Leo Housakos — Wikipédia
Leo Housakos | |
Fonctions | |
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Président du Sénat du Canada | |
– (6 mois et 29 jours) | |
Prédécesseur | Pierre-Claude Nolin |
Successeur | George Furey |
Sénateur de Wellington | |
En fonction depuis le (15 ans, 10 mois et 7 jours) | |
Prédécesseur | Aurélien Gill |
Biographie | |
Nom de naissance | Leonidas Housakos |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Montréal |
Parti politique | Parti conservateur du Canada |
Diplômé de | Université McGill |
Profession | Homme d'affaires |
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Leonidas Housakos, dit Leo Housakos, né le à Montréal, est un homme d'État canadien et membre du Sénat du Canada, représentant le Parti conservateur du Canada. Il est président du Sénat du Canada de mai à .
Biographie
[modifier | modifier le code]Leo Housakos a étudié à l'Université McGill, obtenant un baccalauréat ès arts en 1992. Il a fondé la Chambre de commerce hellénique en 1993 et s'est joint au Congrès hellénique du Québec, dont il a été vice-président de 1998 à 2000[1]. Il a été conseiller du maire de Montréal de 2001 à 2002.
Dans le monde des affaires, Leo Housakos a été associé à Quadvision International, dont il a été le président, à la firme d'ingénierie BPR dont il a été vice-président du développement des affaires[2], et à TerrEau inc., filiale de BPR, dont il a été le président[3].
Il a été candidat de l'Alliance canadienne dans Laval-Ouest aux élections fédérales de 2000. Il a été aussi associé à l'Action démocratique du Québec comme président du comité de financement.
Il a été nommé sénateur par le premier ministre Stephen Harper le .
En , un témoin du monde de la construction déclare à la Commission Charbonneau lui avoir remis en 2008 des contributions collectées de façon illégale en faveur de l'Action démocratique du Québec[4]. Léo Housakos a été impliqué en avril 2011 dans une affaire d'ingérence politique et de jeux de coulisses impliquant le bureau du premier ministre Harper, la Ville de Montréal et des hommes d'affaires du milieu de la construction concernant la nomination du PDG du Port de Montréal [5] . Leo Housakos a également décidé de rembourser 6,710$ en dépenses considérées comme illégitimes par le Vérificateur Général du Canada [6].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Site du Parlement du Canada
- Article de Hugo de Granpré, La Presse, 20 octobre 2009
- Article de Joël-Denis Bellavance, La Presse, 19 décembre 2009
- The Globe and Mail, 1er octobre 2013, Tory Senator furious over CBC ‘hatchet job’ linking him to illegal political fundraising
- Zone Société- ICI.Radio-Canada.ca, « Line Beauchamp, Tony Tomassi et Leo Housakos ont aussi été invités au 357c | La commission Charbonneau », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- Hélène Buzzetti, « Housakos et Cowan rembourseront », sur Le Devoir, (consulté le )