3e régiment d'infanterie (France) — Wikipédia
3e régiment d'infanterie | |
Création | 1569 |
---|---|
Dissolution | |
Pays | France |
Branche | Armée de terre |
Type | Régiment d’infanterie |
Rôle | Infanterie |
Ancienne dénomination | Régiment de Brissac Régiment de Piémont |
Devise | Résolus de crever plutôt que de ne pas tenir bon. Piémont est un des plus braves régiments du Monde. (Cardinal Richelieu - 1636) |
Inscriptions sur l’emblème | Gênes 1800 Austerlitz 1805 Wagram 1809 Bomarsund 1854 Verdun 1916 Vauxaillon 1918 Thiérache 1918 Authion 1945 AFN 1952-1962 |
Fourragères | aux couleurs du ruban de la Croix de Guerre 1914-1918 |
Décorations | Croix de guerre 1914-1918 deux palmes |
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Le 3e régiment d'infanterie (3e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment de Piémont, un régiment français d'Ancien Régime.
Création et différentes dénominations du régiment
[modifier | modifier le code]Le 1er janvier 1791 : Tous les régiments prennent un nom composé du nom de leur arme avec un numéro d’ordre donné selon leur ancienneté. Le régiment de Piémont devient le 3e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Piémont.
- 1793, amalgamé il prend le nom de 3e demi-brigade de première formation
- 1796, il est Reformé en tant que 3e demi-brigade de deuxième formation
- En 1803, il est renommé 3e régiment d’infanterie de ligne.
- 12 mai 1814, il est renommé régiment Le Dauphin pendant la Première Restauration.
- Le 20 avril 1815, pendant les Cent-Jours, il reprend son nom 3e régiment d'infanterie de ligne
- 16 juillet 1815, comme l'ensemble de l'armée napoléonienne, il est licencié à la Seconde Restauration, à Trézée (Loir-et-Cher).
- 11 août 1815 : création de la légion de l'Allier et de la légion de la Nièvre. Incomplètes, ces 2 Légions départementales fusionnent sous le nom de légion de l'Allier et de la Nièvre.
- 23 octobre 1820, la légion de l'Allier et de la Nièvre est renommée 3e régiment d’infanterie de ligne.
- 1887, il est renommé 3e régiment d'infanterie.
- 1920, il est renommé 3e régiment d'infanterie alpine.
- 1940, il est dissous.
- 1944, il est renommé 3e régiment d'infanterie alpine.
- , il est dissous[1].
- 1956, il est renommé 3e régiment d'infanterie.
- 1962, il est dissous.
- 1964, il est renommé 3e bataillon d'infanterie.
- 1965, il est renommé 3e régiment d'infanterie.
- 1967, il est dissous.
- 1968, il est renommé 3e régiment d'infanterie.
- , dissolution du 3e régiment d'infanterie.
Colonels et Chefs de brigade
[modifier | modifier le code]- 1791 : colonel Jean-Antoine de Blou de Chadenac.
- 1792 : colonel Jean-Baptiste Cambios d'Audrian.
- 1793 : chef de brigade Jean-Baptiste Salme.
- 1793 : Chef de brigade Anglebert.
- 1794 : Chef de brigade Jacques Thomas Sarrut.
- 1796 : Chef de brigade Pierre Martillière.
- 1799 : Chef de brigade Georges Mouton (blessé le ).
- 1803 : colonel Laurent Schobert (blessé le et le ).
- 1811 : colonel Louis Ducouret (blessé le et le ).
- 1813 : colonel Claude Deslon.
- 1814 : Pierre Claude Lebaillif.
- 1814 : colonel Hubert Vautrin (blessé le ).
- 1815 : colonel Jean-Louis Brue.
- 1830 : colonel Jean Pierre François Dieudonné Roussel.
- , colonel Jean-Baptiste Pierre Marie Cœur.
- 1853 : colonel (**) Auguste-Alexandre Ducrot.
- 1870 : colonel Jean Théodore François Champion.
- 1871 : Louis Henri de Boucheman[2]
- 1890 : Adhémar Passérieu.
- 1903-1905 : colonel Paul Louis Durand.
- août-novembre 1914 : lieutenant-colonel Dulys[3].
- décembre 1914 - novembre 1916 : lieutenant-colonel Drouin[3].
- novembre 1916 - avril 1917 : lieutenant-colonel Hardy (il sera tué le )[3].
- avril -septembre 1917 : lieutenant-colonel Oherne[3].
- septembre 1917 - novembre 1918 : lieutenant-colonel Petitjean-Roger[3] (blessé le [4]).
- 9 juin 1921 - 15 juin 1926 : colonel Henry Bourdeau.
- 1939, colonel Durand[1].
- octobre 1939, colonel Mauris[1].
- , commandant Truttman[1].
- ...
- ...
Historique des garnisons, combats et bataille
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Drapeau du 1er bataillon du 3e régiment d'infanterie de ligne de 1791 à 1793 -
Drapeau du 2e bataillon du 3e régiment d'infanterie de ligne de 1791 à 1793
En 1792, à la bataille de Jemappes
-
Drapeau du 1er bataillon du 3e régiment d'infanterie de ligne de 1793 à 1804 -
Drapeau du 2e bataillon du 3e régiment d'infanterie de ligne de 1793 à 1804
En 1793, Weitbruck. Le 26 décembre : 2e bataille de Wissembourg
Lors du premier amalgame, création de la 3e demi-brigade de première formation, formée des 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie (ci-devant Picardie); 5e bataillon de volontaires de l'Aisne ; 5e bataillon de volontaires de la Côte-d'Or également appelé 18e bataillon de volontaires des Réserves
En 1794, Armée du Nord
En 1796, Armée de Rhin-et-Moselle division Laborde avec la 38e demi-brigade et le 21e régiment de cavalerie.
Il est réformé en tant que 3e demi-brigade de deuxième formation avec les 91e demi-brigade de première formation (2e bataillon du 46e régiment d'infanterie (ci-devant Bretagne), 1er bataillon de volontaires du Jura et 1er bataillon de volontaires de l'Ain) ; 127e demi-brigade de première formation (1er bataillon du 68e régiment d'infanterie (ci-devant Beauce), 2e bataillon de volontaires du Haut-Rhin et 3e bataillon de volontaires de la Haute-Marne)
En 1798, armée d'Helvétie
En 1799, armée d'Italie
En 1800, défense de Gênes et La Verriera
En 1803, au camp de Saint-Omer, au sein de la Grande Armée, il absorbe la 83e demi-brigade d'infanterie de ligne et passe ainsi de 2 à 4 bataillons.
-
Drapeau modèle de 1804 (avers) -
Drapeau modèle de 1804 (revers)
En 1805, il est intégré dans la 3e division du général Legrand du 4e corps d'armée du maréchal Soult de la Grande Armée : le , il arrive à Vienne ; le , à Hollabrunn ; le 2 décembre 1805 , Bataille d'Austerlitz (Teinitz : 432 tués ou blessés - 102 prisonniers).
En , il part vers la Bavière, cantonnement à Braunau.
En 1807, le 6 mars, il part vers la Vistule, avec pour effectif : 60 officiers, 2 843 soldats. En outre, le 4e bataillon reste en cantonnement à Strasbourg (6 officiers et 604 hommes) et 1 détachement de 137 hommes est laissé à Berlin. Le : bataille d'Heilsberg. Le : bataille de Friedland (1508 tués).
Cantonnement à Dantzig.
Le , il part de Dantzig.
En 1808, le 3e comprend à ce moment : 3 bataillons, 88 officiers, 2 179 hommes - cantonnement à Prentziow
En 1809, le , Thann ; le : Schierling, Eckmühl (21 et ); le 20- : Essling ; le 5- : Wagram.
En 1810, il revient à Paris et est réorganisé sur le modèle à cinq bataillons : un état-major et cinq bataillons, chacun d'eux a une compagnie de grenadiers, une compagnie de voltigeurs et quatre compagnies de fusiliers. Le 5e bataillon reste en dépôt.
En 1811, grenadiers et voltigeurs partent en Espagne.
-
Drapeau modèle de 1812 (avers)
En 1812, Sanguessa et Bilbao.
En 1813, Bidassoa, Nivelle et Bayonne.
Du à , campagne d'Allemagne. 50e division d’infanterie du général Vichéry, 13e corps d’armée du maréchal Davout.
Le , bataille de Ghorde (Ghörde en allemand) (500 tués ou blessés).
En , Campagne de France jusqu'au dans la division du général Rottembourg, 7e corps du général Oudinot.
Le 14 février 1814, Bataille de Vauchamps . Le , combat de Provins. Le , Bar-sur-Aube. Les 20-, Arcis-sur-Aube
-
Drapeau modèle de 1815 (avers)
En 1815, le 3e fait partie du 2e corps d'armée de l'armée du Nord du lieutenant général Reille, 6e division du lieutenant général prince Jérôme Bonaparte. (28 mai, de 42 officiers et 1,105 hommes, il ne comptait plus, le 24 juin, que 21 officiers et 292 hommes - Bourgue p. 327). Le , Quatre-Bras ; le , Gentinnes ; le , Waterloo (pertes : 25 officiers; 5 tués, 20 blessés - Martinien p. 123).
1815 à 1848
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Drapeau de 1830 à 1848 (avers)
En 1830, il participe à la conquête de l'Algérie par la France. Le , Débarquement à Sidi Ferruch ; le : Bataille de Staoueli, du 24 au , Combats de Dely-Ibrahim et de Sidi Khalef ; du au , siège et prise d'Alger ; le , il rentre en France.
En 1830, une ordonnance du créé le 4e bataillon et porte le régiment, complet, à 3 000 hommes[5].
En juin 1832, il participe à la répression de l'insurrection républicaine à Paris
-
Drapeau de 1854 à 1860 (avers)
En 1849, armée des Alpes.En 1850, le régiment est en garnison à Paris et son dépôt est à Cambrai.
En 1854, Bataille de Bomarsund.
Par décret du le 3e régiment d'infanterie fournit 1 compagnie pour former le
.
En 1864, Colonne sur Laghouat.
Guerre franco-allemande de 1870
Le , le 3e régiment d'infanterie fait partie de l’armée de Châlons.
Avec le 17e bataillon de chasseurs du commandant Merchier et le 21e régiment d'infanterie du colonel Morand, le 3e RI forme la 1re brigade aux ordres du général Nicolaï. Cette 1re brigade avec la 2e brigade du général Maire, deux batteries de 4 et une de mitrailleuses, une compagnie du génie constituent la 1re division d’infanterie commandée par le général de division Conseil-Dumesnil. Cette division d'infanterie évolue au sein du 7e corps d’armée ayant pour commandant en chef le général de division Douay.
Du 23 au : Marche vers l'est
Le : Bataille de Beaumont
Le : Bataille de Sedan
Le 1er septembre, un groupe de 17 officiers et de 1 069 hommes se retire sur Mézières et forme un bataillon de marche.
Le 24 novembre 1870 les compagnies de marche du 3e régiment d'infanterie de ligne qui composaient le 44e régiment de marche sont engagées dans les combats de Chilleurs, Ladon, Boiscommun, Neuville-aux-Bois et Maizières dans le Loiret.
Le : Formation à Mézières de 2 bataillons provisoires du 3e régiment d'infanterie de ligne à 5 compagnies. Ces 2 bataillons font partie de la colonne volante du Nord-Est puis ils concourent à la formation du 73e régiment de marche formé à Masnières près de Cambrai.
Le , les compagnies de marche du 3e régiment d'infanterie de ligne qui composent le 44e régiment de marche sont engagées dans la bataille de Villersexel.
1870 à 1914
[modifier | modifier le code]En garnison à Grenoble en 1870, il est commandé par le colonel Jean Théodore François Champion.
En garnison à Nîmes en 1875, il est alors commandé par le colonel Rode.
En garnison en Corse en 1876, il est commandé par le colonel Gabriel Bellegarrigue de 1876 à 1882.
Il stationne ensuite à Cambrai en 1880.
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Affectation
[modifier | modifier le code]En 1914, il est en casernement à Digne et Hyères 58e brigade d'infanterie de la 29e division d'infanterie (DI), 15e corps d'armée.
Constitution en 1914 : 3 bataillons. À la 29e DI d' à .
1914
[modifier | modifier le code]Combat de Morhange : Dieuze ().
Victoires de Lorraine : Lamath () et Xermanénil ().
Bataille de la Woëvre et des Hauts de Meuse : Apremont (26-), bois des Forges (28 et ).
1915
[modifier | modifier le code]Première bataille de Champagne. Offensive d'Argonne : Vauquois
1916
[modifier | modifier le code]Bataille de Verdun : Bois de Malancourt, Mamelon d'Haucourt.
1917
[modifier | modifier le code]Belgique : Nieuport (janvier à juin), Bixshoote () et Langemarck ().
1918
[modifier | modifier le code]Bataille de la Somme : Luce, Bois Sénécat (Hailles), Hangard, plateau de Laffaux, Craonne.
Pertes
[modifier | modifier le code]Pendant la guerre, le régiment déplore 966 tués. 106 officiers et 4 844 soldats et sous-officiers ont été blessés[6].
Entre-deux guerres
[modifier | modifier le code]Le régiment devient régiment d'infanterie alpine dans les années 1920[7]. Caserné à Hyères, il est rattaché à la 57e brigade d'infanterie alpine de la 29e division d'infanterie[8].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Régiment d'active, il est mis sur pied par le centre mobilisateur d'infanterie 153 de Hyères. Il appartient à la 29e division d'infanterie alpine et il est envoyé avec sa division vers la Haute-Marne en novembre. Il rejoint la Lorraine en janvier 1940 puis la Haute-Saône en avril.
Le régiment combat dans l'Oise du 19 au 26 mai 1940 puis dans la Somme jusqu'au 7 juin. Il se replie progressivement jusqu'à la Loire et se trouve à Aix-en-Diois (Drôme) au moment de l'armistice[1].
Le régiment est recréé le à partir de trois bataillons FFI du groupement alpin sud[9]. En avril, il participe à la bataille de l'Authion avec la 1ère division française libre faisant 155 prisonniers et perdant 76 hommes. Le , le régiment est dissous[1].
De 1956 à nos jours
[modifier | modifier le code]Reconstitué en 1956, il participe à la guerre d'Algérie.
Au cessez-le-feu du en Algérie, le 3e RIA crée comme 91 autres régiments, les 114 unités de la Force Locale. (Accords d’Évian du ) Le 3e R.I.A forme deux unités de la Force locale de l'ordre Algérienne, la 497e et la 498°UFL-UFO, composé de 10 % de militaires métropolitains et de 90 % de militaires musulmans, qui pendant la période transitoire devait être au service de l'exécutif provisoire algérien, jusqu'à l'indépendance de l'Algérie.
Il est dissous en 1962. Il est reconstitué en 1964 sous le nom de 3e bataillon d'infanterie en 1965, il est renommé 3e régiment d'infanterie, il est dissous en 1967. Il est reconstitué le par dédoublement du 129e RI dans le cadre de la réorganisation des Forces de manœuvre. En garnison à Radolfzell, petite ville allemande sur la rive ouest du lac de Constance (Konstanz), le régiment fait partie de la 13e brigade motorisée de la 3e division commandée par le général de brigade Duchatel et du colonel Renault commandant le 3e RI.
Sur le plan militaire, une compagnie de combat du 3e RI (1re compagnie) est jumelée avec une compagnie du 102. Jäger Bataillon (Bataillon de chasseurs) allemand stationné à Bayreuth.
Le , ce régiment a reçu la visite du général Henry, inspecteur de l'infanterie, dont il a paraphé le livre d'or en témoignage d'estime et de confiance, avec l'espoir que Piemont revive comme il l'a toujours fait dans le passé[réf. nécessaire].
Le 3e régiment d'infanterie est dissous le . L'un des quatre plus vieux régiments de France a tourné une page de son histoire.
À partir de 1978 sur le camp national des Garrigues à Nîmes, le 3e régiment d'infanterie est reconstitué comme régiment de manœuvre et d'expérimentation de l'École d'application d'infanterie de Montpellier et régiment d'infanterie mécanisé de la 14e division légère blindée, unité non permanente générée par les écoles militaires en cas de mobilisation générale.
Il est dissous le .
Drapeau
[modifier | modifier le code]Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[10],[11] :
- Gênes 1800
- Austerlitz 1805
- Wagram 1809
- Bomarsund 1854
- Verdun 1916
- Vauxaillon 1918
- Thiérache 1918
- Authion 1945
- AFN 1952-1962
Décorations
[modifier | modifier le code]Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec deux citations à l'ordre de l'armée.
Le régiment est cité à l'ordre de la 10e armée le et à l'ordre de la 3e armée le [12]. Le , à Bad Kreuznach, le général Fayolle remet au drapeau du 3e RI la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918[6].
Traditions
[modifier | modifier le code]La devise du régiment est : Résolus de crever plutôt que de ne pas tenir bon. ("ne pas subir")
Le refrain régimentaire tient en deux phrases : À boire, à boire, nous avons le gosier dans les talons. À boire, à boire, la cantinière et du bon !
Le chant de marche du 3e régiment d'infanterie est La Piémontaise
Personnages célèbres ayant servi au 3e RI
[modifier | modifier le code]- Jean Théodore François Champion alors sous-lieutenant
- Pierre Coste ( - Quissac (Gard) ✝ - Nîmes), soldat dans le régiment de Piémont-Infanterie le .
- Ambroise Fleury (1789-1857), d'abord soldat, il gravit les échelon pour devenir sous-lieutenant. Il devient ensuite architecte et maire de Rouen.
- Henri Frenay, fondateur du mouvement de résistance Combat.
- Régis Barthélemy Mouton-Duvernet, chef de bataillon
- Adrien A. de Trannoy, lieutenant et aide de camp du comte Louis-Antoine de Bryas, futur lieutenant-général, entrés en Belgique pour libérer Anvers lors de la révolution belge de 1830. Il s'est marié à Louvain (Leuven) et est devenu Belge.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « 3e Régiment d'infanterie alpine historique sommaire 1939-1940 », sur ancestramil.fr
- Louis Henri de Boucheman
- Historique 1920, p. 71.
- Historique 1920, p. 46.
- Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 151
- Historique 1920, p. 85.
- « RIA - Les Régiments d'Infanterie Alpine », sur Mémoire des Alpins (consulté le )
- « Les grandes manœuvres du Sud-Est commencent demain », Le Matin, , p. 2 (lire en ligne)
- Henri Béraud, « Le groupement alpin sud (1944-1945) », Les Cahiers des troupes de montagne, no 17, , p. 49-54 (lire en ligne)
- Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
- Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
- Historique 1920, p. 53.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Sources et bibliographie
[modifier | modifier le code]- Serge Andolenko, Recueil d'historiques de l'infanterie française, Paris, Eurimprim, , 413 p. (OCLC 23418405)
- Historique du 3e régiment d'infanterie, Paris, Librairie militaire Chapelot, , 86 p., lire en ligne sur Gallica.
- Historique Du 3 Régiment D'Infanterie Ex-Piémont, 1569-1891, Bourgue, 1894, 448 p., lire en ligne [1]
- Historiques des corps de troupe de l'armée française (1569-1900), Berger-Levrault (Paris), , 52 p. (lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des régiments français
- Grades de l'armée française
- Régiments français d'Ancien Régime
- Les Six Grands Vieux
- Histoire militaire de la France
- Régiment d'infanterie français
- Famille de Bryas
Liens externes
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- Site d'amateur de reconstitution historique
- chtimiste.com citations collectives des régiments d'infanterie de 1914-1918.