Rue Beaunier — Wikipédia
14e arrt Rue Beaunier | |||
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Situation | |||
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Arrondissement | 14e arrondissement | ||
Quartier | Petit-Montrouge | ||
Début | 126, rue de la Tombe-Issoire | ||
Fin | 115 bis, avenue du Général-Leclerc et rue Sarrette | ||
Morphologie | |||
Longueur | 365 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
Dénomination | 1868-1873 | ||
Ancien nom | Rue de la Paix Place Jules-Hénaffe Rue de Coulmiers | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 0783 | ||
DGI | 0787 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris Géolocalisation sur la carte : 14e arrondissement de Paris | |||
Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue Beaunier est une voie du 14e arrondissement de Paris située dans le quartier du Petit-Montrouge.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Origine du nom
[modifier | modifier le code]La voie rend hommage à M. Beaunier, un intendant militaire du Premier Empire[1].
Historique
[modifier | modifier le code]Alors située sur la commune de Montrouge, cette voie existait entre les rues de la Tombe-Issoire et du Père-Corentin sous le nom de « rue de la Paix ».
En 1868 elle est prolongée entre les rue du Père-Corentin et avenue d'Orléans sous le nom de « rue Beaunier ».
Par décret du la « rue de la Paix » et la « rue Beaunier » sont réunies sous le nom de « rue Beaunier ».
En 1881, la « rue Beaunier » est prolongée entre l'avenue d'Orléans et l'avenue de Châtillon puis, par arrêté du cette partie en est détachée et prend le nom de rue de Coulmiers.
Par arrêté du la section de la rue située entre la rue de la Tombe-Issoire et l'avenue Reille prend le nom de place Jules-Hénaffe.
La rue présente un bâti relativement hétérogène avec des immeubles de tailles variées, des villas, des maisons de ville et un petit château.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]C’est au no 24, rue Beaunier, qu’ont vécu Lénine, lors de son séjour à Paris, avant de déménager non loin de là, au 4, rue Marie-Rose[2] et le poète, romancier et critique littéraire français dont l'œuvre tout entière célèbre la Bretagne, Charles Le Goffic[3]. À cette époque est également fondée en 1910 au no 3, l'Imprimerie Union, par les émigrés russes Volf Chalit et Dimitri Snégaroff, avant son déménagement en 1913 pour le boulevard Saint-Jacques[4],[5].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Rue Beaunier », nomenclature officielle des voies de Paris, paris.fr.
- Rémi Noyon, « J’ai marché deux heures dans Paris pour faire mon selfie avec Lénine », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
- BonnesVeillees, « Auteur : Ch. Le Goffic (act. 1879-1932) », sur canalblog.com, Les Bonnes Veillées, (consulté le ).
- « La “Bibliothèque de la Pléiade” et l'Imprimerie Union », dans la Lettre de la Pléiade, no 50, février-mars 2013, p. 4, 7.
- « Les années russes » sur le site de l'Imprimerie Union.