Les Vivants et les Morts (film, 1964) — Wikipédia

Les Vivants et les Morts
Description de cette image, également commentée ci-après
Affiche du film sur la façade du cinéma International,
Karl-Marx-Allee à Berlin-Est, .
Titre original Живые и мёртвые
Zhivye i myortvye
Réalisation Aleksandr Stolper
Scénario Constantin Simonov
Aleksandr Stolper
Acteurs principaux
Sociétés de production Mosfilm
Pays de production Drapeau de l'URSS Union soviétique
Genre drame, film de guerre
Durée 188 minutes
Sortie 1964

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Les Vivants et les Morts, également connu sous le titre Les Mois les plus longs (en russe : Живые и мёртвые, Zhivye i myortvye) est un film soviétique d'Aleksandr Stolper sorti en 1964, adapté d'après le roman du même nom de Constantin Simonov[1],[2],[3],[4],[5].

Le film commence aux premiers jours de ce qu'en URSS et maintenant en Russie on appelle la "Grande Guerre patriotique". Il se termine au milieu de l'hiver 1941-1942, avant le début de la contre-attaque soviétique près de Moscou.

En vacances, Ivan Sintsov (Kirill Lavrov), correspondant du journal militaire de l'armée, est revenu dans son unité stationnée en Biélorussie dès le début de la guerre. Cependant, il ne peut la rejoindre dans les premiers jours, en raison de l'assaut des troupes soviétiques qui se retirent devant la Wehrmacht. Il se retrouve alors dans la ville de Borisov. Là, il est envoyé au quartier général avec un autre officier. Ils se mettent en route à distance les uns des autres pour se rendre à Orsha. Mais l’armée de l’air allemande attaque et son compagnon et la voiture qu’il vient d’arrêter reçoivent une bombe. Sintsov rencontre le correspondant d'un autre journal militaire à Mogilev, puis se retrouve à Yelnia en .

Fiche technique

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Distribution

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Notes et références

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  1. (en) Frank Biess et Robert G. Moeller, Histories of the Aftermath : The Legacies of the Second World War in Europe, New York, Berghahn Books, , 321 p. (ISBN 978-1-84545-732-7, lire en ligne), p. 130-131
  2. (en) David Caute, The Dancer Defects : The Struggle for Cultural Supremacy during the Cold War, OUP Oxford, , 818 p. (ISBN 978-0-19-155458-2, lire en ligne), p. 240
  3. Peter Rollberg, Historical Dictionary of Russian and Soviet Cinema, Rowman & Littlefield, , 890 p. (ISBN 978-1-4422-6842-5, lire en ligne), p. 710
  4. (en) Mira Liehm et Antonín J. Liehm, The Most Important Art : Soviet and Eastern European Film After 1945, University of California Press, , 467 p. (ISBN 978-0-520-04128-8, lire en ligne), p. 214
  5. (en) Jay Leyda, Kino : A History of the Russian and Soviet Film, With a New Postscript and a Filmography Brought Up to the Present, Princeton University Press, , 513 p. (ISBN 978-0-691-00346-7, lire en ligne), p. 461

Liens externes

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