Famille Doria — Wikipédia

Doria
Image illustrative de l’article Famille Doria
Armes de la famille.

Fondateur Arduin
Branches Doria-Pamphili-Landi
Allégeance République de Gênes
États pontificaux
Royaume de Naples
Royaume de Sardaigne
Principauté d'Oneglia
Seigneurie de Dolceacqua
Marquisate de Dolceacqua
Titres obtenus Doge de Gênes
Vice-roi de Sardaigne
Prince de Melfi
Prince of Oneglia
Prince de Valmontone
Prince de Angri
Duc de Tursi
Duc de Eboli
Marquis de Dolceacqua
Marquis de Torriglia
Marquis de Cirié
Comte de Capaccio
Comte de Sassocorvaro
Comte de Montaldeo

La famille Doria, originellement de Auria (provient de filiis Auriae), signifiant « les fils d'Auria », et ensuite de Oria ou d'Oria, est une des familles patriciennes les plus anciennes et les plus illustres de Gênes.

La légende[1] veut qu’ils soient issus d'Arduin, vicomte de Narbonne, qui passa par Gênes vers 1050 en se rendant à la croisade. Tombé gravement malade, il fut accueilli pour être soigné dans la maison de la veuve de la famille de Volta. Il tomba amoureux d’une des deux filles de la maison Oria (Orietta) dont il eut un fils Ansaldo, qui fut surnommé fils d’Oria. Puis viennent Emanuele en 1225, seigneur d’Andorre, et Oberto qui acheta Sanremo[2].

La famille possédait autrefois la principauté d'Oneille, mais la vendit avec ses environs au duc de Savoie, Emmanuel-Philibert en 1579[réf. nécessaire].

Personnalités

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L'empereur Henri VII octroya, en 1310, à la famille le droit de porter l'aigle impérial.

Blason Nom de la famille et blasonnement Devise
Armoiries des Doria. Famille Doria,

Coupé d'or sur argent, à l'aigle de sable, couronnée du même, becquée, membrée et languée de gueules, brochant sur le tout. Casque couronné.[5]

Armoiries de Baude Doria. Baude Doria, Amiral de Bretagne, Sceau de 1351

Coupé d'or et d'argent, à l'aigle de sable, membré de gueules[2].

Coupé d’or et d’argent à l’aigle de sable couronnée, becquée et membrée de gueules[réf. nécessaire]

Notes et références

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  1. Scorza 1924
  2. a et b Potier de Courcy 1846-1862.
  3. Antoine-Marie Graziani, Histoire de Gênes, Librairie Arthème Fayard, 2009
  4. Lettres de M. de Marville, lieutenant général de police au ministre Maurepas, tome 2, Paris, 1896-1905, lettre de Maurepas du 11 février 1745, p. 30 et 61.
  5. Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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