Johann Lahodny — Wikipédia

Johann Lahodny
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Johann Lahodny est un médecin autrichien d’origine tchèque. Gynécologue, obstétricien spécialisé en oncologie obstétrique, chef de clinique, professeur des universités[9], il est l’inventeur et concepteur de plusieurs interventions chirurgicales réparatrices ciblant les pathologies gynécologiques plus spécifiquement liées à l’appareil reproducteur féminin[1] — dont l’incontinence urinaire[2],[3],[H 1],[H 2] et la descente d’organes[3],[4],[5],[H 1],[H 3] ou prolapsus génital[6]. Établi à Sankt Pölten[7],[H 4],[H 5], il est également considéré comme l’une des références mondiales en matière d’ozonothérapie en raison de sa contribution personnelle à l’exhaussement de son potentiel curatif via une technique novatrice audacieuse — développée, mise au point et perfectionnée par ses soins — désormais répertoriée sous l’appellation OHT ou Ozonhochdosistherapie[a],[7],[8].

Johann Lahodny obtient son doctorat en gynécologie et en obstétrique en 1965.

Pratiquant initialement comme médecin généraliste, il est finalement promu au rang de chef de clinique des départements de gynécologie et d’obstétrique conjointement afférents à l’hôpital national de Gmünd[1] et celui, régional, attenant à la ville de Sankt Pölten[7],[H 4],[H 5]. Au cours de sa pratique clinique, il met respectivement au point plusieurs techniques chirurgicales à visée réparatrice[H 6] ciblant les pathologies gynécologiques plus spécifiquement liées à l’appareil reproducteur féminin[1],[H 7], notamment l’incontinence urinaire[2],[3],[5],[H 1],[H 2] et la descente d’organes[3],[4],[5],[H 1],[H 3] ou prolapsus génital[6],[b].

Dès 1994, il est nommé professeur chargé de cours à l’université de Vienne[9], période durant laquelle il publie nombre d’articles scientifiques[H 4],[H 8],[H 5],[H 9],[10] ainsi que plusieurs livres de recherche[H 6].

En 1999, il reçoit un prix professionnel spécial destiné à récompenser ses efforts en matière de médecine hygiéniste. De 1999 à 2003, il est membre du conseil d’administration de l’American Society for Vaginal Surgery. De 2000 à 2005, il préside la Société européenne de chirurgie pelvienne. En 2002, la Société italienne d’obstétrique et de gynécologie lui décerne le titre de membre honoraire.

Expert en biorésonance, Vitalfeld, oxygénothérapie normobare, « thérapie par champ tachyonique » et microscopie en champ sombre[c], il voue la quasi entièreté de son temps libre, de ses loisirs et de ses vacances à mener des recherches personnelles consacrées à l’étude des différents types de médecines complémentaires existantes. Mû par une passion insatiable, sa formation clinique et universitaire lui permet d’approfondir ses connaissances exponentielles en matière de thérapies alternatives durant près de quatre décennies.

OHT : Ozonhochdosistherapie

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Patient bénéficiant d'une séance de grande autohémothérapie (de)[d],[e] dans un centre incluant l’ozonothérapie dans son panel de soins. Le sang est tout d'abord prélevé par perfusion afin d'être préalablement récolté dans un flacon en verre — ou en matériau souple spécifique — médicalement conçu à cet effet et contenant déjà un anticoagulant de type héparine. Le tout est aussitôt enrichi d’un apport spécifique en ozone ultra pur avant de retourner immédiatement — mais lentement — dans la circulation sanguine d’origine[H 10].

Autofinançant ses propres travaux consacrés aux effets thérapeutiques de l’ozone médical au regard de ses implications et répercussions connexes exercées sur les mitochondries et les cellules souches, il se concentre, depuis 2010, sur une forme novatrice d’ozonothérapie qu’il met progressivement au point.

Idée émergente

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Le docteur Lahodny part du postulat selon lequel tout être humain serait doté d’un gigantesque potentiel de cellules souches elles-mêmes vectrices d’une sorte d’atelier symbiotique spécifiquement voué à la réparation et la restructuration succédant à d’éventuels dommages collatéraux altérant le bon fonctionnement de la charpente corporelle et organique. Le véritable progrès de la médecine résiderait ainsi dans l'utilisation ciblée desdites cellules dont chaque organisme serait détenteur[7].

L’évolution du traitement ozonothérapeutique promu par le Dr Lahodny consiste, d’une certaine façon, à enfreindre les règles restrictives relatives au dosage pragmatique qui tendait jusqu’ici à prévaloir au regard d’un protocole usuel bien ancré dans les us et coutumes traditionnels. En effet, tout déroulement antérieur prévoyait d’ordinaire une seule et unique injection par perfusion autohémothérapeutique contenant 200 ml d’ozone à une concentration de 40 μg, à la suite de quoi la séance se terminait. Cette limite conceptuelle reposait sur un credo arbitraire selon lequel tout dépassement de cette frontière posologique — tant en quantité qu’en concentration administrée — serait susceptible de provoquer un éclatement des cellules par dissolution sanguine, risque supputatif dont les conséquences se voyaient jusqu’alors considérées comme hypothétiquement létales[7].

Expérimentations

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Rendu sceptique au regard d’un tel a priori non dûment confirmé par les faits ou l’expérience clinique, Lahodny s’érige alors en cobaye improvisé. Pour ce faire, il s’aventure audacieusement — à ses risques et périls — à tester un nouveau protocole sur lui-même. Son exploration consiste à augmenter magistralement — et dangereusement — la concentration et la dose d’origine en repoussant les limites maximales autorisées. Il pousse l’expérimentation jusqu’à accomplir tout d’abord 10 transits autohémothérapeutiques en une seule séance, chaque interaction successive étant « couplée » à 200 ml de sang « fusionné » à 200 ml d’ozone gazeux respectivement porté à une concentration de 70 µg/ml, fournissant ainsi un apport cumulatif d’ozone de 140 000 μg[8].

Contre toute attente, les examens cliniques effectués a posteriori ne révèlent aucune anomalie ou altération perceptible tant au plan clinique qu’hématologique. Il pousse donc le bouchon jusqu’à doubler la dose en effectuant cette fois-ci 20 transits autohémothérapeutiques successifs effectués également en une seule et unique séance. Ainsi, comme auparavant, chaque interaction contient 200 ml de sang prélevé par perfusion puis mélangé à 200 ml d’ozone gazeux respectivement porté à une concentration de 70 µg/ml, fournissant, au total, via 20 aller-retours ininterrompus, un apport cumulatif d’ozone « dupliqué » et, par extension, porté à 280 000 μg. Ici encore, les tests de laboratoire révèlent un hémogramme exempt de problème[7].

Émulation séquentielle

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La suite des expérimentations préalablement initiées lui permet en outre de constater un stimulus notable de l’activation exponentielle des cellules souches. Celles-ci, par le biais de l’OHT, semblent voir leur résurgence émulée et automatiquement dirigée vers toute lésion ou signalisation peptidique dont l’organisme ferait directement ou indirectement état[7].

Perspectives d’avenir

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Fort de résultats thérapeutiques encourageants et récurrents, Lahodny se forge une conviction selon laquelle tout effet curatif engendré par ce traitement novateur amélioré proviendrait essentiellement de la vivification des cellules souches en quelque sorte « mises en effervescence » via la stimulation indirectement induite par l’OHT[7].

Développements

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En 2014, il découvre et peaufine une nouvelle posologieL1 — qui, selon lui, permettrait d’activer la croissance des cellules souches et la production d’adénosine triphosphate (ATP). Son application se résume à une « grande autohémothérapie (de)[d],[e],[a] » couplée à des injections d’ozone à doses massives tant au niveau de la concentration — jusqu’à 70 µg/ml en autohémothérapie[d],[e], voire 80 µg/ml en insufflation rectale[H 12],[f] — qu’en quantité : généralement 140 000 μg[8], mais parfois jusqu’à 280 000 μg dans le traitement d’affections plus complexes. Grâce à cette approche novatrice, le Dr Lahodny argue obtenir des résultats thérapeutiques qu’il qualifie d’« exceptionnels » dans le traitement d’un certain nombre de pathologies chroniques couplées à plusieurs autres affections morbides généralement considérées d’ordinaire comme difficilement curables[8].

Publications

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  • (en) « Répertorisation des travaux de recherches publiés par — ou en collaboration avec — le Dr Johann Lahodny au cours de son activité de médecin en chef tant à l’hôpital public de Sankt Pölten qu’au sein d’institutions connexes » [« Johann Lahodny’s research while affiliated with Landesklinikum Sankt Pölten and other place »] (14 publications), ResearchGate,‎ 1997-2007 (lire en ligne)
  • (de) M. Wollein & J. Lahodny, « Vaginales Gesamtkonzept zur Sanierung von Inkontinenz und Descensus », Archives of Gynecology and Obstetrics, Springer Link, Deutsche Gesellschaft für Gynäkologie und Geburtshilfe, vol. 245 « Operative Gynäkologie, Gynäkologische Onkologie »,‎ , pp. 779–780 (DOI 10.1007/BF02417561, résumé)
  • (en) Gruber I, Lahodny J, Illmensee K, Lösch A., « Heterotopic pregnancy: report of three cases » [« Grossesse hétérotopique avec rupture des trompes : rapport afférent à trois cas »], Wien Klin Wochenschr., Department of Obstetrics and Gynecology, St. Pölten Hospital, St. Pölten, Austria, vol. 114, nos 5-6,‎ , pp. 229-232 (PMID 12238314, résumé). Indexé à MEDLINE.

Bibliographie

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  • (it) S. Messini, A. Delucca, F. Welponer, « Experience with Lahodny’s operation in the treatment of female urinary incontinence and descensus vaginae », Minerva Ginecologia, Turin, Edizione Minerva Medica : journals and books on medicine since 1909, vol. 39, no 10,‎ , p. 707-710 (ISSN 1827-1650, PMID 3431736, présentation en ligne). Article en italien, indexé à MEDLINE.
  • (it) A. Delucca, S. Messini, « Lahodny’s operation: technique and procedure of the plastic repair of the m. levator ani », Minerva Ginecologia, Turin, Edizione Minerva Medica : journals and books on medicine since 1909, vol. 42, no 11,‎ , p. 473-474 (ISSN 1827-1650, PMID 2080036, résumé). Article en italien, indexé à MEDLINE.
  • (en) Paparella P., De Santis L., « A study of tension-free vaginal tape (TVT) in association with Lahodny’s Urethrocistopexy for the surgical treatment of stress urinary incontinence in patients with severe uretrocystocele », Urogynaecologia International Journal, vol. 12 bis, no 2,‎ , pp. 65-70 (résumé)
  • (it) Paparella P., Zullo M., Oliva C., Astorri A.L. e Mancuso S., « Correzione chirurgica per via vaginale del cistouretrocele: confronto tra uretrocistopessi con fionda a braccio corto secondo Lahodny e cistouretropessi secondo Kelly-Kennedy » [« Correction vaginale des cystourétrocèles : comparaison entre les urétrocystopsies effectuées au moyen d’une élingue à bras court selon Lahodny et les cystourétropsies selon Kelly-Kennedy »], Urologia Ginecologica, a cura di Miniello G. e Cagnazzo G., Bari, Atti del IV Congresso Nazionale della Associazione Italiana di Urologia Ginecologica,‎ 24-26 novembre 1994, p. 105 (résumé)
  • (en) Aaron J. Smith, John Oertle, Dan Warren, Dino Prato, « Ozone Therapy: A Critical Physiological and Diverse Clinical Evaluation with Regard to Immune Modulation, Anti-Infectious Properties, Anti-Cancer Potential, and Impact on Anti-Oxidant Enzymes » [« Ozonothérapie : évaluation clinique critique, physiologique et hétérogène portant sur la modulation immunitaire, les propriétés toxi-infectieuses, le potentiel anticancéreux ainsi que l’impact corrélativement exercé sur les enzymes antioxydantes »], Open Journal of Molecular and Integrative Physiology, Envita Medical Center, Scottsdale, SCIRP : Scientific Research Publishing (en), vol. 5, no 3,‎ , pp. 37-48 (ISSN 2162-2167, DOI 10.4236/ojmip.2015.53004, résumé, lire en ligne [PDF])
  • (en) Luigi Valdenassi, Marianno Franzini, « Treatment experiences of gonarthrosis by intra-articular infiltration of ozonated autologous blood » [« Étude clinique du traitement de la gonarthrose par infiltration intra-articulaire de sang autologue ozonisé »], Ozone Therapy, Facoltà di Medicina et Chirurgia, université de Pavie ; SIOOT — Società Scientifica Ossigeno Ozono Terapia & SIOOT International, Gorle (BG), Italie, vol. 4, no 3,‎ , pp. 44-47 (ISSN 2499-5169, lire en ligne)

Notes et références

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  1. a b et c L’OHT ou, en allemand, Ozonhochdosistherapie, se réfère à une application innovante de l’ozonothérapie injectée par « autohémothérapie (de) » et, selon le processus audacieusement inédit mis au point et développé par le Dr Johann Lahodny, cette fois-ci à doses massives auxquelles s’ajoutent des concentrations µg/ml nettement plus élevées qu’à l’ordinaire[7],[8].
  2. Prolapsus génital — en allemand : Scheidenvorfall.
  3. Microscopie en champ sombre — en allemand : Dunkelfeldmikroskopie.
  4. a b c d et e « Grande autohémothérapie (de) » — en anglais Major Autohemotherapy ou encore O3 AHT.
  5. a b c et d Dans le cas d’un traitement « autohémothérapeutique (de) » couplé à l’ozone, le sang du patient est d’abord prélevé puis mitigé à un mélange gazeux de type oxygène-ozone avant d’être réinjecté dans la circulation du donneur par le biais du même canal et de la même perfusion. Il existe de ce fait deux formes d’applications distinctes :
    1. la « petite autohémothérapie[H 11] » où seul l’équivalent d’une petite seringue est prélevé, mélangé à l’ozone puis réinjecté à tout autre endroit du corps[H 11],[H 10].
    2. la « grande autohémothérapie (de) » durant laquelle une quantité plus importante de sang, prélevée par perfusion (généralement à partir du creux de l’avant-bras), est redirigée vers une poche en plastique ou en verre avant d’être mélangée à de l’ozone médical puis de retourner dans la circulation sanguine par le biais de la même perfusion demeurée en place tout du long du processus rétroactif qui, généralement, dure environ 20 à 40 minutes[H 10].
  6. Depuis lors, les anciennes posologies, tant au niveau de la concentration d’ozone médical — allant initialement jusqu’à 70 µg/ml en « grande autohémothérapie (de)[d],[d],[e] », voire 80 µg/ml en insufflation rectale[H 12] — ont généralement été réduites pour se voir ramenées à 50 µg/ml.

Références

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  1. a b c et d (en) United States. Patent et Trademark Office, Official Gazette of the United States Patent and Trademark Office : Patents, vol. 1075, United States. Patent and Trademark Office (no 3 à 4), , Johann Lahodny, Gmünd, Austria, and Ernst Dreier, Steckborn, Switzerland, assignors to Fritz Gegauf AG Bernina Nähmaschinen Fabrik, Steckborn, Switzerland (présentation en ligne, lire en ligne), Surgical instrument, more particularly hysterectomium, pp. 12, 16, 32, 1800
    « Filed Aug. 27, 1984, Ser. No. 644,782. Claims priority, application Canada, Sep. 13, 1983, 4927 Int. Cl. A81F / 17/32. »
  2. a b et c (en) Current Catalog, National Library of Medicine (U.S.), (lire en ligne), p. 508
    « Urinary incontinence, stress surgery, Lahodny, Johann. Vaginale Inkontinenz– und Deszensuschirurgie : gynākoanatomische Grundlagen und chirurgisches Vorgehen / Johann Lahodny. -- Stuttgart : Enke, 1991. -- viii, 258 p. : ill. »
  3. a b c d et e (en) Karen Patrias, National Library of Medicine (U.S.), « Urinary Incontinence in Adults: January 1983 Through September 1988 », Current bibliographies in medicine, U.S. Department of Health and Human Services, Public Health Service, National Institutes of Health, National Library of Medicine, Reference Section, vol. 9, no 88,‎ , pp. 22-23 (lire en ligne)
    « A vaginal approach to the treatment of genital prolapse. Eur J Obstet ... J Urol 1983 Dec;130(6):1127-9 Lahodny J. [Urethro-vesical suspension with analogous fascial tissue by the vaginal approach – the short arm sling operation]. »
  4. a b et c (en) National Library of Medicine Current Catalog : Cumulative listing, National Library of Medicine (U.S.), (lire en ligne), p. 543
    « ... I. Title 02NLM: JJ3776 0XNLM: [WL 100] 2. Nervous System Diseases Cit. No. 9214488 Lahodny, Johann. Vaginale Inkontinenz– und Deszensuschirurgie : gynäkoanatomische Grundlagen und chirurgisches Vorgehen / Johann Lahodny. »
  5. a b c et d (es) Michel Cosson, Denis Querleu et Daniel Dargent, Cirugía ginecológica por vía vaginal, Ed. Médica Panamericana, , 210 p. (ISBN 84-7903-937-X, EAN 9788479039370, lire en ligne), pp. 88-89
    « Entre ellas citamos (fig. 2): la rafia de Halban o de vagina total, la intervención de Lahodny, el artificio de Campbell o, incluso, las técnicas de suspensión paravaginal y del colpocele anterior. »
  6. a b et c (de) Jan Oliver Kaufhold (Wiesbaden), Die Vaginaefixatio sacrospinalis vaginalis mit Mesh-Interponat zur Korrektur der Enterozele. Eine sichere Alternative? [« La ligature vaginale de type sacrospinalis vaginalis — dotée d’un entrelac en maillage destiné à pallier l’entérocèle — représente-t-elle une alternative fiable ? »], Aus dem Marienhospital Stuttgart(Akademisches Lehrkrankenhaus der Universität Tübingen) Frauenklinik, , inaugural Dissertation zur Erlangung des Doktorgrades der Medizin der medizinischen Fakultät der Eberhard-Karls-Universität zu Tübingen. Ärztlicher Direktor: Professor Dr. H. J. Herschlein (lire en ligne [PDF]), p. 34
    « Eine zu hohe Levatorplastik, wie sie von Lahodny beschrieben wird, führt bei Überschreiten einer gewissen Tiefe durch Muskeldeviation und Skarifizierung unweigerlich zu Schmerzen und Funktionseischränkung des Enddarms, eine zu straffe Fixierung bei der Vaginaefixatio sacropinalis vaginalis zu Kohabitationsbeschwerden und Zystozelenbildung. »
  7. a b c d e f g h i et j (de) « Medizinische Sensation OHT- Ozonhochdosistherapie durch St. PöltnerWissenschaftler » [« Sensation médicale OHT — l’ozonothérapie appliquée à concentration élevée par les médecins exerçant à St. Pölten »], Lifestyle „excluviv“: Fûr ein besseres Leben, St. Pölten,‎ , pp. 16-17 (lire en ligne [PDF])
  8. a b c d e et f (en) Robert Jay Rowen, MD, « Ozone therapy as a primary and sole treatment for acute bacterial infection: case report », Med Gas Res., vol. 8, no 3,‎ , pp. 121–124 (PMID 30319768, PMCID PMC6178636, DOI 10.4103/2045-9912.241078)
    « Johann Lahodny, MD of Austria, has furthered the hyperbaric method (personal instruction) by repeating this treatment for 10 passes of 200 mL of blood with 200 mL of oxygen ozone gas at 70 µg/ml for a total delivery of ozone of 140,000 μg in one sitting. »
  9. a et b (de) Universität Wien. Akademischer Senat, Notring der Wissenschaftlichen Gesellschaften Österreichs, Österreichische Hochschulzeitung [« Journal universitaire autrichien »], vol. 47, (lire en ligne), p. 35
    « Dr. Johann Lahodny; für Gynäko-Urologie; Ing. Dr. Manfred Lessel, für Augenheilkunde; Dr. Heribert V. Smelitsch, für Klinisch-Psychologische Psychologie; Dr. Friedrich Stadler, Institut für Zeitgeschichte, für Wissenschaftsgeschichte. »
  10. (de) News : Politik, Geld, Szene, Leute, VerlagsgesembH & Company KG (no 40 à 44), (lire en ligne), p. 162
    « Ganzheitsmedizinische Beratung und Therapielösungen aller Haarprobleme in Zusammenarbeit mit Univ.-Doz.Dr. Johann Lahodny. »

Références bibliographiques

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Liens externes

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