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DeutschSmarties — Wikipédia
| Type | Confiserie |
|---|---|
| Pays d'origine | .svg){kind=small} Royaume-Uni |
| Date d'introduction | 1937 |
| Marché(s) | Mondial |
|---|---|
| Propriétaire(s) actuel(s) | Nestlé |
| Ancien(s) propriétaire(s) | Rowntree Mackintosh (en) |
| Site officiel | Nestlé - Smarties |
|---|
Les Smarties sont de petites dragées de forme oblate (d'environ 12 mm de diamètre et 5 mm d'épaisseur), en huit couleurs différentes (rouge, orange, jaune, vert, bleu, mauve, rose et marron), composées de chocolat au lait (65 %) et d'arômes naturels. Depuis 1988, elles appartiennent au groupe Nestlé. Elles sont commercialisées en France depuis 1963.
Histoire
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Leur conception se situe dans un contexte où des petites confiseries chocolatières étaient jusqu'alors fabriquées (par exemple les Crottes de Lapin), mais un souci demeurait : l'élaboration d'une confiserie similaire, ne tachant pas les mains[1][réf. non conforme]. Ainsi, alors que les diavolinos prospéraient en France et en Italie, les Smarties furent fondés par Rowntree's en 1882 près de York. En 1937, l'entreprise devint la Smarties Chocolate Beans ; cependant le mot beans 'haricot' fut enlevé par souci de confusion (bien que certains produits dérivés ont préservé ce nom (e.g. Lentejas au Pérou) et fut renommée Milk Crisp Sugar Shell, puis Smarties en 1977.
Elles ne sont pas commercialisées aux États-Unis, où le nom est attribué à une marque différente de la Smarties Candy Company.
Aujourd'hui[Quand ?], la fabrication de Smarties est entièrement dépourvue d'arômes et de colorants artificiels[réf. souhaitée].
Les Smarties bleues (dont la production par biais d'un colorant synthétique avait été arrêtée en 2006) sont désormais fabriquées depuis 2008 avec un pigment naturel concentré de spiruline appelé phycocyanine[2][réf. non conforme],[3],[4][réf. non conforme]. Les Smarties rouges étaient auparavant[Quand ?] produites à base d'extrait de cochenille mais sont aujourd'hui[Quand ?] obtenues au Royaume-Uni grâce à un pigment issu de chou rouge.
Jusqu'en 2005, elles étaient vendues par lots de 48 dans un tube cylindrique en carton.
Ingrédients
[modifier | modifier le code]- sucre, pâte de cacao, petit lait en poudre, beurre pâtissier, farine de blé, beurre de cacao, lait écrémé en poudre, amidon, émulsifiant, concentrés de fruits et de plantes (carthame, radis, carotte noire, citron, hibiscus, chou rouge), agents d'enrobage, sucre inverti[5].
Autour de la confiserie
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- Smarties devint la première marque alimentaire à entrer dans l'espace, lorsque le cosmonaute Youri Gagarine emporta un tube lors de son voyage spatial du , dans la capsule Vostok 3KA-2[7],[8],[9].
- Le , Kathryn Ratcliffe est entrée dans le Livre Guinness des records en mangeant 138 Smarties en 3 minutes en utilisant des baguettes.[réf. souhaitée]
- « Smarties » fut le surnom d'un style graphique sur des trains de la SNCF en Île-de-France (Transilien) apparu en 2002.[réf. souhaitée]
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) https://www.bbc.com/news/uk-england-42244389
- (en) http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/7238247.stm
- « La saga des Smarties bleus », sur sciencepresse.qc.ca, (consulté le ).
- (en) https://www.confectionerynews.com/Article/2008/02/11/Blue-Smarties-are-back-thanks-to-Spirulina
- btl.nestle.fr.
- « Smarties x5 - Nestlé 38g », sur fr.openfoodfacts.org, (consulté le ).
- « Nestlé, Smarties », sur nestle.fr, (consulté le ).
- Anne Dufour et Carole Garnier, Mes petites recettes magiques régressives : Spéculoos, Carambar, Fraise tagada… Quand la gourmandise rencontre la minceur et la santé, Paris, Leduc.s, , 1re éd., 183 p., 18 cm (ISBN 978-2-84899-578-6 et 2-84899-578-5, OCLC 820669651, BNF 42794120, présentation en ligne), chap. 1er (« Cuisine philo : de l'art et du devoir de se faire plaisir »), p. 25, no 16 (« Smarties®, pour en voir de toutes les couleurs ») [lire en ligne (page consultée le 10 novembre 2016)].
- Martin Godfroid, « M&M's contre Smarties : quelle marque préférez-vous ? », Le quiz des friandises régressives d'Un Gars, un chef ! (La Deux), sur RTBF, (consulté le ).
