Harry Gruyaert — Wikipédia

Harry Gruyaert
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Biographie
Naissance
(83 ans)
Anvers
Nationalité
Activités
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Membre de

Harry Gruyaert, né le à Anvers, est un photographe belge, membre de l'agence Magnum Photos depuis 1981.

Harry Gruyaert étudie de 1959 à 1962 à l' École de photographie et de cinéma (INRACI) de Bruxelles. Il commence sa carrière comme photographe en indépendant à Paris, tout en travaillant comme directeur de la photographie pour la télévision flamande[1]

Il effectue en 1969 un voyage au Maroc[1] ; les photographies qu'il y prend lui valent d'être le premier lauréat du Prix Kodak de la critique photographique en 1976 ; il les publie dans son ouvrage Maroc en 1990.

En 1972, il photographie les Jeux olympiques d'été à Munich et les premiers vols Apollo tels qu'ils ont été montrés sur un téléviseur[2] ; cette série, TV Shots, est exposée à la Galerie Delpire à Paris en 1974, publiée en 1984 à Paris chez Contrejour et en 2007 chez Steidl[3].

Gruyaert rejoint l'agence Magnum en 1982 et en devient membre à part entière en 1986[1].

Publications

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Expositions

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Expositions personnelles

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Expositions collectives

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exposition rassemblant près de mille images de 167 photographes, parmi lesquels Raymond Depardon, Josef Koudelka, Lewis Baltz, Elina Brotherus, Robert Doisneau, Thierry Girard, Sophie Ristelhueber, Gabriele Basilico, Bernard Plossu, Pierre de Fenoÿl .
exposition inspirée par l'estampe emblématique d'Hokusai La Grande Vague, avec des œuvres d'une vingtaine d'artistes, parmi lesquels Noémie Goudal, Harry Gruyaert, Michael Kenna, Arno Rafael Minkkinen, Sarah Moon, Martin Parr, Bernard Plossu.

Récompenses et distinctions

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Notes et références

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  1. a b et c (en) « Harry Gruyaert  Belgian b. 1941 », sur Magnum Photos.
  2. (de) Barbara Flückiger, « Materialmix als ästhetisches und expressives Konzept », dans Margrit Tröhler, Jörg Schweinitz, Philipp Brunner, Filmische Athmosphären, Marburg, Schüren, , p. 73-90.
  3. Claire Guillot, « Le grand petit écran de Gruyaert », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  4. Michel Guerrin, « Rivages, de Harry Gruyaert », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  5. « Harry Gruyaert – Moscou », sur L'Œil de la photographie, .
  6. Brigitte Ollier, « Harry Gruyaert, fondu du Maroc », Libération,‎ (lire en ligne).
  7. a et b Olivia Gesbert, « Harry Gruyaert, entre deux mondes », sur France Culture, .
  8. Alain Macaire et Richard Nonas, Lumières blanches (catalogue d'exposition), Paris, Centre national de la photographie, coll. « Photo copies » (no 6), .
  9. Dijon vu par Harry Gruyaert (catalogue d'exposition), Mairie de Dijon, 1996, 18 p.
  10. Voir sur ratp.fr.
  11. Gilles Renault, « Harry Gruyaert, tons suspendus », Libération,‎ (lire en ligne).
  12. « Harry Gruyaert », sur Rencontres de la photographie d'Arles.
  13. Claire Guillot, « De la guerre à la mer, les rivages pensifs de Harry Gruyaert », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  14. (en) Daria Crisu, « Harry Gruyaert. A freudian perpectiv », sur www.museumdocent.nl, .
  15. Clémentine Mercier, « Harry Gruyaert au Bal à Paris : nuée de nuances », Libération,‎ (lire en ligne).

Références bibliographiques

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Documentaire

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  • Harry Gruyaert, photographe, Gerrit Messiaen, Belgique, 2018, 65 min ; production Las Belgas, Mollywood, Take Five

Articles connexes

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Liens externes

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