Gurs — Wikipédia

Gurs
Gurs
La mairie
Blason de Gurs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Christian Puharré
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64253
Démographie
Gentilé Gursois
Population
municipale
417 hab. (2021 en évolution de −3,02 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 18″ nord, 0° 45′ 09″ ouest
Altitude Min. 119 m
Max. 254 m
Superficie 10,96 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Gurs
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Gurs
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Gurs

Gurs [ɡyʁs] est une commune française, située exactement au centre du département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Gurs se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 46 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 18 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 20 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].

La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Dognen (1,2 km), Sus (2,4 km), Jasses (2,7 km), Lay-Lamidou (2,7 km), Préchacq-Navarrenx (3,2 km), Susmiou (3,7 km), Navarrenx (3,9 km), L'Hôpital-Saint-Blaise (4,2 km).

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Dognen, L'Hôpital-Saint-Blaise, Jasses, Moncayolle-Larrory-Mendibieu, Préchacq-Josbaig et Sus.

Géologie et relief

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Sur le plan historique et culturel, Gurs fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[7].

Hydrographie et les eaux souterraines

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gurs.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Lausset, l’arrec de la Mouline, L'Arrieu, le Geronis, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[10].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 237 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 15 km à vol d'oiseau[14], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[19], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[20],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : le « Lausset amont et zones tourbeuses associées » (190,06 ha), couvrant 11 communes du département[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[23].

Au , Gurs est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[1]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,4 %), forêts (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), prairies (11,7 %), zones urbanisées (5,7 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

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  • Les Ahitaux.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Gurs est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gurs.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Lausset. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009[30],[28].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 68,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[32].

Commune située dans une zone 4 de sismicité moyenne[33].

Attestations anciennes

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Le toponyme Gurs est mentionné au XIe siècle[34] (d'après Pierre de Marca[35]), et apparaît sous les formes Gurtz (XIe – XIVe siècle[36], Anciens Fors), Gurz (1286[34], titres de Béarn[37]), Gurtz (1385[34], censier de Béarn[38]) et Sent Marti de Gurtz (1396[34], notaires de Navarrenx[39]).

Autres toponymes

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Les Ahitaux est un hameau de Barraute-Camu mentionné en 1863, dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[34] et qui apparait sous la forme Los Affitaux en 1560[34] (réformation de Béarn[40]).

Graphie béarnaise

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Son nom béarnais est Gurs.

Paul Raymond[34] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Gurs comptait 35 feux et dépendait du bailliage de Navarrenx.

Le camp de Gurs

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Pendant la Seconde Guerre mondiale, Gurs a accueilli un camp d'internement administré par le régime de Vichy. D'abord destiné aux réfugiés républicains espagnols, il a ensuite accueilli de nombreux Juifs, avant leur départ pour le camp de Drancy et Auschwitz. Dans une récente étude, le chercheur Jacky Tronel indique qu'avant de servir de lieu d'internement des Juifs, le camp fut la prison militaire de Paris repliée[41].

Les tombes des combattants républicains espagnols et des volontaires de la brigade internationale se situent à droite en entrant dans le cimetière.

En , à la fermeture du camp de Saint-Cyprien près d'Argelès, 3 858 hommes — la plupart arrêtés par les autorités belges[42] le  — furent transférés au camp de Gurs. Ils étaient majoritairement Juifs.

De à décembre de la même année, des prisonniers de Gurs furent transférés au camp des Milles dans les Bouches-du-Rhône, dans l'attente de leur émigration vers les États-Unis, la Bolivie, Cuba et d'autres destinations.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2014 Louis Costemale RPR puis UMP  
2014 2020 Michel Forcade    
2020 En cours Christian Puharré    

Intercommunalité

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La commune fait partie de six structures intercommunales[43] :

  • la communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le SIVU d’assainissement de Navarrenx ;
  • le syndicat AEP de Navarrenx ;
  • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
  • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

En 2021, la commune comptait 417 habitants[Note 8], en évolution de −3,02 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
589684614625642720693657694
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
723683661608633624606574553
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
606580541504514474502537443
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
415395392384381383375374424
2017 2021 - - - - - - -
419417-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[48] :

  • La commune dispose d'une école maternelle et primaire.
  • Collèges à Navarrenx, Mauléon-Licharre, Domezain-Berraute, Mourenx,
  • Lycées à Berrogain-Laruns, Chéraute, Mauléon-Licharre, Etcharry.

Professionnels et établissements de santé[49] :

  • Médecins à Susmiou, Géus-d'Oloron, Navarrenx, Lucq-de-Béarn, Barcus, Mauléon-Licharre,
  • Pharmacies à Géus-d'Oloron, Navarrenx, Barcus, Mauléon-Licharre,
  • Hôpitaux à Mauléon-Licharre, Oloron-Sainte-Marie, Mourenx, Tardets-Sorholus, Orthez, Saint-Palais.
  • Culte hébraïque[50].
  • Culte catholique[51].
Paroisse Saint François Xavier Navarrenx[52], Diocèse de Bayonne.
  • Culte protestant[53].

Équipements

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Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • L'activité est principalement agricole (élevage et polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
  • Élevage d'ovins et de caprins.
  • Élevage de vaches laitières.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Élevage de volailles.
  • Culture et élevage associés.
  • Culture de céréales (à l'exception du riz), de légumineuses et de graines oléagineuses.
  • Commerces et services de proximité.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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  • Le château de Gurs.
  • Tumulus du camp de Gurs[54],[55]

Patrimoine religieux

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  • L'église Saint-Martin date[56],[57] du XIXe siècle.
Maître-autel et retable tabernacle, en bois sculpté[58],[59]

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Gurs Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er d'or à deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur passant l'une au-dessus de l'autre, au 2e d'azur à un lion d'or, au 3e de sinople à trois fasces ondées d'argent[61].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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Les camps et les lieux d'internement de Gurs : 182e CTE-722e GTE; 257e CTE; 258e CTE.
Cimetière des Déportés, sur www.geneanet.org/

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Gurs » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Gurs », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Gurs », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Gurs », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Gurs ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Gurs et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Gurs et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Gurs et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Gurs », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  8. « Fiche communale de Gurs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. Sandre, « le Lausset ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Gurs et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Gurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Gurs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF le « Lausset amont et zones tourbeuses associées » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Gurs », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  33. État des risques naturels et technologiques
  34. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  35. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  36. Paul Ourliac et Monique Gilles, Les Fors Anciens de Béarn, Paris, Editions du CNRS, .
  37. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  39. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  41. J. Tronel, « Les îlots du camp de Gurs : prison militaire de Paris repliée », Arkheia, no 21, Montauban, 2009
  42. Traces & empreintes, « Les arrestations du 10 mai 1940 », sur le site jewishtraces.org
  43. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. Établissements d'enseignements
  49. Professionnels et établissements de santé
  50. Une intense vie religieuse (1940-43)
  51. Les activités chrétiennes (1940-43)
  52. Paroisse Saint François Xavier Navarrenx
  53. Les ONG (Œuvres philanthropiques) (1940-1943)
  54. « Tumulus du camp de Gurs », notice no PA00084384, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  55. Les sculptures pétries par les "Internationaux"
  56. « Église paroissiale Saint-Martin », notice no IA64000574, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  57. « Église Saint-Martin », notice no AP64HN0272, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  58. « Maître-autel et retable tabernacle, en bois sculpté », notice no AP66V01245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  59. « Retable, vue générale », notice no AP64W00598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  60. Monument aux morts
  61. « 64253 Gurs (Pyrénées-Atlantiques) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  62. « Cahier de Gurs », notice no M0028002738, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  63. « Gurs : Vues aériennes entre 1945 et 1975 », notice no AP64HN0273, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.