Sermowaius neoguinensis — Wikipédia
Sermowaius neoguinensis
- Nothippus neoguinensis Roewer, 1913
Sermowaius neoguinensis, unique représentant du genre Sermowaius, est une espèce d'opilions laniatores de la famille des Assamiidae.
Distribution
[modifier | modifier le code]Cette espèce est endémique de Nouvelle-Guinée occidentale en Indonésie[1]. Elle se rencontre vers la Sermowai.
Description
[modifier | modifier le code]Systématique et taxinomie
[modifier | modifier le code]Cette espèce a été décrite sous le protonyme Nothippus neoguinensis par Roewer en 1913. Elle est placée dans le genre Sermowaius par Roewer en 1923[3].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Son nom d'espèce, composé de et du suffixe latin -ensis, « qui vit dans, qui habite », lui a été donné en référence au lieu de sa découverte, la Nouvelle-Guinée.
Publications originales
[modifier | modifier le code]- Roewer, 1913 : « Opiliones aus N. -Neu-Guinea, gesammelt von P.N. van Kampen und K. Gjellerup in den Jahren 1910 und 1911. » Tijdschrift voor entomologie, vol. 56, p. 156–164 (texte intégral).
- Roewer, 1923 : Die Weberknechte der Erde. Systematische Bearbeitung der bisher bekannten Opiliones. Gustav Fischer, Jena, p. 1-1116 (texte intégral).
Liens externes
[modifier | modifier le code]- genre Sermowaius :
- (en) Référence BioLib : Sermowaius Roewer, 1923 (consulté le )
- espèce Sermowaius neoguinensis :
- (en) Référence BioLib : Sermowaius neoguinensis (Roewer, 1913) (consulté le )
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Roewer, 1935 : « Alte und neue Assamiidae. Weitere Weberknechte VIII (8. Ergänzung der "Weberknechte der Erde" 1923). » Veröffentlichungen aus dem Deutschen Kolonial- und Übersee-Museum in Bremen, vol. 1, no 3, p. 1–168.
- Roewer, 1913 : « Opiliones aus N. -Neu-Guinea, gesammelt von P.N. van Kampen und K. Gjellerup in den Jahren 1910 und 1911. » Tijdschrift voor entomologie, vol. 56, p. 156–164 (texte intégral).
- Roewer, 1923 : Die Weberknechte der Erde. Systematische Bearbeitung der bisher bekannten Opiliones. Gustav Fischer, Jena, p. 1-1116 (texte intégral).