Remenoville — Wikipédia
Remenoville | |||||
L'église Saint-Epvre. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Lunéville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Meurthe, Mortagne, Moselle | ||||
Maire Mandat | Alain Bally 2020-2026 | ||||
Code postal | 54830 | ||||
Code commune | 54455 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 156 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 27′ 50″ nord, 6° 28′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 249 m Max. 363 m | ||||
Superficie | 8,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lunéville-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle Géolocalisation sur la carte : Grand Est | |||||
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Remenoville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Selon la carte IGN, le bâtiment de la Mairie est située à 270 mètres d'altitude. Le territoire culmine à 363 mètres dans le bois de Réthimont. Le point le plus bas est à 248 mètres, près de l'étang du Censal.
Le territoire est totalement inclus dans le bassin versant de la Mortagne avec laquelle il communique par les ruisseaux dits de Moranviller et de la Goutte. Ce dernier est ainsi désigné par l'actuelle carte IGN (2019) mais le premier cadastre de Remenoville le nomme « ruisseau du Prey ».
Le village est desservi principalement par la route départementale numéro 144 qui le relie à Gerbéviller au nord-est, et à la route départementale numéro 22 au sud, en direction de Vennezey. Remenoville est relié aux villages voisins de Rozelieures, Moriviller, Franconville, Seranville et Giriviller par des routes communales.
La monographie de Remenoville mentionne une source salée qui aurait été sondée en vue d'une exploitation en 1796. Ce projet n'a jamais été mené à son terme.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de la Goutte Les Rapes et le ruisseau de Moranviller[1],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 893 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,5 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Remenoville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37 %), terres arables (34 %), forêts (22,2 %), zones urbanisées (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Anciennes mentions : Romonoldi villa (1114), Remenovilla (1164), Romenovilla (1182), Romonovilla (1186), Remoldi villa (xive siècle), Removille (1287), Remenonvilla (1402), Remenonville (1719), Réménauville-lès-Gerbéviller (1782)[14].
Selon Henri Lepage, Remenoville viendrait de Romonoldi villa, le domaine d'un personnage germanique[14]. Jean Spaite donne un nom originel différent : Ramenoldus villa[15]. Ernest Nègre cite les formes Romonouvilla en 1179 et Remoldi Villa au XIVe siècle. Il y voit le nom d'une personne dans la langue des anciens gaulois[16].
Localement, le nom du village se prononce R'menoville.
Histoire
[modifier | modifier le code]Périodes romaine et pré-romaine
[modifier | modifier le code]Le territoire est traversé par des voies antiques[17], probablement pré romaines (voir la section Lieux et monuments).
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Des sépultures franques ont été découvertes sur le territoire communal[18] à proximité du bois du Haut du Mont[17].
Henri Lepage écrit que l'on a découvert dans le cimetière de Remenoville une croix en pierre portant une inscription avec la date de 1022[19].
Pendant la période allant de 1037 à 1062, des possessions sont nouvellement acquises à Remenoville par Lambert, abbé de Moyenmoutier[20].
le village est mentionné en 1114 dans une charte de l'Empereur Henri V[19].
En 1171, Pierre évêque de Toul fait savoir que Thierry de Ramberviller a fini par ratifier le don des pâtures de Remenoville et de Cembesch (St-Boingt) à l'abbaye de Beaupré[19].
En 1287, Bouchard évêque de Metz, reconnaît pour son homme-lige, Pierre, chevalier et Seigneur de Removille (Remenoville). En 1324, Philipins de Remenoville et son frère Gervais écuyers, se reconnaissent hommes-liges du Duc de Lorraine[19].
En 1341, le duc Raoul publie des lettres au sujet de son accompagnement avec l'abbaye de Moyenmoutier. Dans l'un de ces documents, le duc rappelle que parmi les propriétés de l'église (abbaye de Moyenmoutier), figure le ban de Remenauville (Remenoville)[21].
À la fin du Moyen Âge, Remenoville est un village du duché de Lorraine. Le seigneur de Gerbéviller et l'abbé de Moyenmoutier y étaient hauts, moyens et bas justiciers. Les plaids annaux (annuels) étaient tenus alternativement par chacun d'eux. Le village était obligé de fournir deux hommes pour la garde de la porte Saint-Pierre à Gerbéviller, lors des exécutions[19].
Ancien régime
[modifier | modifier le code]Le , Olry Wiss Seigneur de Gerbéviller, acense deux contrées de bois aux habitants de Remenoville et de Moranviller[22]. Il s'agit des forêts du rouar des pairs et de la petite fillière[23]. Le 28 avril 1866, il est mis en adjudication un cens sur des affouages dans plusieurs communes, dont Remenoville[24]. il ne peut s'agir ici que du cens mentionné au début de ce paragraphe.
En 1587 pendant les guerres de Religion, le passage des reîtres est signalé en septembre à Remenoville avec sa cohorte de destructions[25].
Période moderne
[modifier | modifier le code]Le 12 mars 1866, la forêt de Rethimont située sur le territoire de Remenoville et appartenant jusque là au marquis de Gerbéviller est mise en vente aux enchères[26].
En 1859, l'église est en reconstruction pour un coût estimé à 60 000 francs[27].
En 1877, soit 5 ans avant le vote de la loi Jules Ferry, un rapport présenté au conseil départemental de l'instruction publique donne la liste des communes ayant établi la gratuité absolue de leurs écoles. Remenoville figure dans cette liste[28].
L'almanach-annuaire du Lunévillois pour l'année 1890 note à Remenoville trois aubergistes, un boulanger et deux épiciers[29].
Le 26 décembre 1910, on découvre à son domicile le corps sans vie d'Auguste Hertement. La presse nationale s'empare de ce fait divers qui fait grand bruit sous le titre « le crime de Remenoville ». Un habitant de Giriviller fut condamné à mort pour ce meurtre[30]. Le président de la République commua sa peine[31].
Le 26 juillet 1922 est publié l'appel d'offres pour l'électrification du village[32].
Dans les années 1960, on entendait encore « le faubourg » pour désigner l'extrémité Sud du village.
Moranviller
[modifier | modifier le code]Une légende locale affirme que Remenoville n'aurait été primitivement construit qu'au XVIIe siècle par les habitants de Moranviller fuyant la peste et les Suédois. C'est totalement faux. Les points précédents démontrent que Remenoville existait dès le haut Moyen Âge, au moins. Les documents historiques mentionnent le hameau de Moranviller en même temps que Remenoville.
Moranviller se situait à environ 1 km de Remenoville, au bord de la route communale qui mène à Giriviller. Moranviller et Remenoville semblent n'avoir formé qu'une seule paroisse puisque l'on ne trouve aucune trace d'église ni de cure à Moranviller. Il n'y a pas non plus de plaid propre à ce hameau. On cite Gerardus De Murinvilla en 1179 (abbaye de Beaupré), Moranville en 1324 et Morainviller en 1621[33].
Moranviller compte encore "40 feux" en 1630[19] et aurait été détruit par les Suédois lors de la guerre de Trente Ans. Selon l'abbé Chatton dans sa note sur les sépultures franques de Remenoville, la destruction de Moranviller date de 1644[18] mais l'auteur ne cite pas de source. Le territoire a été réuni à celui de Remenoville[19].
Première guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le site mémoire des hommes recense 113 fiches de soldats français tués sur le territoire communal pendant la Première Guerre mondiale. Le 12 novembre 1914, la préfecture de Meurthe-et-Moselle annonce que 27 maisons sont totalement incendiées à Remenoville à la suite des combats sur la Mortagne et à Rozelieures[34],[35].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2021, la commune comptait 156 habitants[Note 4], en évolution de −5,45 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Voie antique, probablement pré-romaine, reliant Roville-aux-Chênes à Einvaux via Clézentaine, Giriviller, Remenoville et Moriviller. Une seconde voie de moindre importance, un diverticule, reliait Giriviller à Mont-sur-Meurthe en passant par le chemin des Fées entre Remenoville et Franconville. Source
- Vestiges de l'église Saint-Epvre (XIIIe s., restaurée au XIXe s.) et ses objets mobiliers protégés au titre des monuments historiques[43],[44].
- Monument aux morts[45].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Charles-Élie Bailly, né le à Remenoville, ayant résidé au 9 rue de Pérignon à Paris[46], décédé le à Paris. Ancien élève de monsieur Robinet à l’École des Beaux Arts, il fut sculpteur et statuaire à Paris. Sa signature figure sur plusieurs monuments funéraires du cimetière du Montparnasse. Il a réalisé la statue en bronze de l'Abbé Grégoire installée sur la place des Carmes à Lunéville[47]. Elle fut volée par les nazis en 1942. L'actuelle statue en pierre est une œuvre de Paul-François Niclausse, inaugurée en 1955[48].
- Joseph Edmond Chatton, né à Buriville le et décédé le . Il fut curé de Remenoville du au [49]. Il fut membre de la société d'archéologie lorraine et correspondant de l'Académie Stanislas. Il publia de nombreux articles historiques ; à ce titre, il est co-auteur de la note sur la découverte en 1903 de sépultures franques à Remenoville[18].
- Frédéric Henri Wolff, chef de bataillon au 36e régiment d'infanterie coloniale (soldat fusillé pour l'exemple) le .
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Remenoville », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Remenoville sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Remenoville » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Remenoville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Remenoville et Roville-aux-Chênes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Remenoville ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
- Jean Spaite, Saint patronage et sobriquets, Nancy, Imprimerie Apache Color, , 247 p., page 230.
- Nègre, Ernest., Toponymie générale de la France / 2. Formations non-romanes, formations dialectales., Droz, (ISBN 2-600-00133-6 et 978-2-600-00133-5, OCLC 174640771, lire en ligne).
- « L'Est Républicain », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 2.
- Baupré et Chatton, « Note sur quelques sépultures barbares découvertes à Remenoville en 1903 », sur gallica.bnf.fr, mensuel, (consulté le ).
- Henri Lepage, Le département de la Meurthe : statistique historique et administrative, deuxième partie, Nancy, 1843 (lire en ligne)
- Société philomatique vosgienne Auteur du texte, « Bulletin de la Société philomatique vosgienne », sur Gallica, (consulté le ), p. 196.
- Documents rares ou inédits de l'histoire des Vosges. Tomes premier-deuxième. Tome 1 / rassemblés et publ., au nom du Comité d'histoire vosgienne, par L. Duhamel,..., 1868-1869 (lire en ligne), p. 75.
- Henri Lepage, « Archives communales et hospitalières de la Meurthe », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
- Henri Lepage, « les communes de la Meurthe », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
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- L. (18-19 ; directeur d'école) Auteur du texte Jacquot, Simples leçons sur l'histoire de la Lorraine et la géographie du département de Meurthe-et-Moselle (Nouvelle édition, revue et augmentée) / par L. Jacquot. Nouvelle édition, revue et augmentée, (lire en ligne), p. 6.
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- « Almanach-annuaire de l'arrondissement de Lunéville », sur Gallica, (consulté le ), p. 28.
- « Figaro : journal non politique », sur Gallica, (consulté le ), p. 4.
- « Le Mémorial des Vosges : Journal républicain progressiste, quotidien », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 3.
- « L'Est Républicain », sur kiosque.limedia.fr, (consulté le ), p. 6.
- Henri Lepage, « Dictionnaire géographique de la Meurthe », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
- Le Temps du 12 novembre 1914 page 3
- Remenoville bombardé (ruines), [photographie de presse] / Agence Rol
- https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dz8v8x88kg7rkwtk/p3.item.r=seranville
- https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dlnf26swt48d9jwt/p2.item.r=remenoville
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PM54001839, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture2 autels latéraux et leur retable
- Notice no PM54000785, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Cultureautel, gradin d'autel, tabernacle (maître-autel)
- Monument aux Morts dans le cimetière communal
- Société lorraine des amis des arts Salon Auteur du texte, « Catalogue des ouvrages de peinture, sculpture, gravure... d'artistes vivants exposés à Nancy... du... : exposition de... / Société des amis des arts de Nancy », sur Gallica, (consulté le ), p. 29.
- « La chronique des arts et de la curiosité », sur gallica.bnf.fr, hebdomadaire, (consulté le ).
- « La statue de Lunéville », sur musee-abbe-gregoire.fr (consulté le ).
- Sylvie Straehli, « Dictionnaire biographique des prêtres du diocèse de Nancy et de Toul », sur bdnancy.fr (consulté le ).