Verny — Wikipédia
Verny | |
Église Saint-Michel. | |
Blason | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Metz |
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Messin |
Maire Mandat | Victorien Nicolas 2020-2026 |
Code postal | 57420 |
Code commune | 57708 |
Démographie | |
Gentilé | Vernois[1] |
Population municipale | 2 005 hab. (2021 ) |
Densité | 514 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 00′ 28″ nord, 6° 12′ 14″ est |
Altitude | Min. 172 m Max. 246 m |
Superficie | 3,9 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Verny (ville-centre) |
Aire d'attraction | Metz (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Faulquemont |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.verny.fr |
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Verny est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Verny se trouve à 12 kilomètres au sud de Metz, sur la rive droite de la Seille, un affluent de la Moselle.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Transports
[modifier | modifier le code]Verny se situe sur la route départementale 913 ou rue de Metz. La rocade Sud de Metz est à cinq kilomètres au nord de la commune et permet de rejoindre l'autoroute A31 plus à l'est. À cinq kilomètres au sud, vers Louvigny, se trouvent la gare de Lorraine TGV et l’aéroport régional de Lorraine.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Seille, le ruisseau de Cherisey, le ruisseau de Verny et le ruisseau de Goin[Carte 1].
La Seille, d'une longueur totale de 137,7 km, prend sa source dans la commune de Maizières-lès-Vic et se jette dans la Moselle à Metz en limite avec Saint-Julien-lès-Metz, après avoir traversé 57 communes[2].
Le ruisseau de Cherisey, d'une longueur totale de 10,7 km, prend sa source dans la commune de Pontoy et se jette dans le ruisseau de Verny à Pommérieux, après avoir traversé six communes[3].
Le ruisseau de Verny, d'une longueur totale de 10,8 km, prend sa source dans la commune de Silly-en-Saulnois et se jette dans la Seille à Pommérieux en limite et face à Sillegny, après avoir traversé sept communes[4].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Seille, du ruisseau de Cherisey et du ruisseau de Verny, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 775 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « M.n.l. », sur la commune de Goin à 2 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 678,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,3 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Verny est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Verny[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,4 %), zones urbanisées (22,8 %), prairies (20,5 %), forêts (18,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Histoire
[modifier | modifier le code]La première mention de Verny date de 914, quand Vigeric, alors abbé de Gorze, fait présent à l’abbaye de terres situées sur le ban de Verny. Nous n’avons jusqu’à présent retrouvé aucune trace de document parlant de Verny avant 914 et aucune fouille archéologique connue n’a été faite sur le site. Mais l’étude étymologique du mot Verny peut laisser penser qu’il existait déjà un domaine rural à l’époque romaine. Verny pourrait ainsi avoir une origine gallo-romaine, Vernius (ou Vernio), un nom d’homme, auquel s’ajoute la désinence -acum, qui servait à désigner des domaines. Nous aurions ainsi *Vernius-acum, *Verniacum, c’est-à-dire le domaine de Vernius. Cependant, le substantif celtique *verno- ( > verne), aulne, n'est pas impossible[18]. Homonymie avec Vergné (Charente-Maritime).
Il existe aussi, hors de la Lorraine, un saint Verny, encore honoré dans le centre de la France, comme saint patron des vignerons. Son origine, que l’on situe sur les bords du Rhin, remonte à la fin du XIIIe siècle.
Le ban de Verny appartenait à l’ancienne famille de Vergney, qui tenait ce fief des seigneurs de Cherisey. En 1331, céda à l’évêque de Metz ses droits sur la maison forte de Verny, sur la ville et ses appartements[19]. À partir de ce moment le seigneur de Verny sera vassal de l’évêque de Metz et l’histoire de Verny sera liée à celle de la principauté épiscopale de Metz.
Cette maison forte, un petit château fort, sera détruite en 1635 par les Suédois, pendant la guerre de Trente Ans.
Au début du XVIe siècle, la seigneurie de Verny est dans la famille de Barisey. Puis elle sera partagée entre les familles de Flavigny, de Feriet et de Collin, toutes issues de la haute bourgeoisie messine. Par la suite les de Feriet seront les seuls seigneurs du ban de Verny de 1671 à la Révolution et Louis Philippe de Feriet, qui fut président du Parlement de Metz, construisit un nouveau château à l’époque de Louis XV.
De 1814 à 1870, Verny sera réuni à la commune de Pournoy-la-Grasse pour ne former qu’une seule mairie, mais à deux sections, tout en demeurant chef-lieu de canton.
En 1869, rien ne va plus entre les deux sections de la commune Pournoy - Verny et celles-ci décident de se séparer. Ce sera fait par un décret de Napoléon III datant du .
Le premier conseil municipal de Verny se réunit le , peu de temps avant la guerre franco-allemande de 1870. Il n'y a pas de combats à Verny, mais les troupes allemandes occupent le village d’août à et logent dans la mairie et l’école. Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Verny est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Pour protéger Metz, siège du district de Lorraine, la construction d'un fort est programmée près de Verny. La Feste Wagner, sur les communes de Pournoy-la-Grasse et de Verny, complète la seconde ceinture fortifiée de Metz composée des Festen Wagner (1904-1912), Kronprinz (1899 - 1905), Leipzig (1907-1912), Kaiserin (1899-1905), Lothringen (1899-1905), Freiherr von der Goltz (1907-1916), Haeseler (1899-1905), Prinz Regent Luitpold (1907-1914) et Infanterie-Werk Belle-Croix (1908-1914)[20]. Les Allemands construiront ainsi, sur le territoire de Verny et de Pournoy-la-Grasse, un groupe fortifié devant servir de position avancée du sud messin, à la fois sentinelle et gardienne de la vallée de la Seille. Située à 1 km au nord de Verny, la forteresse domine la Seille d’une hauteur de 65 à 70 mètres. Elle s’étend sur une sorte d’éperon et s’allonge d’est en ouest sur environ 1 200 m. L’association pour la découverte de la fortification messine réhabilite le site et y organise régulièrement des visites[21]. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent loyalement pour l’Empire allemand. En dépit de leur attachement à l’Empire, les habitants de la commune accueillent avec joie la fin des hostilités. Le village n'eut pas à souffrir de dégâts à cette époque.
Pendant l’entre-deux-guerres, Verny se modernise peu à peu.
La Seconde Guerre mondiale et l'Annexion de la Moselle (1940) seront, en revanche, la cause de traumatismes profonds et de destructions massives. En 1940-1941, de nombreux habitants sont expulsés. Au cours de la bataille de Metz, en 1944, le château du XVIIIe siècle est bombardé par l’aviation américaine. Il s’ensuivra un incendie, qui ne laissera rien de cette ancienne demeure seigneuriale. Malgré la combativité de la 462e Volks-Grenadier-Division, Verny est libérée par la 5e DI de l'armée Patton le [22], à la fin de la bataille de Metz.
Au début des années 1970, Verny « explosera » et sa population passera de 257 habitants en 1968 à 1465 en 1982. C’est à ce moment que se feront tous les aménagements qui font le charme du Verny d’aujourd’hui.
Les années 1970 voient une extension considérable du village : la rue du Moulin avec ses 120 logements locatifs, rue de Lorraine et son lotissement les Chenevières. À l'extrémité, les habitations des Acacias sont plus récentes (2007 - 2008).
De 1998 à 2002 : lotissement d'Avigy (140 maisons).
2009 : travaux de construction d'un nouveau lotissement Les Bagrasses (46 parcelles).
2015 : travaux de construction d'un nouveau lotissement La Bergerie (40 parcelles).
De 1790 à 2015, Verny était le chef-lieu de l'ex-canton de Verny.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires successifs
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Depuis le , la Communauté de Communes du Vernois a fusionné avec les communautés de communes d'Accueil de l'Aéroport Régional de Lorraine et de Rémilly et Environs pour donner naissance à la Communauté de Communes du Sud Messin comptant environ 15 000 habitants et 35 communes. Depuis le la commune de Villers-Stoncourt a quitté la Communauté de Communes du Sud Messin pour rejoindre la Communauté de Communes du Pays de Pange.
La Présidente de la CCSM est Mme Brigitte Torloting (maire de Louvigny).
Représentants de la commune de Verny au conseil communautaire
[modifier | modifier le code]- Victorien Nicolas (2e vice-président, chargé de l'aménagement du territoire, de l'urbanisme et des transports)
- François Valentin
- Colette Rottier
- Jean-Marc Sautreau
- Mélanie Adèle-Perrey
- Anne-Françoise Neuschwander
Services publics
[modifier | modifier le code]En sus de la mairie, trois services publics sont présents sur la commune :
- La Maison France Services ;
- Le Centre des Finances Publiques ;
- La Poste
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 2 005 habitants[Note 5], en évolution de +2,14 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Nombreux commerces et artisans[27].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Fontaine fortifiée.
- Voie verte du bois de l'Hôpital.
Architecture civile
[modifier | modifier le code]- Centre socio-culturel Faber : bibliothèque et dojo.
- Accueil périscolaire Les Diablotins inauguré en 2009.
- Espace de loisirs : terrain de football, courts de tennis, city stade, jeux pour enfants.
- Dans la cour du Château : boulodrome, maison des associations.
- École maternelle et élémentaire.
- Collège Nelson-Mandela. Il reçoit les élèves de Verny, ainsi que d'autres originaires de communes voisines (Pommérieux, Pournoy-la-Grasse, Fleury, Solgne, Goin, Liéhon, Louvigny etc).
- Etablissement régional d'enseignement adapté (équipé d'un planétarium). Fermé.
- Caserne de sapeurs pompiers.
- Gendarmerie.
- Halle communale : marché dominical.
Architecture militaire
[modifier | modifier le code]- Petit château fort, détruit en 1635 par les Suédois, pendant la guerre de Trente Ans.
- Groupe Fortifié l'Aisne aussi connu sous le nom de Feste Wagner, un exemple fort bien conservé de fortification de la seconde ceinture fortifiée de Metz.
Édifice religieux
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Michel, néo-romane datant de 1854.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Léon-Ignace Mangin, né le , fils du juge de paix du canton. Après avoir passé ses premières années à Verny, il ira au collège Saint-Clément à Metz. Entré au noviciat des jésuites de Saint-Acheul, près d’Amiens, il part ensuite comme missionnaire en Chine en 1882. Il est rapidement chargé d’un important district, Ho Hien Fou, comprenant 240 paroisses et 20 000 chrétiens. Et puis survient la guerre des Boxers. Le , les Boxers exterminent 1 800 chrétiens dans l’église de Tchou-Kia-Ho. Le père Mangin était parmi eux. Et le , le pape Pie XII béatifia 56 de ces martyrs qui avaient pu être identifiés, dont le père Mangin. Il a été canonisé par Jean-Paul II le .
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à trois pals de sable | |
---|---|---|
Détails | Ce blason est utilisé par la commune depuis le XIXe siècle. Selon E. de Bouteiller il s'agit du blason de la Maison de Verny, d'ancienne chevalerie. Cependant le sceau de Pierre de Verny de 1338 et de Jean de Verny de 1489 portent un écu gironné[28]. Verny est décorée de la Croix de guerre 1939-1945, reçue le 14 juillet 1950 et ajoutée depuis au blason[29]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean Louis Rossignol, Verny, 1 000 ans d’histoire.
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Verny comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Verny » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Verny », sur genealogie-metz-moselle.fr via Wikiwix (consulté le ).
- Sandre, « la Seille »
- Sandre, « le ruisseau de Cherisey »
- Sandre, « le ruisseau de Verny »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Verny et Goin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Verny », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Verny ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, librairie Guénégaud Paris 1978.
- Henry de Cherisey
- Association pour la Découverte de la Fortification Messine sur fort-de-verny.org
- ADFM sur verny.fr.
- 1944-1945 : Les années liberté, Le républicain Lorrain, 1994 (p.15:Recensement préfectoral sur les dates de libération).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Vie économique », sur verny.fr (consulté le ).
- Perrin de Dommartin et Dom Pelletier (manuscrit de Vienne) donnent à cette famille les armes suivantes « Gironné d'argent et de gueules de seize pièces à la bordure de gueules chargée de seize besants d'argent à l'écusson de même mis en abîme. »
- Le Républicain lorrain, La Lorraine vue du ciel, édition 2009, Verny