Flines-lez-Raches — Wikipédia
Flines-lez-Raches | |||||
L'église Saint-Michel, classée aux monuments historiques. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Douaisis Agglo | ||||
Maire Mandat | Annie Goupil-Deregnaucourt 2020-2026 | ||||
Code postal | 59148 | ||||
Code commune | 59239 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Flinois | ||||
Population municipale | 5 610 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 292 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 25′ 38″ nord, 3° 11′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 40 m | ||||
Superficie | 19,22 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Flines-lez-Raches (ville isolée) | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orchies | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Nord Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.flines-lez-raches.fr/ | ||||
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Flines-lez-Raches (aussi Flines-lez-Râches) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Située sur la route nationale 50.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Raches Aval, le canal du Décours, le Marais des Six Villes, le Marichon et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].
La Scarpe canalisée et une section canalisée de la Scarpe, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Arras et se jette dans l'Escaut canalisée à Mortagne-du-Nord, après avoir traversé 34 communes[2].
Le Raches Aval, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Roost-Warendin et se jette dans la Scarpe canalisée à Marchiennes, après avoir traversé cinq communes[3].
Le canal du Décours, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Scarpe canalisée à Saint-Amand-les-Eaux, après avoir traversé sept communes[4].
Le Marichon, d'une longueur de 10 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le canal du Décour à Marchiennes, après avoir traversé deux communes[5].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : Mer de Flines (2,7 ha)[Carte 1],[6].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[7].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cappelle-en-Pévèle à 9 km à vol d'oiseau[10], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,6 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Flines-lez-Raches est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Flines-lez-Raches[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[16]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), zones urbanisées (18,1 %), forêts (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), mines, décharges et chantiers (4,6 %), prairies (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la ligne 16 du réseau urbain Évéole et par la ligne 857 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La nom Flines viendrait du verbe germanique flean, flihen, couler. La ville se trouve sur la gauche de la Scarpe et proche du gigantesque marais des Six-Villes. Flines était alors sujette à des inondations.
D'après les registres de l'état civil, cette commune a porté les noms suivants :
- avant 1802 : Flines
- de 1803 à 1806 : Flines-lez-Marchiennes
- de 1807 à Septembre 1813 : Flines-lez-Raches
- d'octobre 1813 à janvier 1848 : Flines-lez-Marchiennes
- depuis février 1848 : Flines-lez-Raches
Ses habitants sont appelés les Flinois[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]En se baignant dans un lac appelé la mer de Flines, des enfants ont trouvé environ 400 pièces de monnaie appartenant aux différents âges de l'empire romain. En 1806, ces pièces étaient détenues en Préfecture. Parmi elles, quelques-unes sont gauloises, dont deux en or. Le lieu de la trouvaille est également celui où fut découvert un bateau antique[21].
En 2008, des fouilles archéologiques réalisées sur le boulevard des Alliés par le service archéologique de la Communauté d'agglomération du Douaisis, ont permis de découvrir un centre de production de tuiles gallo-romaines[22] :
En direction de Coutiches, le site regroupe les traces de plusieurs bâtiments datant des IIe et IIIe siècles. Ces bâtiments servaient d'ateliers de tuiliers, dont un de 6,50 mètres sur 20 mètres de long avec un sol pavé de tuiles et des traces de canalisations en terre cuite.
Le sol étant très argileux, la matière première était à proximité.
Après le début de la Première Guerre mondiale, Flines-lez-Raches est occupé au mois de septembre 1914 et devient base arrière des troupes allemands. La « Kommandantur » installée face à la mairie impose le couvre-feu, réquisitionne bétail, vivres, bois et métaux et dépouillera, en 1917, l'église de ses cloches. La « maison des Dames de Flins », communément appelée « couvent » devient caserne avant d'être aménagée en « Lazarett ». La fabrique de briques réfractaires Duthoit-Soufflet est transformée en étable pour les chevaux de cavalerie, la « ferme Desprez » en étable de vaches laitières — avec laiterie, atelier de production fromagère et cantine. La brasserie Lespagnol[23] est réquisitionnée pour l'établissement d'un centre d'abattage qui fournit l'armée allemande dans toute la région. Dans l'usine de confection de vêtements du groupe Halimbourg-Akar est installé un atelier de réparation d'armes et de canons. La faïencerie Dubus devient prison. Les écoles sont occupées par des entrepôts de vivres et de matériel militaire. Un cinéma pour la troupe fonctionne dans la grande salle de l'école Saint-Michel[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 4 467 inscrits, dont 1 873 votants (41,93 %), 22 votes blancs (1,17 %) et 1 815 suffrages exprimés (96,90 %). La liste étiquetée divers gauche Agir durablement pour bien vivre ensemble menée par la maire sortante Annie Goupil-Deregnaucourt[25] recueille 1 186 voix (65,34 %) et remporte ainsi vingt-quatre sièges au conseil municipal contre cinq pour la liste divers droite Rassemblement flinois menée par Jean-Michel Zablinski avec 629 voix (34,66 %)[26],[27].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Maire en 1802-1803 : Debruille[28].
Maire en 1807 : Lespagnol[29].
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
---|---|---|---|---|
Début | Fin | |||
Édouard Bouchar (d) | 11 ans et 10 mois | |||
Gaston Thomas (d) | 5 mois | |||
Édouard Bouchar (d) | 5 ans et 7 mois | |||
Daniel Henno (d)[30],[31] ( - ) | (démission) | 28 ans et 2 mois | Parti communiste français | |
Daniel Lemaire (d)[32],[33] ( - ) | (démission) | 12 ans et 5 mois | Parti communiste français | |
Annie Goupil-Deregnaucourt (d)[34],[35] (née le ) | En cours | 13 ans | Parti communiste français Front de gauche divers gauche |
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]La commune abrite un site à risque Seveso, EPC france (EPC groupe), pour lequel le sous-préfet, le 22 janvier 2009, à la suite de l'arrêté préfectoral du 2 mars 2007, a installé un centre local d'information et de coordination (CLIC) qui a été consulté sur le contenu et les orientations stratégiques du plan de prévention des risques technologiques (PPRT), les cartes d'aléa et d'enjeux, le projet de zonage brut de l'usine.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2021, la commune comptait 5 610 habitants[Note 4], en évolution de +1,69 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement agée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 751 hommes pour 2 846 femmes, soit un taux de 50,85 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
[modifier | modifier le code]- L'Olympique Flinois, club de football créé en 1949 évolue désormais en D1 après son titre de champion durant la saison 2019-2020 stoppé précipitamment, la plus haute division dans laquelle le club a évolué depuis sa création.
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Michel.
- L'église Notre-Dame-de-Pellevoisin.
- La mer de Flines, lieu-dit, autrefois (écrivait le géologue M Meugy en 1852) « depuis longtemps renommé par la quantité d'objets d'art qui s'y trouvent enfouis. On en a retiré, d'après M. Derode[42], deux bateaux de près de douze mètres de longueur, taillés dans un tronc d'arbre, des haches de silex, des monnaies, des bronzes, des statuettes »[43].
- La commune était traversé par la ligne de Pont-de-la-Deûle à Bachy - Mouchin qui est aujourd'hui détruite. Il subsiste le bâtiment-voyageurs de la gare.
- L'Abbaye de Flines : Monique Heddebaut[44] indique qu'il y avait aussi une abbaye qui a été démolie à la Révolution ; les derniers vestiges en ont disparu au milieu du XIXe siècle. Fondée par Marguerite de Constantinople, comtesse de Flandre vers 1234, elle fut le lieu de sépulture de plusieurs comtes de Flandre de la dynastie de Dampierre.
- Les trois monuments aux morts : l'ancien, apposé sur la façade de l'église ; celui de la guerre franco-allemande de 1870 et celui de la Première Guerre mondiale.
- L'église Notre-Dame-de-Pellevoisin.
- La mer de Flines.
- La gare.
- Le monument aux morts ancien.
- Celui de la guerre de 1870.
- Celui de la Grande Guerre.
- La mairie.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jeanne de Constantinople (entre 1194 et 1200-1244), comtesse de Flandre et de Hainaut
- Jean-Jacques Stenven (1950), artiste peintre
Folklore
[modifier | modifier le code]Flines-lez-Raches a pour géants Prosper, Prosperine, Marcel et Saint-Michel[45].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Flines-lez-Raches se blasonnent ainsi : D'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Compagnie des mines de Flines
- Liste des abbayes et monastères
- Anciennes communes du Nord
- Liste des géants du Nord de la France
- Communes du Nord
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Flines-lez-Raches » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Flines-lez-Raches », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Scarpe canalisée »
- Sandre, « le Raches Aval »
- Sandre, « le canal du Décours »
- Sandre, « le Marichon »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Flines-lez-Raches et Cappelle-en-Pévèle », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Flines-lez-Raches », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Flines-lez-Raches ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ).
- Source La Voix du Nord du 6 avril 2008.
- Louis Lespagnol, Historique des brasseries Lespagnol, Pays de Pélèle, no 46, pp. 20-27.
- Monique Heddebaut, La vie quotidienne à Flines-lez-Raches pendant la Première Guerre mondiale (en ligne).
- D. D., « Annie Goupil, maire sortante, veut plus de développement durable », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162, , p. 13.
- « Élections municipales, Flines-lez-Raches », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 33.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Flines-lez-Raches », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 9.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163).
- « Flines-lez-Raches: le maire honoraire Daniel Henno tire sa révérence », La Voix du Nord, : « Au terme de quarante-trois années de mandats successifs, dont vingt-huit en tant que premier magistrat, Daniel Henno, maire honoraire, a décidé de ne plus se présenter. À l’occasion du dernier conseil municipal de la présente mandature, Annie Goupil, maire, a souhaité lui rendre un hommage officiel au nom de la municipalité. »
- Nicolas Foissel, « Flines-lez-Râches : l’ancien maire Daniel Henno est décédé », L'Observateur du Douaisis, : « Celui qui a dirigé la commune durant vingt-huit ans rejoint Daniel Lemaire, décédé il y a deux ans et à qui il avait laissé son fauteuil en 1999. »
- Christophe Benoit, « Après plus de 40 années de mandats électoraux, le maire de Flines-lez-Râches Daniel Lemaire décide de passer la main », La Voix du Nord,
- Bruno Place, « L’ancien maire de Flines-lez-Raches, Daniel Lemaire, est décédé », L'Observateur du Douaisis, : « Plus de 45 années de mandat électif pour cet ingénieur flinois de naissance, directeur de l’ENTE à Valenciennes, devenu président du SIRFAG en 1983, maire de Flines les Râches en 1999 puis vice-président de la CAD jusqu’en 2014. Il avait succédé sous l’étiquette du Parti Communiste comme premier magistrat de Flines lez Râches à Daniel Henno. Adjoint au maire dès 1971, Daniel Lemaire avait déjà été premier adjoint de 1977 à 1999. En 2011, suite à sa démission, sa première adjointe Annie Goupil était devenue maire de la commune. »
- Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428) :
.« Flines-lez-Râches. Annie Goupil, 65 ans, souhaite encore écrire un nouveau chapitre pour sa commune. Maire depuis 2011, après avoir remplacé Daniel Lemaire, aujourd’hui décédé. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Flines-lez-Raches : divers gauche »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Flines-lez-Raches (59239) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Derode, Histoire de Lille, p. 21 et 31.
- Essai de géologie pratique sur la Flandre française, M. Meugy, membre résident, in Mémoires de la Société royale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille, imprimerie L. Danel, 1852 (Livre numérique Google : [1])
- Monique Heddebaut, Sur les traces de l'abbaye de Flines, Pays de Pévèle, 1995.
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15