Geoffroy II de Lusignan (seigneur de Jarnac) — Wikipédia
Seigneur de Jarnac, Château-Larcher, Châteauneuf |
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Naissance | V. 1268 |
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Décès | |
Surnom | le Jeune |
Époque | |
Période d'activité | – |
Famille | Maison de Lusignan (sous-lignage de Jarnac) |
Père | |
Mère | Jeanne de Châtellerault |
Fratrie | |
Conjoint | Pernelle de Sully |
Postérité | Sans |
Grands-Parents | |
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Héritier | Dreux IV de Mello |
Geoffroy II de Lusignan[1] dit le Jeune[2] (v. 1268-) est un aristocrate poitevin issu de la maison de Lusignan. Il est seigneur de Jarnac[3], Château-Larcher[4],[5], Châteauneuf[6],[7].
Biographie
[modifier | modifier le code]Famille
[modifier | modifier le code]Geoffroy[8] dit le Jeune[7] est le fils de Geoffroy Ier de Lusignan (v. 1223-1274) et de sa seconde épouse Jeanne de Châtellerault (av. 1243-1315). Sa mère devient vicomtesse de Châtellerault, en 1290, à la suite du décès de son frère Jean Ier[9],[10],[11].
Geoffroy a une demi-sœur aînée, Eustachie de Lusignan (v. 1250-1270,) issue du premier mariage de son père avec Almodis de Sainte-Hermine (v. 1230-ap. 1248). Il a également un demi-frère, Jean III d'Harcourt[11], et deux demi-sœurs, Jeanne et Marguerite d'Harcourt, nés du second mariage de sa mère avec Jean II d'Harcourt (v. 1240-1302)[12].
Enfin, Geoffroy est apparenté aux rois d'Angleterre[13], par sa grand-mère paternelle, et aux comtes de la Marche et d'Angoulême[14]. Ses cousins sont Edouard Ier d'Angleterre et Hugues XII de Lusignan.
Le , son beau-père, Jean II d'Harcourt, rend hommage l'évêque de Poitiers pour les terres qu'il tient de sa femme, Jeanne de Châtellerault, à Chauvigny[15],[16],[17].
Homonyme
[modifier | modifier le code]Geoffroy II de Lusignan, seigneur de Jarnac, ne doit pas être confondu avec son père Geoffroy Ier de Lusignan, ni avec un autre Geoffroy Ier de Lusignan dit le Prud'homme (av. 1150-1216), croisé, illustre combattant, comte de Jaffa[18] et d'Ascalon en Terre-sainte, et son fils Geoffroy II de Lusignan (v. 1195-), tous deux seigneurs de Vouvant et de Mervent[19].
Sous-Lignage
[modifier | modifier le code]Geoffroy le Jeune est un membre du sous-lignage[20],[21] de Jarnac de la maison de Lusignan[22].
Décès et succession
[modifier | modifier le code]Le , à la suite du décès de Geoffroy II de Lusignan, le parlement de Paris attribue les fiefs[23] du défunt à Dreux IV de Mello, son neveu, fils de sa demi-sœur Eustachie de Lusignan ; malgré l'opposition de Guy Ier de Lusignan, comte de la Marche[24],[25].
Mariage
[modifier | modifier le code]Pernelle de Sully
[modifier | modifier le code]En 1296, Geoffroy le Jeune épouse Pernelle de Sully (av. 1285-ap. 1339), fille d'Henri III (♰ 1285) seigneur de Sully (1269-1285), bouteiller de France, et de Marguerite de Beaumez (♰ 1323). Leur union reste sans postérité[26].
Veuve, Pernelle de Sully épouse Jean II de Dreux dit le Bon[27] (1265-1309) en 1308[28].
Sceau et armoiries
[modifier | modifier le code]François Eygun attribue[29] de manière erronée ce sceau[30] à Geoffroy II de Lusignan, fils du seigneur de Jarnac. Il semble qu'aucun sceau de Geoffroy le Jeune n'ait survécu[31].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Nom patronymique attesté dans les chartes.
- Surnom attesté dans une charte.
- 1 H 5/24, no 3 (original parchemin), Poitiers, Archives départementales 86, xiiie siècle (lire en ligne) :
« Universis presentes litters inspecturis et audituris, Gaufridus de Lezigniaco, dominus de Jarniaco, salutem in Domino. Noveritis quod cum contencio verteretur inter nos ex parte una et Heliam venerabilem abbatem Nobiliacensis ex altera super alta juridictione de villa de Joareno, de Vintrayo, de Alona et de Ferrabou tandem de dicta contentione compromissum fuit ex parte dicti abbatis in magistrum Petrum Priscatium, clericum, et ex parte nostra in dominum Simonem de Baudimento, militem, et promisimus nos, dictus Gaufridus fide data alto et basso fideliter attendere, observare et prosequi quicquid de dicta contencione pro dictos arbitros dictum statutum prolocutum fuit infra Pascha proximo venturum seu etiam ordinatum actum eciam fuit in dicto compromisso quod dictus abbas remaneret in sua possessione in qua idem abbas erat et fuerat ab antiquo usque ad tempus dicti compromissi. Actum et fuit in dicto compromisso pro trigenta solidi qui fuerunt levita pro manum nostri prepositi a monerio dicti abbatis de Torue racione cujusdam emende tradentur et ponentur in manu dictorum arbitrorum et quod dictis arbitris dictos trigenta solidos tradent et reddent cui de jure vel consuetudine vident quod tradi et reddi possent. Actum et fuit etiam et conventum in dicto compromisso pro levacio seu adjudicacio dictorum trigenta solidorum nec et processus habitis coram dicto proposito seu alloqutis nostris alicui precium possessio aliqua alte vel basse seu cujuslibet alterius jurisdictionis daret vel conferret et tamen in ipso compromisso salvis racionibus huic et inde. In cujus rei testimonium presenti littere sigilli nostrum duximus apponendum. Datum die mercurii ante festum sancti D[amiani] anno Domini millesimo ducentesimo nonagesimo secundo. »
1292, 24 septembre : Geoffroy [II] de Lusignan, seigneur de Jarnac, était en conflit avec l'abbé Hélie de Nouaillé au sujet de la haute justice de Jouarenne, Vaintray, Aslonnes et Ferrabeuf. Un compromis est établi entre eux par deux arbitres dont le chevalier Simon de Baudiment pour Geoffroy. Il abandonne toute la justice que l'abbé avait autrefois et se réserve les peines de mort en échange de la somme de 30 sous. - Manuscrits de Dom Fonteneau, t. XXII : Documents provenant de l'abbaye de Nouaillé (1200-1624) (manuscrit latin et français, copie du XVIIIe siècle, par Dom Fonteneau, d'après copie du copie du XVIIe siècle, d'après original perdu), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, (lire en ligne), fo 375–377
- Chartes et documents poitevins du XIIIe siècle en langue vulgaire (éd. Milan Sylvanus La Du), vol. 1, t. LVII : Archives historiques du Poitou, Poitiers, (présentation en ligne), no 175, p. 274-2761294, 18 janvier, Poitiers : Geoffroy [II] de Lusignan, valet, seigneur de Château-Larcher, était en conflit avec l'abbé Hélie de Nouaillé au sujet de la haute justice de Jouarenne, Vaintray, Aslonnes, Ferrabeuf, Fontjoise et Torue. L'accord entre eux détermine que la justice haute, moyenne et basse et la viguerie demeureront entre les mains de l'abbé et que le seigneur de Château-Larcher gardera l'exécution des malfaiteurs condamnés à mort à ses frais. Il ne pourra pas faire pendre des gens ou élever des gibets, ni tenir d'assises. Les hommes de l'abbaye de Nouaillé ne dépendront pas de la justice seigneuriale à l'exception de ceux qui habitent Château-Larcher. En revanche, Geoffroy [II] garde tout ce que les moines possédaient à la Frugerie.
- K//1144/A, no 19 bis (Vidimus du XVe siècle, par Bareau et Morpam, notaires royaux), Paris, Archives Nationales, xve siècle1296, 17 août : Geoffroy [II] de Lusignan, seigneur de Jarnac et de Châteauneuf, consent que les bourgeois de Châteauneuf puissent faire moudre leurs grains dans d'autres moulins que celui de Châteauneuf, pourvu qu'ils soient à lui.
- Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême (éd. Jean Nanglard), Angoulême, (lire en ligne), p. 232-233 :
« Item dominus Gaufridus Junior, dominus de Castronovo »
1299, 13 août : Geoffroy [II de Lusignan] le Jeune, seigneur de Châteauneuf, fait hommage lige à l'évêque d'Angoulême, Guillaume [III] de Blaye pour le manse de Lavallée et pour les droits qu'il a de tenir des assises à Plassac, Rouffiac et Voulgézac, pour tous les droits de haute et basse seigneurie et tout ce qu'il a dans ces bourgs et ces paroisses et pour ce que son père a acquis de l'abbé de Bassac, dans la paroisse de Plassac. - Geoffroy II [IV] de Lusignan est le quatrième membre de la famille de Lusignan à porter le prénom Geoffroy.
- Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la Merci-Dieu : autrement dite de Bécheron, au diocèse de Poitiers (éd. Étienne Clouzot), t. XXXIV : Archives historiques du Poitou, Poitiers, Société française d'imprimerie et de librairie, (lire en ligne), CCLXXVIII : Littera domini Johannis de Harecort, vicecomitis Castri Ayraudi, et uxoris sue pro terra nostra de plain Martin, p. 295-2961291, 24 mars : Lettre du vicomte de Châtellerault Jean II le Preux d'Harcourt et de la vicomtesse de Châtellerault Jeanne par laquelle ils concèdent aux moines de l'abbaye de la Merci-Dieu le droit de fournir les mesures de blé et de vin dans les paroisses de Saint-Cenery, Maillé, Crémille, Pouzay en leur attribuant une partie des amendes auxquelles seront condamnés ceux qui auront fait usage de mesures non contrôlées.
- Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), vol. 1 (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Université de Poitiers, (lire en ligne [PDF]), p. 24
- Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), vol. 1 (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Université de Poitiers, (lire en ligne [PDF]), p. 107 :
« Jean Ier décède en 1290 sans héritier vivant. C'est donc sa sœur Jeanne cadette qui lui succède. Elle et son époux, Jean II d'Harcourt, engendrent plusieurs enfants qui leurs survivent. L'aîné, Jean III, devient à son tour vicomte de Châtellerault en 1315. »
- Sam Camus, « Le fief du château d'Harcourt et ses possesseurs », Bulletin de la Société de recherches archéologiques, artistiques, historiques et scientifiques du Pays chauvinois, vol. II, no 16, , p. 12 (lire en ligne [PDF])
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 12 (« Liens de parenté entre Lusignan, Plantagenêt et Montfort »), p. 171
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 20 (« Les enfants d'Hugues X et d'Isabelle d'Angoulême (1221-1296) »), p. 179
- Gilles-André de La Roque, Histoire généalogique de la maison de Harcourt, t. III, Paris, Sébastien Cramoisy, (lire en ligne), p. 210
- Cartulaire de l'évêché de Poitiers ou Grand Gauthier (éd. Louis Rédet), t. X : Archives historiques du Poitou, Poitiers, Oudin, (lire en ligne), p. 341 :
« Copia feodi seu homagii domini Johannis de Ayracuria. »
- Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), vol. 2 : Annexes (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Poitiers, Université de Poitiers, (lire en ligne [PDF]), no 159, p. 92-93
- Die Urkunden der Lateinischen Könige von Jerusalem (éd. Hans Eberhard Mayer et Jean Richard), vol. 2, Hanovre, Hahnsche Buchhandlung, coll. « Monumenta Germaniae Historica / Diplomata Regum Latinorum Hierosolymitanorum » (no 6), (lire en ligne), no 485, p. 825-8281191, 26 octobre, dans l'armée en marche vers Jaffa : Guy [Ier] de Lusignan, roi de Jérusalem, à la demande du roi d'Angleterre, Richard [Ier], confirme aux Génois et à la commune de Gênes tout ce qu'ils possédaient à Acre avant la prise de la ville et en remerciement pour tout ce qu'ils ont dépensé pour son service et celui de toute la Chrétienté au siège d'Acre, leur accorde la liberté d'entrer et de sortir par terre et par mer, à Acre, avec toutes leurs marchandises et toutes leurs affaires sans avoir à payer de coutume. Ses frères, Geoffroy [de Vouvant], comte de Jaffa, et le connétable Aimery de Lusignan souscrivent.
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 10 (« Le sous-lignage de Vouvant »), p. 169
- José Enrique Ruiz Doménec, « Système de parenté et théorie de l’alliance dans la société catalane (environ 1000-environ 1240) », Revue Historique, no 262, , p. 305-326 (lire en ligne [PDF])José Enrique Ruiz Doménec propose de substituer à la notion généalogique de branche cadette le concept de « sous-lignage » : issu d'une souche principale qui en encadre les membres, il est toujours prêt à combattre à son service.
- Clément de Vasselot de Régné, « Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècle) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre, no 23.1, , § 1-2 (lire en ligne)
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 24 (« Le sous-lignage de Jarnac »), p. 181
- Les seigneuries de Château-Larcher, Châteauneuf et Jarnac.
- Les olim ou registres des arrêts rendus par la cour du roi (éd. Jacques Claude Beugnot), t. II : 1274-1318, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), IV, p. 4841306, 14 décembre, Parlement de Paris : Geoffroy [II] de Lusignan étant décédé, Dreux [IV] de Mello, [fils de sa demi-sœur, Eustachie de Lusignan], demande, en tant que plus proche parent du défunt, à être admis à prêter au roi de France [Philippe IV le Bel] l'hommage pour les fiefs de Geoffroy [II, les seigneuries de Château-Larcher, de Châteauneuf et de Jarnac]. Guy de Lusignan, comte de la Marche, neveu de Geoffroy a présenté des lettres qui faisaient mention d'un applégement et d'un contre-applégement, faites devant le sénéchal de Poitiers, et a demandé à être mis en possession de l'héritage. Le parlement se prononce finalement en faveur de Dreux [IV] qui est admis à prêter hommage.
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 934-935
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 902
- Comte de Dreux, de Braine, de Montfort et de Joigny.
- André Du Chesne, Histoire généalogique de la maison royale de Dreux, Paris, Sébastien Cramoisy, (lire en ligne), p. 285
- Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 443, p. 223 & pl. XV
- SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy de Lusignan - An-Paris - J 629, no 3 », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VII (« Seigneurs de Jarnac / Geoffroy Ier de Lusignan / sceau du secret [1258-1269] »), p. 328
Sources et bibliographie
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell, Université de Poitiers, 2 vol., 231 p., 2018. [lire en ligne]
- Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, Université de Nantes, 4 vol., 2 797 p., décembre 2018. [lire en ligne]