superficie de 13 ha. A l'est, une falaise crayeuse surplombe l'Escaut. Le rempart est précédé d'un fossé à fond plat de 16 m de large et profond de 1,75 m[42].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Jacques Dordain, directeur général de l'Agence spatiale européenne.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes d'Estrun se blasonnent ainsi :"D'or à trois lions d'azur, au chef de gueules chargé d'une Notre-Dame-de-Grâce de carnation à mi-corps, tenant à senestre l'Enfant Jésus, et vêtue de gueules et d'azur" . |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
- Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Estrun » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale d'Estrun », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « l'Escaut canalisée »
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Estrun et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Horaires lignes de bus TUC », sur tuc-cambresis.fr (consulté le ).
- « Plan du réseau TUC » [PDF], sur tuc-cambresis.fr, (consulté le ).
- Boniface 1866, p. 123.
- Mannier 1861, p. 279.
- Pierre Leman et Germain Leman, « Une fosse du néolithique moyen à Estrun (Nord) », Revue du Nord, t. 55, no 216, , p. 7-14 (lire en ligne)
- Modèle:Article= Jean-Marc DOYEN, Alain JACQUES, Germaine LEMAN-DELERIVE, André-Valentin MUNAUT, Tarek OUESLATI
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France: COA - H, volume 2 - édité en 1804 par Baudouin ; Laporte, - archive de la bibliothèque de l'État de Bavière - A lire
- Hippolyte-Romain-Joseph Duthillœul, Petites histoires des pays de Flandre et d'Artois, Foucart, 1835 - Archive de l'université de Gand -A lire
- Hippolyte-Romain-Joseph Duthillœul, Petites histoires des pays de Flandre et d'Artois, Foucart, 1835 - Archive de l'université de Gand - A lire
- Jean-Baptiste Honore Raymond Capefigue, Richelieu, Mazarin, la fronde, et le règne de Louis XIV, volume 5, Dufey, 1835 Alire
- Paul Guynemer, L'isolement de Marie de Médicis au château de Compiègne en 1631, son évasion : d'après des manuscrits inédits, Progrès de l'Oise (Compiègne), 1911 A lire
- Badier, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes, & l'état des grandes terres du royaume ... On a joint ... le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une notice de..., Édité chez la veuve Duchesne... et l'auteur, 1774 - archive de l'université de Gand A lire
- Richard de Bury,Richard Girard de Bury, Histoire de la vie de Louis XIII, roi de France et de Navarre, volume 2, Saillant, 1768 A lire
- Dictionnaire de la conversation et de la lecture, volume 10, Belin-Mandar, 1833 - A lire
- Joseph Dutens, Histoire de la navigation intérieure de la France: avec une exposition des canaux à entreprendre pour en compléter le système..., A. Sautelet et Cie, 1829 -A lire
- Edme Théodore Bourg Saint-Edme - Itinéraire des bateaux à vapeur de Paris au Havre, avec une description statistique et historique des bords de la Seine: suivi d'un guide du voyageur, précédé d'une notice historique sur le chemin de fer de Paris à Saint-Germain..., E. Bourdin, 1812 - archive de la New York Public Library A lire
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
- « Annuaire statistique département du nord année 1807 », p. 130-131..
- « Jean-Luc Fasciaux a été réélu maire à l’unanimité à Estrun », La Voix du Nord, : « À l’unanimité, Jean-Luc Fasciaux a été réélu maire. »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estrun (59219) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Notice no PA00107520, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- https://www.persee.fr/doc/rnord_0035-2624_1973_num_55_216_3165