Sakka (manga) — Wikipédia

Sakka est une collection de l'éditeur Casterman spécialisée dans la publication de mangas destinés à un public adulte, ou mangas d'auteur. Le nom même de Sakka signifie « auteur » (作家?) en japonais[1].

Sakka est créée par Casterman en [2]. Frédéric Boilet, qui dirige la collection entre 2004 et 2008, souhaite « valoriser les auteurs en assurant le respect de l'œuvre originale »[2]. Depuis 2013, la collection est dirigée par Wladimir Labaere[1].

Les premiers titres publiés dans cette collection auront été Kaikisen, retour vers la mer de Satoshi Kon, Un été andalou et autres aubergines de Iô Kuroda, Blue de Kiriko Nananan et Kinderbook de Kan Takahama[2].

En juillet 2020, Casterman rallie la campagne #WeLoveManga[3]. Initiée par la plateforme Mangas.io[4], elle remet en cause la pratique populaire et bénévole du scantrad[5],[6],[7]. Comme ces traductions sont disponibles gratuitement sur internet, elles sont considérées juridiquement comme du piratage[5]. Cette campagne se voulant bienveillante, le hashtag sera d'ailleurs en top tendance Twitter pour la journée du 16 juillet 2020[8].

Publications

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Mise à jour : .

Manga dont la commercialisation a été arrêtée.

Lien externe

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Notes et références

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  1. a et b « Collection Sakka », sur manga-news.com (consulté le )
  2. a b et c « Casterman : Une nouvelle collection de mangas, « Sakka », à partir de septembre 2004. », sur Actua BD, (consulté en )
  3. « #WeLoveManga : luttons contre le piratage ! », sur Casterman, (consulté le )
  4. « Enquête sur le «scantrad», le piratage de mangas à l'échelle industrielle », Le Figaro, (consulté le )
  5. a et b « Le scantrad et son impact sur l’édition », sur ActuaLitté.com (consulté le )
  6. Aurélien Pigeat, « « #Welovemanga » : l’occasion d’un état des lieux du scantrad en France ? », sur ActuaBD (consulté le )
  7. « La problématique des scantrads : quelles conséquences sur le monde de l’édition ? | Lettres Numériques », (consulté le )
  8. Shima, « Lancement du hashtag #WeLoveManga par mangas.io », sur Gaak.fr, (consulté le )