Gaz électricité de Grenoble — Wikipédia
Gaz Électricité de Grenoble (GEG) | |
Création | 1903 |
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Forme juridique | Société Anonyme d'Economie Mixte Locale |
Slogan | Vivons l'énergie autrement |
Siège social | Grenoble |
Direction | Vincent Fristot, Président Christine Gochard, Directrice Générale |
Actionnaires | Ville de Grenoble, Engie, EDEV (filiale d'EDF), COGAC (filiale de Gaz de France), Personnel de GEG, Caisse des dépôts et consignations, Schneider Electric, Caisse d'épargne Rhône Alpes, Banque Rhône-Alpes |
Activité | - Distribution et fourniture de gaz et d’électricité - Production d’électricité verte (hydroélectricité, solaire photovoltaïque, éolien, biogaz) - Production de chaleur propre : cogénération) - Éclairage public - Gaz naturel véhicules |
Filiales | GEG Source d'Energies, GEG ENeR, Isergie, SCI Vega Europole, GNV Alpes Grenoble |
Effectif | 425 en 2017 |
SIREN | 343796744 |
Site web | geg.fr |
Chiffre d'affaires | 96 611 200 € en 2017 |
Résultat net | 5 642 900 € en 2017 |
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Gaz Électricité de Grenoble (GEG) est une société d'économie mixte locale qui produit des énergies renouvelables, gère les réseaux de distribution d’électricité et de gaz à Grenoble, fournit de l’électricité et du gaz dans toute la France, et propose des services d’éclairage public.
Description
[modifier | modifier le code]En 2006 ,l’entreprise est le sixième distributeur français d'électricité et le quatrième distributeur français de gaz[1].
Elle exploite également des réseaux d’éclairage public communaux, dont celui de Grenoble[2].
À partir de 2015, GEG alimente en électricité la tour Eiffel pour une durée de deux ans[3].
Vers une remunicipalisation ?
[modifier | modifier le code]En , par une procédure d'appel d'offres démarrée par la municipalité en place en 2012, la gestion de l'éclairage public de la ville de Grenoble, jusque-là géré par GEG, dont l'actionnaire majoritaire est la ville (le reste détenu par GDF Suez), est transférée au groupement Vinci-Bouygues. Face aux mouvements sociaux[4] des salariés de GEG et face à l'incompréhension de voir l'arrivée d'un attributaire privé au détriment d'une SEM comme GEG, le maire écologiste Éric Piolle réaffirme son souhait de remunicipaliser GEG dans un giron 100 % public[5],[6]. Cependant, lors de l'émission TéléGrenoble Isère du , Matthieu Chamussy, l'un de ses opposants au conseil municipal affirme que le coût d'une « remunicipalisation » d'une telle entreprise aurait un coût financier considérable[Combien ?] pour la collectivité[7].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « GEG s'étend de l'eau à l'air », servirlepublic.fr (consulté le ).
- Éclairage public : GEG répond aux critiques Place Gre'net, 18 février 2014
- La Tour Eiffel alimentée par une entreprise Grenobloise, sur latribune.fr du
- « Les salariés de GEG coupent l'électricité et font annuler le conseil municipal », sur francetvinfo.fr/, (consulté le ).
- « Eclairage Public à Grenoble », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- Eclairage public : Eric Piolle demande 9 mois au préfet Place Gre'net, 13 novembre 2014
- Émission Récap info du 22 novembre 2014 (44 min/52 min 37 s)., sur telegrenoble.net