Saint-Béat — Wikipédia

Saint-Béat
Saint-Béat
La Garonne et le village de Saint-Béat.
Blason de Saint-Béat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises
Code postal 31440
Code commune 31471
Démographie
Gentilé Saint-Béatais
Population 345 hab. (2016 en évolution de −12,21 % par rapport à 2010)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 54′ 52″ nord, 0° 41′ 33″ est
Altitude Min. 476 m
Max. 1 760 m
Superficie 7,37 km2
Élections
Départementales Bagnères-de-Luchon
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Saint-Béat-Lez
Localisation
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Saint-Béat
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Saint-Béat

Saint-Béat [sɛ̃ bea] est une ancienne commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Le , elle a fusionné avec Lez pour former la commune de Saint-Béat-Lez.

Géographie

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Localisation

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La Garonne traverse le village.

Commune située dans le Comminges et Petit-Comminges au pied du pic du Gar, dans les Pyrénées, dans le sud du département de la Haute-Garonne, à 33 km au sud de Saint-Gaudens.

Hydrographie

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Saint-Béat est située dans le bassin de la Garonne, et traversée par la Garonne en amont de Saint-Gaudens.

Communes limitrophes

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Communes voisines.

Saint-Béat est limitrophe de sept autres communes, dont Argut-Dessous à l'est par un simple quadripoint[1].

Communes limitrophes de Saint-Béat
Chaum Eup Boutx
Marignac Saint-Béat Lez (Saint-Béat-Lez),
Argut-Dessous
Arlos

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 737 hectares ; son altitude varie de 476 à 1 763 mètres[2].

Voies de communication et transports

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La commune est accessible par la route nationale 125 et par la ligne SNCF (ligne Montréjeau - Luchon) (ligne fermée depuis le 18 novembre 2014), gare de Marignac - Saint-Béat, ainsi qu'avec la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).

Un tunnel qui contourne la ville pour rejoindre l'Espagne a été ouvert en avril 2018[3].

Risques naturels et technologiques

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Un plan communal de sauvegarde[4] est émis par la maire au vu des risques majeurs.

Inondations du [5],[6].

La commune a été l'épicentre d'un tremblement de terre de magnitude 4,8, le .

La ville se trouvant sur un rétrécissement de la Garonne, le lieu fut nommé par les Romains le « Pas du Loup » : Passus Lupi.

Saint-Béat serait, outre une tautologie (beatus : bienheureux ou saint), le nom d'un saint très local. Ce saint est aussi connu comme l'évangélisateur de la Beauce où il aurait tué un dragon.

Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Entremons[7].

Ses habitants sont appelés les Saint-Béatais.

Vue de Saint Béat par Eugène de Malbos, vers 1840.

Dans l'antiquité, le site de Saint-Béat est connu comme un « Passus Lupi » (passage du loup), car le resserrement de cette partie du val d'Aran n'aurait alors permis qu'à des loups efflanqués de passer sans se mouiller les pattes dans la Garonne.

Cette ancienne place forte commandait la vallée de la Garonne. Son importance l'avait fait surnommer la « clé de la France ».

Depuis, Saint-Béat est surtout connu pour ses carrières de marbre blanc, découvertes sans doute en cherchant à élargir l'étroit passage et exploitées depuis l'époque gallo-romaine[8]. La légende locale n'hésitait pas à dire que son marbre avait permis d'édifier la colonne Trajane à Rome, ainsi que tout ce qui était en pierre blanche dans la région. C'est naturellement faux. C'est en revanche en partie avéré pour les colonnettes du couvent de Saint-Bertrand-de-Comminges tout proche, ainsi que pour la majorité des sculptures de la villa romaine de Chiragan, à Martres-Tolosane. Il a servi pour les autels tauroboliques de Lectoure (176, 239 et 241 ap. JC). Le marbre de Saint-Béat fut le matériau utilisé pour les bassins et plusieurs statues du parc de Versailles.

L'existence d'un monastère est attestée dès 1003[9].

Les armoiries de Saint-Béat, « clef de France », s'expliquent par l'édification d'une citadelle qui contrôle le passage de la vallée de la Garonne.

Pendant longtemps, outre ses carrières, la ville était le site d'une foire où s'échangeaient les ânes et mulets destinés à l'Espagne, contre du bois venant des forêts aranaises et charrié par la Garonne. Cette foire avait traditionnellement lieu à la Saint-Martin.

Une particularité : jusqu'à la Révolution, Saint-Béat (du moins sa partie est, séparée de la partie ouest par la Garonne) formait, avec Melles et Argut-Dessus, une des enclaves languedociennes du diocèse appelé « diocèse civil du Petit-Comminges » (l'un des 24 diocèses civils des États du Languedoc). Sa partie ouest, avec Arlos, faisait partie de la jugerie dite de « Rivière-Verdun » (formée d'innombrables enclaves allant de Verdun-sur-Garonne, entre Toulouse et Montauban, jusqu'à la frontière espagnole). Cette jugerie dépendait de la Gascogne comme le Couserans et le Comminges[10].

Vue du Pont de Saint-Béat par Eugène Trutat, fonds Eugène Trutat - Muséum de Toulouse.

Dans leur cahier de doléances, les habitants décrivent le site de la ville, comme un endroit particulièrement déshérité, soumis aux débordements de la Garonne, comme aux chutes de pierres depuis les falaises qui surplombent la ville.

La gare de Saint-Béat Lagerle.

De 1914 à 1953, le tramway électrique de Marignac au Pont-du-Roy va desservir Saint-Béat et ses carrières[11].

L'ouverture de la station de ski du Mourtis a donné un nouvel élan touristique à la ville, comme plus récemment son festival de sculpture de marbre, qui permet à de jeunes sculpteurs de s'exprimer par leur art.

Le , elle fusionne avec Lez pour constituer la commune nouvelle de Saint-Béat-Lez dont la création est actée par un arrêté préfectoral du [12].

Politique et administration

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[13],[14].

Rattachements administratifs et électoraux

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Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du canton de Saint-Béat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Béat était le chef-lieu de l'ex-canton de Saint-Béat).

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs, jusqu'à la fusion
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1971 mai 1995 Antoine Récizac[15] PCF Directeur du CEG de Saint-Béat, militant syndical
Mort en fonction
juin 1995 mars 2008[16] Pierre Castéran[17]   Enseignant au collège de Saint-Béat
Vice-président de la CC du canton de Saint-Béat[Quand ?]
mars 2008[18] 2014[19] Hervé Péréfarres[20]   Professeur de lycée ou de collège
2014[21] décembre 2018[22] Alain Frisoni[23]   Responsable de carrière souterraine à l’usine OMG à Saint-Béat
Démissionnaire

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2016, la commune comptait 345 habitants[Note 1], en évolution de −12,21 % par rapport à 2010 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9071 0871 1511 2591 2721 4031 3741 4431 143
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1961 1631 0891 0919981 045965925920
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
944893827908770778661588692
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
687755611543547364394398387
2016 - - - - - - - -
345--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[27] 1975[27] 1982[27] 1990[27] 1999[27] 2006[28] 2009[29] 2013[30]
Rang de la commune dans le département 96 134 167 187 242 258 272 276
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement

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Saint-Béat fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle, une école primaire et le collège François-Cazes[31].

Écologie et recyclage

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Protection environnementale

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La zone Natura 2000 de la Haute vallée de la Garonne, d'une superficie de 11 134 hectares, est classée[32],[33] :

Elle s'étend sur une partie de la commune de Saint-Béat.

La zone Natura 2000 des Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié est classée en zone spéciale de conservation (en référence à la Directive Habitats) depuis 2007 ; avec une superficie de 7 680 hectares, elle s'étend sur une partie de la commune de Saint-Béat[34].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Saint-Béat possède plusieurs monuments :

  • les vestiges préhistoriques ;
  • la carrière de marbre de Saint-Béat appelée brèche romaine : carrières de marbre blanc exploitées depuis l'époque romaine et de marbre bleu turquin ;
  • le château fort du XIIe siècle et sa chapelle. Le château est bâti dans le défilé de la Garonne (surnommé par les romains « le passage des loups »). Il en subsiste notamment un donjon d'époque romane. La chapelle a été édifiée afin de protéger les habitants lors de l'épidémie de peste de 1855[35].
  • l'église Saint-Béat-Saint-Privat, romane du XIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1926, puis classée en 1994[36]. Un tombeau y abrite les reliques de saint Béat et de saint Privat ;
  • le musée du Trésor de l'église ;
  • la chapelle de Géry ;
  • la chapelle de Ladivert ;
  • la chapelle troglodytique Saint-Roch ;
  • la maison natale du maréchal Joseph Gallieni ;
  • l'écomusée le Moulin des Arts[37].

à proximité :


Personnalités liées à la commune

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La statue du maréchal Gallieni à Saint-Béat.

Héraldique

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Saint-Béat

Son blasonnement est : D'azur à la clef renversée d'or, l'anneau fleurdelysé.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Saint-Béat : ouvre enfin », actu,‎ (lire en ligne)
  4. « Prévention des risques », sur st-beat.fr via Wikiwix (consulté le ).
  5. « Inondations dans les Pyrénées : un an après la crue, Saint-Béat dénonce l'inaction de l'Etat », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  6. études face aux risques d'inondations
  7. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. B. Sapène, « Autels votifs, atelier de marbriers et sanctuaire gallo-romains découverts à Saint-Béat (Hte-Garonne), en 1946 », Revue de Comminges,‎ , p. 283 (lire en ligne Accès libre)
  9. Héliodore Castillon (d ́Aspet), Histoire des populations pyrénéennes du Nébouzan et du pays de Comminges..., Toulouse, Delsol, (lire en ligne), p. 220
  10. Voir cartes de Cassini, cartes de Gascogne et de Rivière-Verdun.
  11. Site FACS, Les chemins de fer secondaires de France : 31 - département de Haute-Garonne lire (consulté le 19 novembre 2019)
  12. « Recueil des actes administratifs des services de l'État en Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr, (consulté le ).
  13. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  14. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  15. Jacques Girault, « RECIZAC Antoine, Alban », Le Maitron en ligne, 11/6/2014 mis à jour le 31/3/2021 (consulté le ).
  16. « St-Béat. Municipales : après deux mandats, Pierre Castéran s'interroge », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Saint-Béat-Lez. Vibrant hommage à Pierre Castéran, ancien maire », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Saint-Beat. Hervé Péréfarres présente sa liste », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. Christine Tellier, « Saint-Béat. Dernier mandat : Hervé Perefarrès n'est pas dans la course aux municipales », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Entré au conseil municipal à l’âge de 19 ans, et après avoir été conseiller, adjoint puis maire, une page se tourne pour le maire de Saint-Béat ».
  20. Julien Licourt, « Saint-Béat : comment redonner vie à un village dévasté ? », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Trois mois après une crue qui a dévasté Saint-Béat, le maire du petit village de Haute-Garonne regrette le manque d'accompagnement à long terme des communes ayant subi un grave sinistre ».
  21. « Saint-Béat. Municipales : le coup d'envoi donné par Alain Frisoni », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Maire démissionnaire, Alain Frisoni a apprécié ses cinq ans de mandat », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Le maire, Alain Frisoni, jeune retraité des mines », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
  27. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  30. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. « La scolarité », sur st-beat.fr via Wikiwix (consulté le ).
  32. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300883 - Haute vallée de la Garonne - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  33. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7312005 - Haute vallée de la Garonne - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  34. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300884 - Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  35. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 40.
  36. Notice no PA00094446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 28 juin 2010.
  37. Le Moulin des Arts sur le site de la mairie de Saint-Béat, consulté le 23 avril 2013.