Ploubalay — Wikipédia
Ploubalay | |||||
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Dinan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Côte d'Émeraude | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat | Christian Bourget 2017-2020 | ||||
Code postal | 22650 | ||||
Code commune | 22209 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ploubalaysien | ||||
Population | 3 077 hab. (2014 ) | ||||
Densité | 87 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 34′ 51″ nord, 2° 08′ 20″ ouest | ||||
Altitude | 24 m Min. 2 m Max. 77 m | ||||
Superficie | 35,45 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Pleslin-Trigavou | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Beaussais-sur-Mer | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative) | |||||
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Ploubalay [plubalɛ] est une ancienne commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.
Elle est devenue commune déléguée de Beaussais-sur-Mer le [1].
Ses habitants sont appelés les Ploubalaysien(ne)s.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Située dans le nord-est des Côtes-d'Armor à la limite du département d'Ille-et-Vilaine, Ploubalay est une commune de bord de mer, mais qui a la particularité de ne pas avoir de plage.
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune comprend de nombreux hameaux et quartiers dont les Saudrais, la Ville-Asselin, Brenan.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]- Le Frémur et son estuaire bordent la partie est de la commune, le ruisseau le Drouet sa partie ouest.
- Le ruisseau de Floubalay traverse la commune du sud au nord et se jette dans la baie de Lancieux.
- La route D 768 en direction de Plancoët délimite un espace nommé « les Polders ». La mer montait en effet jusqu'au milieu du bourg actuel, dans les zones marécageuses où se trouvent les lotissements de la Prée Neuve et le nouveau centre commercial. La digue qui fut construite [réf. nécessaire] permit de stopper la propagation de la mer lors des marées d'équinoxe. Cela a généré un envasement qui désormais prive définitivement la commune de plage.
Climat
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Ploubalay dispose d'une centaine de kilomètres de routes[réf. nécessaire].
La commune a acquis le surnom de « carrefour des plages » du fait de sa situation géographique. En effet, le bourg est traversé par la route départementale D 2 reliant Dinan à la côte, et la route D 786 reliant Plancoët à Dinard.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploballeio en 1163[2], Parochia de Plabela en 1269, Ploubala en 1310, Plobala vers 1330, Ploubalay en 1348, Ploeballa en 1392, Ploubala en 1399, Plobalai en 1405, Ploubalay en 1439, Pluballay en 1444 et en 1551[3].
Le nom de la ville de Ploubalay est d'origine brittonique. Le premier élément Plou représente l'ancien breton ploe « communauté, implantation civile » (par opposition à lan qui désigne une implantation religieuse). Le second élément -balay représente l’anthroponyme Balae (Bachla, Valay ou Balao)[4]. Il s'agit probablement de saint Balay († en 524), vieux breton Balae (variante Bachla) ou Valay ou Balley ou Biabailus, seigneur de Rosmadec en Bretagne, disciple de saint Guénolé, moine à Landévennec, puis ermite sur la montagne de Penflour, près de Châteaulin et Ploermellac ; patron de Ploubalay fêté le 12 juillet[5], qui aurait été le fondateur de la paroisse de la ville. La forme gallo ne présente pas la mutation de /b/ > /v/ qu'on trouve régulièrement dans certains mots en celtique insulaire. En revanche, c'est le cas dans Lanvallay, composé avec le nom du même saint.
Histoire
[modifier | modifier le code]Haut Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La paroisse primitive de Ploubalay était plus vaste que ce qu'elle est aujourd'hui, elle englobait entièrement toutes les communes adjacentes comme Créhen, Lancieux, Plessix-Balisson, Saint-Jacut-de-la-Mer et Trégon[6]. Cette paroisse est mentionnée la toute première fois en tant qu'église de Ploballeio (l'ancien nom de Ploubalay) en 1163 dans un écrit du pape Alexandre III qui confirme les droits détenus par l'église de Ploubalay dans celle de Saint-Jacut (Anc.év.IV.278). Elle deviendra officiellement une paroisse en 1439 par un acte du duc Jean V de Bretagne. La paroisse de Ploubalay était rattachée sous l'Ancien Régime au diocèse de Saint-Malo, et dans celui-ci elle faisait partie de la subdivision du Poudouvre. La première élection municipale se déroula en 1790.
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au Moyen Âge, les manoirs de la Coudrais, de la Mallerie, de la Guérais, de la Ravillais et de la Crochais appartenaient à la seigneurie du Plessix-Balisson[7].
XXe siècle
[modifier | modifier le code]Guerres du XXe siècle
[modifier | modifier le code]Le monument aux Morts porte les noms de 105 soldats morts pour la Patrie[8] :
- 88 sont morts durant la Première guerre mondiale.
- 15 sont morts durant la Seconde guerre mondiale.
- deux sont morts durant la guerre d'Indochine.
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]Le , les trois maires de Ploubalay, Plessix-Balisson et de Trégon ont signé une charte pour la nouvelle commune qui naîtra de la fusion des trois communes le , et qui s'appellera Beaussais-sur-Mer[9],[10],[11].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Ploubalay est jumelée avec la ville de Boreham, Essex (comté) ( Royaume-Uni) depuis 1987.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 3 077 habitants, en évolution de +14,3 % par rapport à 2009 (Côtes-d'Armor : +1,68 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Service municipaux
[modifier | modifier le code]- Bibliothèque municipale, médiathèque, ludothèque et numérithèque.
- Accueil de loisirs (mercredis et vacances scolaires).
- EHPAD (ancien foyer-logement).
- Camping municipal (juillet et août)[17].
- Syndicat d'initiative (juillet et août).
- Centre communal d'action sociale en mairie de Ploubalay.
Services intercommunaux
[modifier | modifier le code]- SIVU crèche et multi-accueil « Mobydouce ».
- CAP Sports et CAP Armor (avec Lancieux).
- SA d'HLM La Rance
- SIDCOM.
Services publics
[modifier | modifier le code]Scolarité
[modifier | modifier le code]- Espace scolaire Henri-Derouin (écoles maternelle et élémentaire publiques).
- École Saint-Joseph (enseignement catholique de Bretagne).
- Restaurant d'enfants (le midi, les jours d'école, pour les enfants du public et du privé).
- Accueil de loisirs périscolaires (matin et soir les jours d'école).
- École de Ploubalay.
- Maternelle de Ploubalay.
- Cantine de Ploubalay.
- Ancienne école Sainte-Marie.
- Ancienne mairie-école…
- … devenue le groupe scolaire Henri Derouin après révovation et extension contemporaine.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Feu de la Saint-Jean.
- Tournoi de football Mickaël-Esnault.
- Bal populaire du 14 Juillet.
- Concours d'attelage (Ploubalay - Lancieux), en août.
- Foire de la Saint-Mathieu, dite « Foire aux ânes », fête foraine et vide grenier (troisième week-end de septembre).
- Le festival annuel de musique Ska : Les Fennecs (ce festival n'existe plus à Ploubalay, il se déroule désormais dans le pays de Dinan).
- De 1978 à 1988, il y a eu les 24 Heures de Bretagne, une compétition de moto-cross qui avait lieu sur le circuit des vallées Bonas. En 1985, c'est Coluche qui en donna le départ. Cette épreuve d'endurance attire alors plus de 100 équipages, et des dizaines de milliers de spectateurs. Les 24 Heures de Bretagne étaient avant tout une grande fête pour le public[18].
Économie
[modifier | modifier le code]Marché le vendredi matin sur la place de l'église.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Constructions anciennes remarquables
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul reconstruite en 1869[19].
- La chapelle Saint-Cadreuc[20] édifiée à proximité de l'ancien prieuré Saint-Cadreuc.
- La chapelle de La Ville Briand[21] propriété du château de La Mallerie, XVe siècle.
- Le château de la Ravillais et son jardin paysager, inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[22].
- Le château de la Mallerie, XVIIIe siècle, inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[23]. Il a appartenu à la famille du Breil puis à partir de 1787 à Toussaint Briot, qui en a fait un centre de recrutement royaliste pendant la Révolution[24].
- Le château de la Crochais le long du Frémur[25].
- Le manoir de la Coudraye inscrit aux monuments historiques par arrêté du [26],[27].
- Le manoir de Belêtre[28] au lieu-dit Bel Être.
- Le manoir de la Guérais[29].
- La chapelle Saint-Cadreuc.
- Le château de la Ravillais.
Le château d'eau
[modifier | modifier le code]Le château d'eau s'élève à 104 m d'altitude, ce qui fait un édifice d'une hauteur de 57 m. La peinture rouge en dessous signifie qu'il sert de repère et point d'entrée ouest pour le circuit d'approche de l'aéroport de Saint-Malo-Dinard-Pleurtuit situé à proximité.
De mai à octobre, une crêperie accueille les visiteurs au sommet du château d'eau. Il est possible de monter pour profiter d'une vue imprenable sur les environs à 360 degrés. On peut voir la commune de Ploubalay dans son intégralité ainsi que les communes de Lancieux, Saint-Jacut-de-la-Mer, Saint-Briac-sur-Mer et Trégon. On peut apercevoir Saint-Cast et Pleurtuit. On distingue également Dinard, Saint-Malo, Dinan et plus loin encore. Par temps clair, on peut même voir jusqu'aux îles Anglo-Normandes ou le mont Saint-Michel.
Entre 2005 et 2008, le château d'eau a fait l'objet d'une étude pour la création d'un parc de loisirs et de sensations. Des aménagements chiffrés à hauteur de deux millions d'euros auraient permis au château d'eau de se doter d'équipements pour le saut à l'élastique et la descente en rappel. Un escalier extérieur aurait permis de gravir la tour en observant les environs. Le projet a été refusé lors d'un séance du conseil de la communauté de communes.
Lors de forts coups de vent le , une partie du parapet en béton entourant le château d'eau s'est effondrée. Plusieurs tonnes de béton ont été arrachées et sont tombées sur le parking en contrebas, sans faire de victime. Dans l'attente des réparations et des conclusions des experts afin de déterminer les responsabilités (des antennes paraboliques d'opérateurs téléphoniques étaient fixées à cet endroit), la crêperie est fermée.
Le menhir de la Prévôté
[modifier | modifier le code]Le menhir est placé à l'entrée du cimetière de Ploubalay. Il daterait de l'époque néolithique.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Les vallées Bonas
[modifier | modifier le code]Circuit naturel entre les arbres en descendant le long du Floubalay, les vallées Bonas proposent une balade conviviale permettent d'explorer rapidement plusieurs milieux naturels allant de la prairie au sous-bois humide où fourmillent les petites bêtes.
Ce circuit avait servi au rallye de moto-cross des 24 Heures de Bretagne qui se déroulaient à Ploubalay. Depuis, le circuit a été remis en valeur.
Les parcs de la mairie
[modifier | modifier le code]Dans la commune de Ploubalay, il se trouve deux parcs distincts, gérés entièrement par le personnel communal. Il y a celui derrière l'actuelle mairie, offrant aux marcheurs de tous horizons une découvertes de plusieurs variétés de fleurs et d'arbres dans un calme reposant et délicieux… On peut y trouver un accès à l'ancienne bibliothèque de la ville. Depuis 2009, un nouveau parc a été édifié dans une partie face à la mairie.
L'étang du Bois Joli
[modifier | modifier le code]Cet étang est situé entre Ploubalay et Pleurtuit. Cette réserve artificielle est munie d'un barrage qui alimente les communes des alentours. On peut faire le tour de l’étang à pieds ou à vélo mais la navigation est interdite.
Les polders dans la baie de Lancieux
[modifier | modifier le code]Les polders de Ploubalay dans la baie de Lancieux classée en zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (Z.N.I.E.F.F)[30] ont été créés par des moines bénédictins de l’abbaye de Saint-Jacut.
La plus ancienne digue (la Digue des Moines) aurait été construite vers la fin du XVe siècle pour protéger les zones des Bauglais et des Briantais. Les autres digues ont été construites au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle sous la direction de l'abbaye mais par des repris de justice de la ville de Saint-Malo.
On ne faisait pas seulement de l'agriculture mais aussi de la saliculture, activité très présente dans la zone Lancieux-Ploubalay. Au XVIIIe siècle, on pouvait compter 13 salines dans la baie de Lancieux.
Les polders sont aussi un lieu de halte migratoire à mi-parcours entre les pays du Nord et du Sud. On observe des espèces limicoles (bécasseaux, les gravelots, les chevaliers et les barges) ainsi que des espèces de fauvettes (des jardins, à tête noire, babillarde).
On peut distinguer deux zones littorales :
- - la slikke (vases de sel recouvertes après chaque marée) : on y trouve par exemple la Spartine d'Angleterre qui a la particularité de résister au sel et qui progresse avec les apports de sédiments naturels ;
- - le schorre (zone recouverte seulement à quelques périodes de l'année, pendant de grandes marées) : on y trouve des plantes rares comme la lavande de mer, l'obione et des prairies de puccinellies.
En septembre 2020, une brèche s'est ouverte dans la digue[31].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Saint Balay, saint patron de Ploubalay fêté le 12 juillet.
- Guy Homery : religieux français, fondateur des Religieuses de la Divine Providence est né à Ploubalay en 1781.
- Henri Lassourd, ancien député d'Ille-et-Vilaine (1968-1973) est né à Ploubalay.
- Un monument honore la mémoire du lieutenant Edward Durst et du soldat Charles W. Dysko tués en 1944 lors de la libération de Ploubalay.
- Robert Bouloux, coureur cycliste français, professionnel de 1969 à 1977, est né à Ploubalay.
- Fabrice Jeandesboz, coureur cycliste français professionnel de 2009 à 2017. Il réside à Ploubalay.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : D'argent à la bande de gueules chargée de trois macles d'or et surmontée d'un lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or. |
Blason de la famille du Plessis de Grenédan
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- [PDF]« recueil des actes administratifs des Côtes-d'Armor du 9 septembre 2016 page 15 », sur cotes-darmor.pref.gouv.fr (consulté en ).
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Motreff ».
- Fiche de saint Balae dans l'Historial du Grand Terrier
- Nominis : Saint Balay
- Erwan Vallerie, Communes bretonnes et paroisses d'Armorique, Beltan, (ISBN 2-905939-04-4 et 978-2-905939-04-3, OCLC 18817507), p. 132
- Auguste Lemasson, La seigneurie du Plessis-Balisson, bannière de Bretagne : ses juveigneuries, ses arrière-fiefs, Launay-Comatz, Le Coudrais, La Guérais, Rays, La Mallerie, La Ravillais et La Crochais, Saint-Servan, , 190 p. (lire en ligne)
- « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
- https://www.ouest-france.fr/bretagne/ploubalay-22650/ploubalay-plessix-balisson-et-tregon-deviennent-beaussais-sur-mer-4305987
- http://ville-ploubalay.com/admin/upload/bulletin_ploubalay_mai_2016.pdf
- http://www.ville-ploubalay.com/admin/upload/charte_fondatrice_sign_e.pdf
- Ploubalay sur le site de la Communauté de communes de la Côte d'Émeraude
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- À noter que le camping municipal est fermé depuis le changement d'équipe municipale en 2014
- « Armorikaine TT : les mythiques 24 Heures de Bretagne ressortent de terre, 28 ans après », sur Le Télégramme date= 24 août 2022 (consulté le ).
- « Les objets classés de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Chapelle Saint-Joseph, Saint-Cadreuc (Ploubalay fusionnée en Beaussais-sur-Mer en 2017) », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
- « Chapelle Saint-Sébastien, la Ville-Briand (Ploubalay fusionnée en Beaussais-sur-Mer en 2017) », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
- Notice no IA22133549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA22017368, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Manoir dit château de La Mallerie (Ploubalay fusionnée en Beaussais-sur-Mer en 2017) », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
- « Château de la Crochais (Ploubalay fusionnée en Beaussais-sur-Mer en 2017) », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
- « Manoir de la Coudraye », notice no PA00089460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Manoir de la Coudraie (Ploubalay fusionnée en Beaussais-sur-Mer en 2017) », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
- « Manoir de Belêtre (Ploubalay fusionnée en Beaussais-sur-Mer en 2017) », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
- « Manoir de la Guerais (Ploubalay fusionnée en Beaussais-sur-Mer en 2017) », sur patrimoine.region-bretagne.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la baie de Lancieux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Une brèche ouverte dans la digue des polders, à Beaussais-sur-Mer », sur Le Telegramme, (consulté le ).