Jean-Louis Chaigneau — Wikipédia
Jean-Louis Chaigneau
Membre du Conseil des Cinq-Cents | |
---|---|
- |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activité | |
Enfant |
Jean-Louis Chaigneau, né le à Ardelay (Vendée)[1] et mort le à Nantes (6e canton)[2], est un homme politique français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Issu de la bourgeoisie des talents, il fut sous la Révolution, administrateur du département de la Vendée, puis commissaire national près le tribunal de district de la Châtaigneraie. Le 25 germinal an VI, Chaigneau entra au Conseil des Cinq-Cents.
Il y prit quelquefois la parole, par exemple, pour présenter un rapport sur les versements en assignats faits par les comptables. Il siégea jusqu'en l'an VIII.
Il est le père du parlementaire Émile-Armand Chaigneau.
Sources
[modifier | modifier le code]- « Jean-Louis Chaigneau », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Fiche sur Assemblée nationale
Notes
[modifier | modifier le code]- Archives départementales de la Vendée, état-civil numérisé de la commune d'Ardelay, BMS 1765-1775, vue 36 de la numérisation. L'enfant est fils de Jean Chaigneau, notaire, et Anne Grain.
- Archives municipales de Nantes, état-civil numérisé du 6e canton, décès de l'année 1847, acte no 38, vue 8/57 de la numérisation. L'ancien parlementaire décède à son domicile situé Rue Bonne-Louise. Il était veuf de Scholastique-Suzanne Creuzeron, originaire de Vouvant (Vendée).