Paul Marthès — Wikipédia
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Nom de naissance | Ferdinand Pierre Louis Mauhin |
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Ferdinand Pierre Louis Mauhin dit Paul Marthès ou Marthès, né le dans le 18e arrondissement de Paris[1] et mort à une date indéterminée après , est un acteur de théâtre et de cinéma français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Fils du ténor et régisseur de théâtre Pierre Louis Mauhin dit Mauhin-Martès, officier d'Académie, Paul Marthès débute comme chanteur lyrique à Saint-Étienne[2],[3],[4],[5].
En 1902, il se produit comme chanteur de genre au festival de la Lyre de Limoges, à la manière d'un Tramel, soit sous son nom, soit sous le seul pseudonyme de Marthès, au Casino-Kursaal à Lyon, ainsi qu'à Cette ou à l'Alkasar Kursaal de Dijon.
Son nom n'apparaît plus dans la presse entre juin 1914 et septembre 1917, ce qui semble indiquer qu'il a été mobilisé pendant toute cette période[a].
En 1917, il est grand premier comique à l'Apollo et se produit un mois durant au Nouveau-Théâtre d'Alger avec la troupe d'opérette franco-anglaise de Charles Selric[6],[7],[8],[9],[10],[11].
En 1921, il est permanent à la Gaîté-Montparnasse[12]
Il débute au cinéma en 1927.
En 1929, avec le second rôle qu'il tient dans Topaze de Marcel Pagnol lors la tournée principale Boulay-Arnaudy, il assure plus de 1200 représentations en moins de 3 ans et acquiert une forte popularité.
Cette reconnaissance tardive lui ouvre les portes de grands théâtres parisiens comme le théâtre du Palais-Royal, le théâtre de l'Ambigu et surtout le théâtre de l'Atelier où sa rencontre avec Charles Dullin va être déterminante et lui permettre de quitter enfin son personnage de comique excentrique et d'accéder à des rôles plus consistants dans des pièces d'auteurs dramatiques classiques ou modernes reconnus.
Il perd son fils Roger en décembre 1933 des suites d'une longue maladie à l'âge de 19 ans[13].
On perd définitivement sa trace au début de 1939 après un dernier rôle au cinéma dans Petite Peste de Jean de Limur sorti sur les écrans parisiens en février et, au théâtre, dans Volpone représenté à Marseille en avril de la même année. Il a alors 62 ans.
Carrière au théâtre
[modifier | modifier le code]- 1909 : Démolissons !, revue d'actualité en 1 acte de Jules Dumas, au Casino-Kursaal de Grenoble (6 janvier)[14]
- 1909 : Le nommé Tartempion, vaudeville en un acte de Benjamin Lebreton et Saint-Paul, à l'Alcazar-Kursaal de Dijon[15]
- 1909 : Ma Colonelle, comédie-bouffe en un acte d'Henry Moreau et Alphonse Gramet, à l'Apollo-Cristal de Toulouse (19 juin) : Bréchu
- 1909 : La D'moiselle de chez Maxime, parodie en 1 acte et 3 tableaux de Gardel-Hervé d'après la pièce de Georges Feydeau, à l'Apollo-Cristal de Toulouse (4 juillet) : le docteur Patapon
- 1909 : Monsieur et Madame Sans-Gêne, parodie en 2 actes de Jean Bastia et Paul Chambot[b] d'après la comédie de Victorien Sardou, à l'Appolo-Cristal de Toulouse
- 1909 : La Petite Carmen, opérette pastiche en 1 acte et 3 journées d'Henry Moreau et Saint-Cyr, à l'Apollo-Cristal de Toulouse (23 juillet) : le renondeur
- 1910 : Son Excellence n'est pas de bois, pièce en un acte de Marc Bonis-Charancle[16]
- 1912 : Monsieur chasse, comédie en 3 actes de Georges Feydeau, au Casino-Théâtre de Genève (janvier)
- 1912 : Penses-tu qu'on aura la gare ?, revue locale en 3 actes et 12 tableaux de Martin et Henriot, au Casino-Théâtre de Genève (février)
- 1914 : Mon cher Maître, comédie en un acte d'Édouard Loisel et Édouard Noël, au Casino du Creusot (mai)
- 1914 : Le Truc d'Octave, vaudeville en un acte de Daniel Jourda[17], au Casino du Creusot (juin)[18]
- 1917 : Miss Bridget, opérette franco-anglaise en 2 actes d'Adolphe Couturet[19], au Nouveau-Théâtre d'Alger (20 septembre) : Chique[20]
- 1917 : Félicien, ou Mam'zelle Gros Lot, fantaisie-bouffe en 3 actes avec chants d'André Mas, au Nouveau-Théâtre d'Alger () : Félicien[21]
- 1917 ; Le Légionnaire, pièce à thèse de Victor Roullet, au Nouveau-Théâtre d'Alger[22]
- 1917 : Le Capricorne, opérette nautique de Lévy et Paul Meyan, musique de Victor Herpin, au Nouveau-Théâtre d'Alger (4 octobre)[23]
- 1917 : Le Grand Mogol, opérette en 4 actes d'Edmond Audran, livret d'Alfred Duru et Henri Chivot, au Nouveau-Théâtre d'Alger (16 novembre)
- 1919 : Le Petit Tapioca, vaudeville en 1 acte d'Adolphe Couturet, et Depuis six mois, vaudeville en 1 acte de Paul Maurey, au Casino de Nancy (août)[24]
- 1921 : Le Crime du Bouif, drame policier en 4 actes et 9 tableaux d'André Mouëzy-Éon et Georges de la Fouchardière, à l'Eldorado () puis en tournée[25]
- 1924 : Le Prince Jean, pièce en 4 actes de Charles Méré, au théâtre des Variétés de Toulouse (avril) : le patron du café
- 1927 : Le Vin nouveau / Viens avec nous, petit !, pièce en 4 actes de Jacques Deval d'après Fata Morgana d'Ernest Vajda, au théâtre de la Renaissance () : M. Blazier[26]
- 1927 : Monsieur de Saint-Obin, comédie en 3 actes d'André Picard et H.M. Harwood, au théâtre de la Renaissance (1er juin) puis en tournée : Carquefou
- 1927 : Le Chasseur de chez Maxim's, comédie en 3 actes d'Yves Mirande et Gustave Quinson, au théâtre de l'Alhambra de Lille (septembre) : le chanoine
- 1927 : Charly, comédie de Val et André Jager-Schmidt, au Casino de Vichy (octobre) : le mari
- 1927 : La Sonnette d'alarme, comédie en 3 actes de Maurice Hennequin et Romain Coolus, au Casino de Vichy (octobre)
- 1928 : Le Temps des cerises, comédie en 3 actes de Yoris d'Hansewick et Pierre de Wattyne, au théâtre de l'Alhambra de Lille (juillet)
- 1928 : Beulemans à Marseille, comédie en 3 actes de Frantz Fonson, au théâtre de l'Alhambra de Lille (août) : Marius Costebelle[27]
- 1929 : J'aurais Lulu, vaudeville d'Henry de Gorsse et André Mycho, au théâtre de l'Alhambra de Lille (avril) : Bardonnèche
- 1929 : Topaze, pièce en 4 actes de Marcel Pagnol[28] puis en tournée pour plus de 1200 représentations.
- 1933 : La Demoiselle de Mamers, pièce en 3 actes d'Yves Mirande et Gustave Quinson, au théâtre du Palais-Royal () : l'évêque
- 1934 : Pleine Lune !, farce et satire en 3 actes de Pol Eber, mise en scène de Pierre Sailhan, au théâtre de Dix-Francs (16 novembre) puis en tournée : Oscar Leblond[29]
- 1935 : Le Cocu magnifique, pièce en 3 actes de Fernand Crommelynck, au théâtre des Mathurins () : le bourgmestre[30]
- 1935 : Le Faiseur, comédie d'Honoré de Balzac adaptée en 3 actes et 4 tableaux par Simone Jollivet, mise en scène de Charles Dullin, musique de scène de Darius Milhaud, au théâtre de l'Atelier (décembre) : Brédif
- 1936 : Le Camelot, comédie en 4 actes de Roger Vitrac, mise en scène de Charles Dullin, musique de Georges Auric, au théâtre de l'Atelier, () : François Lacassagne
- 1936 : Scaramouche au Théâtre des Mathurins[31]
- 1936 : L'Ours et le Pacha, comédie-bouffe d'Eugène Scribe adaptée par Charles Vildrac et Henriette Pascar, au théâtre des Mathurins () : l'ours
- 1937 : Jules César, tragédie de William Shakespeare traduite et adaptée par Simone Jollivet, mise en scène de Charles Dullin, musique de Darius Milhaud, au théâtre de l'Atelier () : Popilius Lena
- 1937 : Atlas-Hôtel, comédie en 3 actes d'Armand Salacrou, mise en scène de Charles Dullin, au théâtre de l'Atelier () : le caïd[32]
- 1937 : Les Oiseaux, comédie grecque d'Aristophane, adaptation française de Bernard Zimmer, mise en scène de Charles Dullin, musique de Georges Auric, au théâtre de verdure de Cauterets (25 août) : l'homme politique[33]
- 1937 : L'Opéra de quat'sous, comédie en 3 actes de Bertolt Brecht, adaptation française d'André Mauprey et Ninon Tallon, musique de Kurt Weill, au théâtre de l'Étoile () : un bandit
- 1937 : Gustave, comédie en 1 acte de Georges Pacaud, au théâtre des Deux-Masques () : Gustave
- 1938 : L'Angélus de Millet, évocation en vers de Cita et Suzanne Mallard, au Studio de Télévision des P.T.T. () : Jean-François Millet[34]
- 1938 : La Terre est ronde, pièce en 3 actes d'Armand Salacrou, mise en scène de Charles Dullin, au théâtre de l'Atelier () : le boucher[35]
- 1939 : Volpone, comédie en 5 actes de Stefan Zweig et Jules Romains d'après la pièce de Ben Jonson, musique de scène de Georges Auric, au Grand-Théâtre de Lille (25 mars) et au théâtre du Gymnase de Marseille (4 avril) : le juge[36].
Carrière au cinéma
[modifier | modifier le code]- 1927 : Fleur d'amour / Fleurette, de Marcel Vandal
- 1931 : Monsieur le maréchal, de Carl Lamac : Janning
- 1932 : L'Amour et la Veine, de Monty Banks : le maître d'hôtel
- 1933 : Direct au cœur, d'Alexandre Arnaudy et Roger Lion : Rodibois
- 1933 : Trois Balles dans la peau de Roger Lion : Casimir
- 1933 : Bagnes d'enfants de Georges Gauthier
- 1933 : La Cloche et Cie, de Georges Monca
- 1934 : La Femme idéale, d'André Berthomieu : Mignon
- 1934 : Les Bleus de la marine, de Maurice Cammage : le premier adjoint
- 1934 : Minuit, place Pigalle, de Roger Richebé
- 1935 : La Torture, court-métrage de Roger Capellani
- 1935 : Vilaine histoire, court-métrage de Christian-Jaque
- 1935 : Le Tampon du colonel, de Max Lerel et Georges Pallu
- 1935 : La Rosière des halles, de Jean de Limur
- 1935 : Jim la Houlette, d'André Berthomieu
- 1935 : Fanfare d'amour, de Richard Pottier
- 1935 : Son frère de lait, court-métrage de Max Lerel et Georges Pallu : le colonel[37]
- 1935 : Le Vase étrusque, court-métrage de Max Lerel et Georges Pallu
- 1935 : Mademoiselle Mozart, d'Yvan Noé : le monsieur au chien
- 1935 : Paris mes amours, de Lucien Blondeau[38]
- 1935 : Jeunesse d'abord / Cette petite est parfaite, de Jean Stelli et Claude Heymann[39]
- 1936 : Les Gaietés de la finance, de Jack Forrester : le médecin
- 1936 : Avec le sourire, de Maurice Tourneur
- 1936 : Faites comme chez moi, court-métrage de Pierre Lafond
- 1936 : Trois jours de perm', de Georges Monca et Maurice Kéroul
- 1937 : Le Porte-veine, d'André Berthomieu : le passager de l'ascenseur
- 1937 : L'Alibi, de Pierre Chenal : le gros danseur
- 1938 : L'Affaire Lafarge, de Pierre Chenal : le curé
- 1938 : Le Petit Chose, de Maurice Cloche : le portier
- 1938 : Clodoche, de Raymond Lamy et Claude Orval : Bombasset
- 1938 : La Maison du Maltais, de Pierre Chenal : un badaud
- 1938 : Katia, de Maurice Tourneur : l'ambassadeur turc
- 1938 : Le Héros de la Marne, d'André Hugon : le curé
- 1939 : Petite Peste, de Jean de Limur : l'aubergiste
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Son nom ne figurant sur aucun des registres de recrutement numérisés sur la site Grand Mémorial du ministère de la Culture, il y a lieu de supposer qu'il a été mobilisé en Belgique car né de parents de nationalité belge
- Paul Chambot (1860-1934), acteur et auteur dramatique.
Références
[modifier | modifier le code]- Acte de naissance n° 3015 (vue 29/31) sans mention marginale. Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 18e arrondissement, registre des naissances de 1876.
- Étranger. Gand. Grand-Théâtre. Le Monde artistique, 18 juillet 1897, p. 455, à lire en ligne sur Gallica.
- Belgique. Ostende. Théâtre Royal. Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, année 1903, p. 1152, à lire en ligne sur Gallica.
- Ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts. Officiers d'Académie. Journal Officiel, 4 janvier 1904, p. 177, à lire en ligne sur Gallica.
- "Répertoire maçonnique" (1908), notice Mauhin, p. 506, à lire en ligne sur Gallica.
- « L’Écho d’Alger, 17 septembre 1917 - p.2 - 5ème colonne haut - NOUVEAU THEATRE », sur Retronews
- Chronique locale. Le concert de la Lyre de Limoges. La Gazette du Centre, 30 juin 1902, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- Lyon. Casino-Kursaal. La Comédie politique, 30 octobre 1902, p. 10, à lire en ligne sur Gallica.
- « Le Petit Marseillais, 17 octobre 1904 - p.4 - 3ème colonne haut - Spectacles et Concerts de la Région - Cette », sur Retronews
- « Le Petit Marseillais, 27 octobre 1904 - p.4 - 6ème colonne haut - Cette », sur Retronews
- « L’Écho d’Alger, 15 septembre 1917 - p.3 - 1ère colonne haut - L'opérette anglaise au Nouveau Théâtre », sur Retronews
- « Le Grand Écho de l’Aisne, 26 mars 1921 - p.2 - 5ème colonne bas - Cinéma -SPLENDID - Music-Hall », sur Retronews
- Théâtre. Courrier. L'Intransigeant, 28 décembre 1933, p. 9, à lire en ligne sur Gallica.
- La saison dans les Alpes. Au Casino-Kursaal. La Revue de fin d'année : Démolissons !. Les Alpes pittoresques, 15 janvier 1909, p. 11 à 13, à lire en ligne sur Gallica. Article avec photos des artistes dont celle de Marthès.
- « Le Petit Bourguignon, 12 mars 1909 - p.2 - 3ème colonne bas - Première représentation… », sur Retronews
- « Le Nouveau siècle, 14 août 1910 - p.3 - 6ème colonne bas - SALIES-DE-BEARN », sur Retronews
- Édition originale de 1912 à lire en ligne sur Gallica.
- Spectacles et concerts. Au Casino cette semaine. Le Creusotin, 3 juin 1914, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- Adolphe Couture dit Couturet, acteur et auteur dramatique (1869-1945).
- Courrier des spectacles. Nouveau-Théâtre. Les Nouvelles (Alger), 20 septembre 1917, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- À Alger. Courrier des spectacles. Les Nouvelles, 27 septembre 1917, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- « L’Écho d’Alger, 5 octobre 1917 - p.2 - 6ème colonne haut - LES SPECTACLES », sur Retronews
- Les spectacles. Nouveau-Théâtre. L'Écho d'Alger, 4 octobre 1917, p. 3, à lire en ligne sur Gallica
- Province. Nancy. Casino. La Rampe, 10 août 1919, p. 24, à lire en ligne sur Gallica
- Programme officiel "Tournée TRAMEL -Le Crime du Bouif", page 5, production O. Dufrenne, 12p., 1924-1926
- Théâtres. Renaissance. L'Homme libre, 26 janvier 1927, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- On joue cette semaine. Lille. Alhambra. Comoedia, 19 août 1928, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- « La Volonté, 24 décembre 1929 - p.5 - 6ème colonne haut - Le thêatre à Charleville - 3ème paragraphe - Ce sont les tournées Boulay et Arnaudy... », sur Retronews
- Les théâtres. "Pleine Lune". L'Ordre, 17 novembre 1934, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- « Comœdia, 28 septembre 1935 - p.2 - 4ème colonne haut - La réouverture des Mathurins », sur Retronews
- « Le Petit Journal, 23 décembre 1936 - p.6 - 4ème colonne haut - Scaramouche », sur Retronews
- Au théâtre de l'Atelier. Reprise de "Atlas-Hôtel" d'Armand Salacrou. Ce soir, 6 mai 1937, p. 7, à lire en ligne sur Gallica.
- Théâtre. Charles Dullin a joué sur une scène de plein air. L'Intransigeant, 28 août 1937, p. 7, à lire en ligne sur Gallica.
- Radio. Courrier. L'Intransigeant, 29 mai 1938, p. 4N à lire en ligne sur Gallica.
- Au théâtre de l'Atelier. "La terre est ronde". Paris-Midi, 8 novembre 1938, p. 5, à lire en ligne sur Gallica.
- Les Galas Karsenty au Gymnase. Le Radical de Marseille, 4 avril 1939, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- Cinéma. Pour ne pas être treize à table... voici un film : "Son frère de lait" ! L'Intransigeant, 15 janvier 1935, p. 8, à lire en ligne sur Gallica.
- Cinéma. Bruits et nouvelles. L'Auto-Vélo, 25 février 1935, p. 4A, à lire en ligne sur Gallica.
- « Comœdia, 3 septembre 1935 - p.4 - 5ème colonne haut - A Billancourt,... », sur Retronews
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Claudette Peyrusse, Cinémathèque de Toulouse (préf. Raymond Borde), Le Cinéma méridional : Le Midi dans le cinéma français (1929-1944), Toulouse, éd. Éché, , 267 p., 28 cm (ISBN 2-86513-053-3, OCLC 416962283, BNF 36148584, SUDOC 001359622, présentation en ligne, lire en ligne sur Gallica ).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative au spectacle :
- films liés à Paul Marthès sur le site de la Cinémathèque française.
- Filmographie de Paul Marthès sur Unifrance.org