Saulxures-lès-Vannes — Wikipédia
Saulxures-lès-Vannes | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois | ||||
Maire Mandat | Pascal Kaci 2020-2026 | ||||
Code postal | 54170 | ||||
Code commune | 54496 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saulxurois[1] | ||||
Population municipale | 375 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 31′ 37″ nord, 5° 48′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 271 m Max. 427 m | ||||
Superficie | 18,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Meine au Saintois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle Géolocalisation sur la carte : Grand Est | |||||
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Saulxures-lès-Vannes est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1 831 hectares comprend en 2011, plus de 55 % de forêts et végétation arbustive, près de 23 % de prairies, 19 % de surfaces agricoles diverses et 3 % de zones urbanisées[2].
Outre le ruisseau de l'Aroffe (3,439 km) qui fait frontière avec la commune voisine au nord, le territoire communal est arrosé de nombreux cours d'eau[3] :
Dénomination | Longueur | |
---|---|---|
Ruisseau de l'Etang de Allamps | 0,01 km | |
Fosse de la Craniere | 0,469 km | |
Fosse de la Terre Poirot | 1,51 km | |
Ruisseau de Courcelles | 0,709 km | |
Ruisseau de la Viole | 0,575 km | |
Ruisseau de l'Etang Thiebeutin | 3,518 km | |
Ruisseau des Haouis | 0,998 km | |
Ruisseau des Naux | 0,015 km | |
Ruisseau des Noirots | 2,746 km | |
Ruisseau des Terres | 0,006 km |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Fosse de la Craniere, la Fosse de la Terre Poirot, le ruisseau de Courcelles, le ruisseau de la Viole, le ruisseau de l'Étang Thiebeutin, le ruisseau des Haouis, le ruisseau des Noirots et le ruisseau l'Aroffe[4],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 928 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saulxures-lès-Vannes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,9 %), prairies (22,9 %), terres arables (17,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,3 %), zones urbanisées (2,7 %), cultures permanentes (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Salsuria (870), Sauxures (abbaye de Mureau), Saulxures (1700), Saulxures-les-Vannes (ou aux-Bois, ou lès-Barisey en 1707) sont les différentes graphies recensées par le dictionnaire topographique de Meurthe[17].Sur la carte de Cassini: Sauxure les Vannes
Vanne est un toponyme désignant un « retranchement construit dans une rivière pour fermer le passage aux poissons »[18].
Lepage[19] et B. Picart[20] citent tous deux les microtoponymes :
- Le pouillé de 1768 mentionne la chapelle Saint-Claude-et-Saint-Nicolas, fondée le , par Guillaume Guérin, clerc et maître de la commanderie de Gerbonvaux.
- Com(m)et (ou Comê / Comey).
- Mérigny.
Le passé avec l'hôpital de Gerbonvaux se lit dans le toponyme actuel de "Corvée de gerbonvaux" (Fig. 1 - ban communal).
Histoire
[modifier | modifier le code]Beaupré cite Dominique E. Olry dans son répertoire archéologique au sujet de cette commune :
«.D'après OIry, fragments de tuiles romaines en divers endroits. En 1848, squelettes avec débris d'armes, ensevelis sous énormes pierres.»[21]
Il signale également, sur le territoire de la commune voisine un site de type éperon-barré pouvant correspondre à un oppidum pré-celtique (lieu-dit côte Chapion)[22]
indiquant ainsi la découverte d’artefacts pouvant témoigner d'un habitat avant et pendant l'occupation romaine et ultérieurement après la chute de l'Empire.
On note l'apparition du village dans les diplômes de Frothaire en 836(lepage), Charles le Chauve en 870 et de Conrad le Salique en 1033
B. Picart, dans son ouvrage de 1711[20], indique que les commanderies et hôpitaux de Gerbonval bénéficiaient de revenus de la terre de Saulxures. Il nomme aussi les seigneurs également rentiers :
«....les Sieurs Abbé de Lory, de Brovilliers, de Lignéville de Vannes, Baillivy de Marigny.... »
Plus récemment, H. Lepage[23] et E. Grosse[24], s'accordent à citer deux fiefs (ou censes) sur le ban : Mérigny et Comey, le premier appelé aussi Château de Marigny, appartenait, vers la fin du XVIIIeme, à M. Baillivy de Mérigny, le second une simple ferme.Une archive du Recueil de documents sur l'histoire de Lorraine[25] rapporte que la propriétaire du château était Dame Marguerite Pasguey, veuve du seigneur de Bignepont, qui dût se défendre dans un procès intenté par l'hôpital de Gerbonval car elle fut considérée comme une usurpatrice de leur bien selon leur propos :
« Auparavant, de soixante et tant d'années, il n'y avait pas de château à Mérigny, il a pris envie à quelqu'un de se faire bâtir une maison de campagne à l'écart du village, qui est appelé château de Mérigny. Ce bastiment qui est dans le finage de Saulxures, dont on laboure les mêmes terres, comme on faisait précédemment, ne peut ester du droit des demandeurs de choisir le mieux valant. Quiconque habite dans cette maison, est bourgeois de Saulxures, non seigneur haut justicier ».
- Il parait évident que le versement de la dîme à une personne autre que l'Hôpital de Gerbonval, alors que ce droit leur avait été donné depuis 1323, comme l'écrit B Picart, motivait cette action.
Dans la monographie des instituteurs de 1888, le site de Comey (parfois Comé) est évoqué comme une ancienne forteresse entourée de fossés mais détruite il y aurait très longtemps, peut-être à la suite des nombreux passages de troupes et d'envahisseurs. Cependant, ce lieu-dit « Comet » aurait été reconstruit en 1593. Près de là sur la hauteur, il existait un lieu de justice.
Un ancien village aurait également existé près de Saulxures-les-Vannes : « Taperey » (toponyme actuel Tapré). Situé en direction de Mont-l'Etroit, on pouvait y retrouver en 1888, des murs de fondations, des pierres noircies par le feu.
Saulxures fut témoin et victime de la guerre de Trente Ans ce qui amena à un total de seulement 107 habitants en 1710 au moment de la parution du Pouillé ecclésiastique du père Benoit, mais près de 900 en 1836 lors du dénombrement figurant dans l'ouvrage de l'abbé Grosse[24].
L'activité s'en ressenti puisque les , , et de chaque année, se déroulèrent les foires de Saulxures-lès-Vannes, à partir de 1835 et durant une cinquantaine d'années.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2021, la commune comptait 375 habitants[Note 3], en évolution de +1,08 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]H. Lepage est prolixe dans sa notice sur ce bourg d'une grande activité vers 1850 :
«Surf. territ. : 661 hect. en terres lab., 125 en prés, 51 en vignes, 896 en bois, 52 en chènevières, vergers, jardins, etc. L'hectare semé en blé peut rapporter 10 hectol., en avoine 15; planté en vignes 60. On n'y sème presque point d'orge ni de seigle. Chevaux, bêtes à cornes, mais principalement des truies qui sont d'un rapport considérable. Commerce de planches et bois, fer, fonte, etc. ; fabrique de machines à battre les céréales, de fromages façon de Brie ; entrepôt de plâtre et de tuiles..»[23]
retraçant ainsi une activité non seulement agricole et viticole mais aussi artisanale, voire industrielle.
Benoit Picart, dans son ouvrage de 1711[20], mentionne deux moulins (De la Haye et de l'Escouteux) dont le revenu allait aux seigneurs du village, E Grosse[24] y ajoute que la fabrication des horloges de bois n'y existe plus en 1836.
Secteur primaire ou Agriculture
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[31]), la commune de Saulxures-lès-Vannes était majoritairement orientée[Note 4] sur la production de bovins (auparavant production de bovins et de lait ) sur une surface agricole utilisée[Note 5] d'environ 1133 hectares (supérieure à la surface cultivable communale) en légère hausse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 1405 à 1148 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 9 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 13 unités de travail[Note 6], (19 exploitations/32 unités de travail en 1988).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Existence d'un château aux XIIIe/XIVe siècles. On voit encore en dessous de l'église les fossés larges et profonds.
- Ruines du château de Mérigny XVIIe, détruit peu après la Révolution.
- Église Saint-Martin reconstruite XVIIIe.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Ferry II de Ludres achète, en , à Henri, sire de Bourmélont, la forteresse et la seigneurie ainsi que les dépendances.
- François-Xavier de Baillivy de Mérigny, lieutenant au régiment Royal-Lorrraine cavalerie en 1777, seigneur de Saulxures[19].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Coupé de gueules au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles de même, et d'argent à l'épi d'or feuillé de sinople et à la branche de chêne de deux feuilles de même. Sur le tout d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent[32]. | |
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Détails | Création Yves Maire, 1968. Corrigé par François Meyer. Adopté en juin 2015. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
Article connexe
[modifier | modifier le code]Lien externe
[modifier | modifier le code]- « Saulxures-les-Vannes », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Saulxures-lès-Vannes sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Saulxures-lès-Vannes » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le nom des habitants du 54 - Meurthe-et-Moselle - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- BRGM, « Fiche ma commune », sur SIGES.
- « Ruisseau l'aroffe [B20-0200] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Affluents :Ruisseau l'aroffe [B20-0200] Ruisseau le Vicherey (9 km) Ruisseau de St-Fiacre (9 km) Ruisseau de la Deuille (6 km) Ruisseau de l'Etang de Allamps (5 km) Ruisseau de la Viole (5 km) Ruisseau de l'Etang Thiebeutin (4 km) Ruisseau des Noirots (3 km) Fosse de la Craniere (2 km) Ruisseau des Naux (2 km) Ruisseau des Laies (2 km) Ruisseau des Terres (2 km) Ruisseau du Grand Pre (1 km) ».
- « Fiche communale de Saulxures-lès-Vannes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saulxures-lès-Vannes et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saulxures-lès-Vannes ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1109 - (ISBN 2600001336).
- Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 518.
- Benoît de Toul, (166.-1720)., Pouillié ecclésiastique et civil du diocèse de Toul. Imprimé par ordre de Monseigneur., Chez Loüis & Etienne Rolin, (OCLC 491986334, lire en ligne), p. 291.
- Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 129.
- Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, par le Cte J. Beaupré..., (lire en ligne), p. 102.
- Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 539.
- E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe, Lunéville, Creusat, 1836, p. 235 et 466.
- « Recueil de documents sur l'histoire de Lorraine », sur Gallica, (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
- http://saulxureslesvannes.free.fr/?p=298 « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).