Le grand prêtre Corésus se sacrifie pour sauver Callirhoé — Wikipédia

Le grand prêtre Corésus se sacrifie pour sauver Callirhoé
Artiste
Date
Matériau
Dimensions (H × L)
309 × 400 cmVoir et modifier les données sur Wikidata
Propriétaire
No d’inventaire
INV 4541, MR 1707Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Salle 929 (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Le grand prêtre Corésus se sacrifie pour sauver Callirhoé est une peinture à l'huile sur toile de l'atelier de Jean-Honoré Fragonard exécutée en 1765, qui devait servir de carton pour une tapisserie (jamais effectuée) à la manufacture des Gobelins.

Thème mythologique

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Il représente (d'après Pausanias, VII, 21) l'épisode de Callirrhoé et Corésos, prêtre de Dionysos à Calydon, au moment où ce dernier se plonge un couteau dans le corps, se sacrifiant pour sauver son amante Callirrhoé, évanouie.

La peinture à l'huile est exposée au Salon de 1765 et permet à Fragonard d'entrer à l'Académie Royale. Elle est acquise par Louis XV et se trouve aujourd'hui conservée au musée du Louvre, à Paris[1]. L'esquisse préparatoire de l'œuvre appartient à la collection du Musée des Beaux-Arts d'Angers, et une étude fait partie de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando à Madrid depuis 1816[2]. Plus tard, Fragonard en crée une esquisse à la craie libre de la même scène, d'une échelle plus petite. Ce dessin se trouve actuellement dans la collection du Metropolitan Museum of Art, à New York[3].

Références

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Liens externes

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