Fête des Mères — Wikipédia

Fête des Mères
Gâteau de la fête des Mères (Mother's Day) au Royaume-Uni.
Gâteau de la fête des Mères (Mother's Day) au Royaume-Uni.

Type Fête civile
Signification Fête en l'honneur des mères
Date Différente en fonction des pays
(en majorité en mai)
Célébrations mai
Lié à Fête des Pères

La fête des Mères[1] ou fête des mères[2] est une fête annuelle célébrée en l'honneur des mères dans de nombreux pays.

À cette occasion, les enfants offrent des cadeaux à leur mère, des gâteaux, des fleurs[3] ou des objets qu'ils ont confectionnés à l'école ou à la maison. Cette fête est également célébrée par les adultes de tous âges pour honorer leur mère.

La date de la fête des Mères varie d'un pays à l'autre, mais la majorité d'entre eux a choisi de la célébrer en mai.

Les premières traces de célébration en l'honneur des mères sont présentes dans la Grèce antique lors des cérémonies printanières en l'honneur de Rhéa (ou Cybèle), la mère des dieux et notamment celle de Zeus. Ce culte est célébré aux Ides de mars dans toute l'Asie Mineure. Des fêtes religieuses romaines célèbrent les matrones le lors des Matronalia (« matronales »), et Cybèle lors des Hilaria. Toutes ces célébrations ont lieu au printemps, mois de la fertilité[4].

Il est possible que les premiers chrétiens aient vénéré la Vierge Marie en assimilant les cultes de ces déesses païennes mais il leur était plus difficile d'associer ces fêtes à des célébrations dédiées aux mères, en raison des questions théologiques concernant sa virginité[4].

Au XVe siècle, les Anglais fêtent le Mothering Sunday, d'abord au début du carême puis le quatrième dimanche du carême. En , les États-Unis développent la fête des Mères moderne telle qu'on la fête de nos jours, en instaurant le Mother's Day, en souvenir de la mère de l'institutrice Anna Jarvis. Le Royaume-Uni adopte à son tour cette fête en , puis l'Allemagne l'officialise en . D'autres pays suivent comme la Belgique, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Turquie et l'Australie.

Hostiles au malthusianisme ambiant de la fin du XIXe siècle en France et au retard de la natalité française par rapport à celle de l'ennemi du moment — l'Allemagne impériale qui a annexé l'Alsace-Lorraine depuis le traité de Francfort de  —, des associations « populationnistes » et des mouvements natalistes conjuguent leurs efforts pour enrayer la baisse continue de la natalité en France depuis . À cette fin, le mouvement de l'Alliance nationale pour l'accroissement de la population de la France, créé en par le médecin, démographe et statisticien Jacques Bertillon (), développe une efficace propagande nataliste auprès des dirigeants et des mouvements politiques conservateurs[5]. Grâce à leur influence et à leur présence dans les sphères dirigeantes, ils font prospérer leurs idéaux natalistes et envisagent la création d'une journée officielle pour honorer publiquement les pères et mères de familles nombreuses. Les associations de pères de familles nombreuses se multiplient. Le , Émile Zola publie un plaidoyer pro domo dans Le Figaro sous le titre « Dépopulation »[6] puis expose ses thèses natalistes au fil du roman Fécondité que le journal L'Aurore feuilletonne de à , apologie du bonheur du couple Froment chargé de douze enfants[7]. Progressivement l'idée fait son chemin[8].

Le village d'Artas en Isère revendique être le « berceau de la fête des Mères ». En effet, le , à l'initiative de Prosper Roche, fondateur de l'Union fraternelle des pères de famille méritants d'Artas, une cérémonie en l'honneur de mères de familles nombreuses eut lieu. Deux mères de neuf enfants reçurent, ce jour-là, un prix de « Haut mérite maternel ». Le diplôme original créé par Prosper Roche est conservé dans la bibliothèque de l'Institut de France avec les archives de l'association[9],[10],[11].

« Petit guide de la journée des mères », brochure publiée par le gouvernement français de Vichy pour aider les autorités locales et les associations a organiser la journée des mères, . ADRML, 3829 W 9.

C'est toutefois à la fin de la Première Guerre mondiale que le principe du Mother's Day prend corps en Europe. Il a été répandu par les jeunes membres d'organisations américaines de secours aux populations occupées (le CRB ou Commission des secours en Belgique et en France du Nord occupée d'Herbert Hoover) ou aux blessés du front (l'American Red Cross) et surtout par les soldats américains du corps expéditionnaire du général John Pershing arrivés en masse à partir d'. En , Pershing ordonne de distribuer à tous les soldats sous son commandement (certains sont anglais, néerlandais, français ou belges) des cartes postales d'hommage à envoyer pour le Mother's Day et il fait aussi réaliser un film d'actualités par Gaumont[12].

En , la ville de Lyon célèbre la journée des mères en hommage aux mères et aux épouses qui ont perdu leurs fils et leur mari pendant la Première Guerre mondiale. En , est élaborée une fête des mères de familles nombreuses[13]. Elle incite les municipalités à célébrer les mères et les pères de familles nombreuses. On organise la remise solennelle des médailles de la Famille Française accordées aux Mères de Familles nombreuses afin de leur témoigner toute la reconnaissance de la Nation[14]. Le la fête obtient sa véritable reconnaissance officielle, le but du gouvernement d'Aristide Briand étant de soutenir une politique nataliste. Les mères de familles nombreuses sont mises en avant mais cette condition de « famille nombreuse » disparaît officiellement du titre de la fête[15] dès sa première célébration officielle le . La fête des mères continuera à être célébrée dans les années . On continuera à mettre à l'honneur les mères de plus de trois enfants, toujours sous l'influence de la propagande nataliste.

Philippe Pétain reprend cette célébration pour lui donner plus de reconnaissance. Sous son impulsion, elle devient, selon Pascal Riché, une « célébration quasi-liturgique, la mère étant mise sur un piédestal » par le régime de Vichy, et tous les Français sont incités à célébrer la maternité[16]. En , le maréchal Pétain s'adresse à la radio aux femmes en ces termes : « Vous seules, savez donner à tous ce goût du travail, ce sens de la discipline, de la modestie, du respect qui font les hommes sains et les peuples forts. Vous êtes les inspiratrices de notre civilisation chrétienne »[17].

Après guerre, la loi du [18] dispose que « la République française rend officiellement hommage chaque année aux mères françaises au cours d'une journée consacrée à la célébration de la « fête des Mères » », organisée par le ministre chargé de la Santé avec le concours de l'UNAF (article 1). Elle en fixe la date au dernier dimanche de mai (sauf si cette date coïncide avec celle de la Pentecôte, auquel cas elle est repoussée au premier dimanche de juin) (article 2), et prévoit l'inscription des crédits nécessaires sur le budget du ministère (article 3).

Les trois articles de la loi de sont codifiés au Code de la famille et de l'aide sociale lors de sa création par le décret du [19], aux articles 17 à 19[20]. En [21], le troisième article est abrogé, et en [22], les deux premiers articles sont codifiés respectivement aux articles R. 215-1 et D. 215-2 du code[23], devenu Code de l'action sociale et des familles, tandis que l'organisation de la fête est transférée au ministre chargé de la Famille.

Aux États-Unis

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La création d'un Mother's Day aux États-Unis par le président, Woodrow Wilson, le , répond à deux objectifs. D'une part il s'agit d'établir une journée de reconnaissance des mères de famille au niveau fédéral puisque la publiciste de Philadelphie, Anna Jarvis, a multiplié les initiatives en faveur d'une journée des Mères depuis et que la plupart des États des États-Unis ont ratifié sa demande. D'autre part le président des États-Unis cherche à rassembler le peuple américain divisé par des tensions européennes qui accentuent les sentiments antiallemands et qui aboutissent quelques mois plus tard au déclenchement de la Première Guerre mondiale en Europe. Anna Jarvis voit ainsi aboutir cette fête commémorative des Mères qu'elle s'était engagée à mettre sur pied à la mort de sa propre mère, Ann Jarvis (en) (Ann Maria Reeves Jarvis), le [24].

Anna Jarvis voulait ainsi accomplir le vœu de cette mère modèle qui avait déjà envisagé le la création d'un Mothers Friendship Day (jour de l'amitié pour les Mères). Cette mère exemplaire avait œuvré sa vie durant pour améliorer le sort des femmes grâce à des clubs d'entraide (fille de pasteur méthodiste, elle s'est investie dans la communauté paroissiale de Grafton en Virginie-Occidentale) et celui de leurs enfants en créant les Sunday schools pour les catéchiser, les éduquer et éradiquer les fléaux sanitaires (épidémies, alcoolisme, mortalité infantile...) mais aussi pour réconcilier les familles déchirées par les années de la guerre de Sécession[25].

Depuis sa création au début du XXe siècle, la fête des Mères est devenue très commerciale et a même suscité des critiques de la part de sa créatrice Anna Jarvis. Cette dernière a intenté divers procès contre des sociétés commerciales et manifesté contre cette récupération mercantile de la journée dévolue à chaque mère. Elle s'attaque aux fleuristes en et les traite de « profiteurs » dans la presse. En , elle perturbe un congrès de la confiserie de détail puis s'en prend à l'association féministe The American Mothers qui vend des œillets pour collecter des fonds au bénéfice des anciens combattants de . En , elle fait un procès aux Postes américaines pour l'émission d'un timbre qui célèbre la fête des mères (tableau de James Whistler) et elle poursuit Eleanor Roosevelt, la très féministe épouse du président Franklin D. Roosevelt, pour ses œuvres caritatives placées sous le sceau de la fleur d'œillet. Elle meurt ruinée en , hospitalisée dans un sanatorium depuis quatre ans, recevant chaque année des monceaux de lettres adressées à la fondatrice de la fête des Mères[26].

Dans le monde

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À travers le monde, la fête des Mères est célébrée les jours suivants[27] :

Jour Pays
Deuxième dimanche de février Norvège ( à Bergen)
30 Shevat (selon le calendrier hébreu, entre le et le ) Israël inauguré le à Jérusalem
Géorgie
(Journée internationale des femmes) Albanie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Macédoine du Nord, Moldavie, Roumanie et Serbie
Quatrième dimanche de Carême
troisième dimanche avant Pâques
(Mothering Sunday)
Îles Anglo-Normandes, Irlande, Nigeria et Royaume-Uni
(équinoxe de printemps ou automne) Arabie saoudite, Bahreïn, Comores, Djibouti, Égypte, Émirats arabes unis, Érythrée, Irak, Jordanie, Koweït, Liban, Mauritanie, Palestine, Qatar, Soudan, Syrie et Yémen
Slovénie
Arménie, journée de la maternité et de la beauté
Premier dimanche de mai Andorre, Angola, Cap-Vert, Espagne, Hongrie, Lituanie, Mozambique, Portugal et Sao Tomé-et-Principe
Corée du Sud (Fête des parents : les Coréens célèbrent les deux parents le même jour)
Guatemala, Mexique et Salvador (Día de la Madre ou Día de las Madres)
Deuxième dimanche de mai Afrique du Sud, Allemagne (Muttertag), Aruba, Australie, Autriche, Bahamas, Barbade, Bangladesh, Belgique (sauf à Anvers), Belize, Bermudes, Birmanie, Bonaire, Brésil, Brunei, Burkina Faso[28], Burundi, Canada[29], Chili[30], Chine, Chypre, Colombie, Croatie, Cuba,République démocratique du Congo, Danemark, Dominique, Équateur, Estonie, États-Unis, Finlande, Ghana, Grèce, Grenade, Honduras, Hong Kong, Inde, Sri Lanka, Islande, Italie, Jamaïque, Japon, Kenya, Lettonie, Malaisie, Malte, Nouvelle-Zélande, Pakistan, Papouasie-Nouvelle-Guinée (et îles périphériques), Pays-Bas, Pérou, Philippines, Sainte-Lucie, Singapour, Slovaquie, Suisse, Suriname, Taïwan, Tchéquie, Trinité-et-Tobago, Turquie, Ukraine, Uruguay, Viêt Nam, Venezuela, Zambie et Zimbabwe
Samoa
Paraguay (Día de la Madre ou Día de las Madres)
Kirghizistan
Pologne[31]
Bolivie[32]
Nicaragua (Día de la Madre)[33]
Dernier dimanche de mai Tunisie, Algérie, Côte d'Ivoire, République dominicaine, Haïti, Libye, Maurice, Sénégal, Suède, Tchad et Maroc
Dernier dimanche de mai ; si ce jour coïncide avec la Pentecôte, la fête est repoussée au premier dimanche de juin Togo, Bénin, France, République du Congo, Gabon[34], Madagascar, Monaco et Cameroun[35]
Mongolie (la fête des Mères est célébrée le même jour que la fête des Enfants)[36]
Deuxième dimanche de juin Luxembourg (Mammendag)
Dernier dimanche de juin Kenya[37],[38]
1er lundi de juillet Soudan du Sud
Thaïlande (même jour que l'anniversaire de la Reine Sirikit Kitiyakara depuis [39])
, jour de l'Assomption BelgiqueAnvers)[40] et Costa Rica
Deuxième lundi d'octobre Malawi
Biélorussie
Troisième dimanche d'octobre Argentine (Día de la Madre ou Día de las Madres)[41]
Corée du Nord depuis
Dernier dimanche de novembre Russie
Panama[42] (Día de la Madre ou Día de las Madres)
Indonésie[43]

Certaines personnes[Qui ?] en France critiquent cette fête car elle n'inclut pas les enfants qui n'ont pas de mère et veulent la supprimer à l'école[44] ou la remplacer par « la fête des gens qu'on aime »[45].

Notes et références

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  1. Fêtes civiles et religieuses selon : Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, France, Imprimerie nationale, (réimpr. 2007, 2008, 2011, 2014), 6e éd. (1re éd. 1971), 197 p. (ISBN 978-2-7433-0482-9), p. 81.
  2. Académie française, « FÊTE, n. f. », dans Dictionnaire de l'Académie française, t. 2 : Éoc-map, Paris, Fayard et Imprimerie nationale, , 9e éd., VI-594 p. (ISBN 2-213-60790-7 et 2-7433-0398-0) [lire en ligne sur cnrtl.fr] [lire en ligne sur dictionnaire-academie.fr] : I.2 : « Par anal. Jour de l'année au cours duquel sont organisées des manifestations publiques ou privées en l'honneur de quelqu'un ou de quelque chose. La fête des mères. Fête des fleurs, des vendanges. »
  3. « Fête des Mères  : quelles fleurs offrir ? », CNews, .
  4. a et b (en) James A. Kuse, Mother's Day Ideals, Ideals Publications, , p. 17.
  5. Jacques Bertillon, La dépopulation de la France : Ses conséquences, ses causes, mesures à prendre pour la combattre, Paris, Félix Alcan, coll. « Bibliothèque générale des sciences sociales » (no XXXVIII), , III-346 p. (lire en ligne).
  6. Émile Zola, « Dépopulation », Le Figaro, 3e série, vol. 42, no 144,‎ , p. 1 (lire en ligne).
  7. Fécondité sur Wikisource.
  8. Jacquemond 2019, p. 58–62.
  9. Gilbert Coffano, Dauphiné mystérieux et légendaire, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 254 p. (ISBN 2-84206-114-4, lire en ligne), « Artas, village isérois à l'origine de toutes les mamans », p. 233–237.
  10. Chauvin 1996 et Chauvin 2010.
  11. « Artas, berceau de la fête des Mères », site de la mairie d'Artas.
  12. Jacquemond 2019, p. 71–76.
  13. Luc Capdevila (CRHISCORennes-II) et Fabrice Virgili (IHTPCNRS), « Guerre, femmes et nation en France () », sur irice.univ-paris1.fr, IRICE, Paris-I (version du sur Internet Archive).
  14. Jacquemond 2019, p. 85.
  15. Nejma Omari, « L'invention de la fête des mères : origines, histoire médiatique et idées cadeaux », sur gallica.bnf.fr, blog de Gallica, (consulté le ).
  16. Pascal Riché, « Non, Vichy n'a pas inventé la fête des Mères (mais presque) », L'Obs, (consulté le ).
  17. Henry d'Humières, Vérités sur l'action du Maréchal Pétain, Paris, Lettres du monde, , 316 p. (ISBN 2-7301-0167-5), p. 43.
  18. Loi no 50-577 du relative à la fête des Mères, JORF, no 124, , p. 5722.
  19. Décret no 56-149 du portant codification des textes législatifs concernant la famille et l'aide sociale, JORF, no 23, , p. 1109–1136.
  20. Articles 17 à 19 du Code de la famille et de l'aide sociale.
  21. Ordonnance no 2000-1249 du relative à la partie Législative du code de l'action sociale et des familles, JORF, no 297, , NOR MESX0000083R, p. 20471–20473.
  22. Décret no 2004-1136 du relatif au code de l'action sociale et des familles (partie Réglementaire), JORF, no 250, , texte no 112, p. 18047 + annexe, p. 37291–37464, NOR SOCA0422170D.
  23. Article R. 215-1 et article D. 215-2 du Code de l'action sociale et des familles.
  24. Jacquemond 2019, p. 48–49.
  25. Jacquemond 2019, p. 46–48.
  26. Antolini 2014, p. 96–123.
  27. Jacquemond 2019, annexes p. 216–218. Voir les dictionnaires suivants : Historical Dictionaries of Asia, Oceania and the Middle West, Scarecrow Press, publiés ou réédités entre 1996 et 2010, et les Historical Dictionaries of Europe, Scarecrow Press, publiés ou réédités entre 2006 et 2013.
  28. Éditions Le Pays.
  29. « Fête des mères », TERMIUM Plus, sur btb.termiumplus.gc.ca, Bureau de la traduction, Gouvernement du Canada, .
  30. Días Nacionales en Chile.
  31. (pl) Dzień Matki.
  32. Bolivianisima.
  33. (es) El Nuevo Diario.
  34. InfoPlus Gabon.
  35. Le mag'Dromadaire.
  36. LonelyPlanet.
  37. EzinzMark, Mothers Day Celebrations in Kenya and Kenyan flowers [(en) lire en ligne].
  38. MorherDayCentral, 2012 Celebration Dates Around the World [(en) lire en ligne].
  39. Les fêtes thaïes sur le site Fr-thai.com.
  40. Correspond à la fête de l'Assomption de la Vierge Marie. La Fête des pères est le et correspond à la Saint Joseph.
  41. (es) Fabián Castro, « El día de la madre en el mundo y en la Argentina », sur catolicus.com,
  42. Cuando Pasa.
  43. (en) Living in Indonesia.
  44. « À l'école, fini la Fête des mères : on fait désormais des cadeaux... pour des gens qu'on aime », Le Parisien, (consulté le ).
  45. « Remplacer la Fête des mères par "la fête des gens qu'on aime" ? L'idée fait polémique », La Dépêche du Midi, (consulté le ).

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • (en) Katharine Lane Antolini, Memorializing Motherhood : Anna Jarvis and the Struggle for Control of Mother's Day, Morgantown, West Virginia University Press, , 219 p. (ISBN 978-1-938228-93-3).
  • Armelle Canitrot (sous la dir. de Madeleine Rebérioux), Histoire de la Fête des Mères, (mémoire de maîtrise), Paris-VIII, , 212 p. (SUDOC 101779895).
  • (en) Encyclopædia Britannica, t. XV, , p. 849.
  • Pascal Chauvin, Artas, berceau de la fête des Mères, Bourgoin-Jallieu, Association Mémoire et patrimoine d'Artas, , 44 p. (ISBN 2-904396-01-2).
  • Pascal Chauvin (préf. Virginie de Luca Barrusse), L'Union fraternelle des pères de famille méritants d'Artas : À l'origine de la fête des Mères : histoire française d'une célébration illustrée par la carte postale, Artas, Association Mémoire et patrimoine d'Arras, , 40 p. (ISBN 978-2-9535118-0-2).
  • Louis-Pascal Jacquemond, Histoire de la Fête des Mères : Non, Pétain ne l'a pas inventée !, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 239 p. (ISBN 978-2-7535-7753-4).
  • Marianne Peyrat (sous la dir. d'Antoine Prost), La Fête des Mères de à (mémoire de maîtrise), Paris-I, , 152 p. (SUDOC 101787677).

Liens externes

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