Montalba-le-Château — Wikipédia
Montalba-le-Château | |||||
Vue générale du village. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Roussillon Conflent | ||||
Maire Mandat | Marie Martinez 2020-2026 | ||||
Code postal | 66130 | ||||
Code commune | 66111 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 155 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 41′ 48″ nord, 2° 33′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 280 m Max. 661 m | ||||
Superficie | 15,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de la Têt | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) | |||||
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Montalba-le-Château Écouter (en occitan : Montalban lo Castèl) est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Riberette, le ruisseau de Bellàgre. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « fenouillèdes » et les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montalba-le-Château est une commune rurale qui compte 155 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 455 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Montalbanais ou Montalbanaises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Montalba-le-Château se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 27 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 14 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 19 km du Soler[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Têt dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Trévillach (2,8 km), Rodès (4,3 km), Caramany (4,5 km), Bélesta (4,6 km), Tarerach (4,8 km), Bouleternère (5,6 km), Ille-sur-Têt (5,7 km), Trilla (5,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Montalba-le-Château fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[5].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 1 590 hectares. L'altitude varie entre 280 et 661 mètres[7].
Selon "L'atlas des paysages du Languedoc-Roussillon"[8], la commune, dont le chef-lieu est établi à 483 mètres d'altitude, est située sur le plateau de Roupidère, qui s'incline d'ouest en est de 600 à 400 mètres environ.
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Situé sur une hauteur, le village est entouré de bassins versants. Parmi les rivières que l'on trouve sur le territoire de la commune, on trouve :
- La Crabayrisse et ses divers affluents qui descendent du nord et du centre vers l'est en direction de Bélesta. Parmi les affluents :
- Le Ruisseau del Roumenga marque une partie de la frontière au nord-ouest avec Trévillach ;
- Le Ravin de l'Encantada descend du nord et marque l'autre partie de la frontière avec Trévillach.
- Le Còrrec de Vallagra qui marque une part importante de la frontière sud-occidentale de la commune avec Rodès.
- La Vernosa et ses affluents qui descendent vers le sud en direction d'Ille-sur-Têt.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 831 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eus à 10 km à vol d'oiseau[14], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 539,8 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[19] :
- les « Fenouillèdes », d'une superficie de 479 ha, un site qui renferme des mares temporaires dont l'état de conservation est encore excellent[20] ;
- les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales », d'une superficie de 2 437 ha, abritent d'importantes colonies d'espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire[21] ;
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[22] :
- le « massif du Sarrat d'Espinets » (1 772 ha), couvrant 6 communes du département[23] ;
- la « mine de fer de Montalba » (52 ha)[24],
- le « plateau de Rodès et de Montalba » (2 677 ha), couvrant 5 communes du département[25] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[22] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[26].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montalba-le-Château est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,3 %), zones agricoles hétérogènes (23,9 %), cultures permanentes (17,8 %), forêts (8,9 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le village est situé au carrefour de deux routes départementales, la D 2 et la D 17 :
- La D 2 traverse la commune depuis le nord-ouest en provenance de Trévillach et vers le sud-est en direction d'Ille-sur-Têt ;
- La D 17 traverse la commune depuis l'ouest en provenance de Tarerach et vers le nord-est en direction de Bélesta.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Montalba-le-Château est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[28],[29].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[30].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[31].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Montalba-le-Château est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En occitan, le nom de la commune est Montalban. Le village se situe dans la zone linguistique occitane, où la voyelle "u" est prononcée [y] et non [u], ce qui est un fait reconnu par les chercheurs, occitanistes[33] comme catalanistes[34].
Le , Montalba devient officiellement Montalba-le-Château[35].
Histoire
[modifier | modifier le code]Un premier village, appelé Annas, cité dès 955, est certainement né autour de l'église Sainte-Marie d'Annas (aujourd'hui Notre-Dame-de-l'Assomption), hors les murs de Montalba-le-château[36]. La villa d'Annas est attribuée à l'évêché de Besalú en 1017.
Montalba est mentionné pour la première fois en 955, sous le nom de Monte Albo, pour délimiter le territoire d'Ille[37].
En 1318, l'église Sainte-Marie est dite "de Montalba", ce qui indique peut-être que Annas est déjà déserté et que son nom est oublié.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Canton
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune de Montalba-le-Château est rattachée au canton de Latour-de-France[7]. Le , elle est rattachée au canton de Vinça. Par la même occasion elle passe alors de l'arrondissement de Perpignan à l'arrondissement de Prades[35].
À compter des élections départementales de 2015, la commune de Montalba-le-Château rejoint le nouveau canton de la Vallée de la Têt.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie ancienne
[modifier | modifier le code]La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2021, la commune comptait 155 habitants[Note 6], en évolution de +4,73 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[46] | 1975[46] | 1982[46] | 1990[46] | 1999[46] | 2006[47] | 2009[48] | 2013[49] |
Rang de la commune dans le département | 132 | 138 | 163 | 168 | 164 | 163 | 160 | 161 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Il n'y a pas d'école à Montalba-le-Château.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête patronale : [50] ;
- Fête communale : [50] ;
- Fête de la chèvre : 1er dimanche d'octobre, depuis 2013[51].
Santé
[modifier | modifier le code]Il n'y a pas de médecin ou de pharmacie à Montalba-le-Château. Les plus proches sont à Ille-sur-Têt. Les centres hospitaliers les plus proches sont à Prades ou à Thuir.
Sports
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 5] | 12,2 % | 15,2 % | 15,7 % |
Département[I 6] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 89 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7 % d'actifs (62,9 % ayant un emploi et 15,7 % de chômeurs) et 21,3 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 8]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 13 en 2013 et 20 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 56, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,7 %[I 9].
Sur ces 56 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 83,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 277 €[I 12].
Emploi
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Langue locale
[modifier | modifier le code]Le village se trouve actuellement dans la zone de langue catalane de transition vers la langue occitane (comme Trévillach, Bélesta et Latour de France).
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
- Église Sainte-Marie
- Église Sainte-Marie, située extra-muros au nord-est du village.
- Le château.
- Eglise Sainte-Marie.
- Le village sur fond de Canigou.
Monuments et lieux touristiques
[modifier | modifier le code]Les monuments et lieux notables de Montalba-le-Château sont les suivants[50] :
- Le château et son enceinte ( Inscrit MH (1984)), dont une tour-donjon, construits du XIIe au XIIIe siècle et remanié aux XVIe et XVIIe siècles ;
- L'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption, de construction récente, avec un clocher-mur ;
- L'église Sainte-Marie, des XIIIe et XIVe siècles, située extra-muros au nord-est du village.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Alfred Sauvy : économiste et professeur au collège de France ; il avait une maison dans la commune et aimait s'y retirer pour rédiger ses ouvrages.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De sable à trois pals d'argent ; au chef du même. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michel Tondon, Montalba le Château : Le site, les seigneurs, les habitants, le trésor, les coutumes et les promenades environnantes, Saint-Estève, Les Presses littéraires, , 147 p. (ISBN 978-2-35073-991-5, BNF 45022859)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Montalba-le-Château ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montalba-le-Château » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montalba-le-Château » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Montalba-le-Château et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montalba-le-Château et Prades », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montalba-le-Château et Le Soler », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Montalba-le-Château », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montalba-le-Château », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- L'atlas des paysages du Languedoc-Roussillon sur paysages.languedoc-roussillon.developpement-durable.gouv.fr
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Genna A. (2009) Carte géologique harmonisée du département des Pyrénées-Orientales. Notice technique, Rapport final, BRGM/RP-57032-FR, en particulier pages 417-8. http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-57032-FR.pdf.
- « Carte géologique » sur Géoportail. Avec Notice explicative de la feuille Rivesaltes(1096) à 1/50 000, BRGM Éditions, Orléans, 1993, ficheinfoterre.brgm.fr, consulté le 7 janvier 2022.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montalba-le-Château », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101490 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9102010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Montalba-le-Château », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
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- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
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- Henri Guiter, Atlas linguistique des Pyrénées Orientales, Paris, Centre National de la Recherche Scientifique, .
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- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
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- Jacques Roigt a parrainé la candidature de Marie-George Buffet à l'élection présidentielle de 2007, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République.
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur la-clau.net.
- Répertoire national des élus du 13 juillet 2020.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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