Domgermain — Wikipédia
Domgermain | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | CC erres Touloises | ||||
Maire Mandat | Géraldine Debonnet 2022-2026 | ||||
Code postal | 54119 | ||||
Code commune | 54162 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Domgerminois, Domgerminoises | ||||
Population municipale | 1 149 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 88 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 38′ 36″ nord, 5° 49′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 219 m Max. 414 m | ||||
Superficie | 13,09 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Toul | ||||
Législatives | 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle Géolocalisation sur la carte : Grand Est | |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-domgermain.fr | ||||
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Domgermain est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Ses habitants sont les domgerminois et les domgerminoises[1]
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Le bourg de Domgermain se situe en bas du talus de la ligne des côtes de Meuse, à une altitude comprise entre 340 et 250 m. Comme la commune voisine de Charmes-la-Côte, son territoire communal comporte deux extensions au nord-est et au sud-ouest : la forêt de Domgermain, sur le plateau dominant (section cadastrale 0E - altitude d’environ 415 m), et la plaine de Choloy, section ZB, aujourd'hui coupée du bourg historique par la liaison N 4 - A31. Le tout porte sa surface à 1 310 hectares.
Village autrefois de tradition viticole, et qui a pu exploiter ses ressources forestières, dont la trace actuelle réside dans ses chemins d'exploitation rectilignes, Domgermain s'est doté d'une zone d'activité[2] de 2,6 hectares (zone cadastrale ZD) en contrebas d'une voie ferrée.
Domgermain fait partie du vignoble des côtes-de-toul.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins versants du Rhin et de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal d'Alimentation du le canal de la Marne au Rhin, le Petit Ingressin, le ru de Cuignot, le ruisseau de Franchemare, le ruisseau de la Queue et le ruisseau de Locher[3],[Carte 1].
Le territoire est délimité au sud par le ruisseau de la Queue-du-Mont[4] qui se jette ensuite dans la Moselle par le ruisseau de Gare-le-Cou. Il est également arrosé par les eaux de la Locher[5] et ses affluents (parfois de régimes intermittents) au nord. La Locher a sa source au lieu-dit la Planture.
Le ruisseau de Met-Fontaine prend sa source sur le plateau au-dessus du Bourg et rejoint la Moselle par le petit Ingressin[6] (Choloy) son vallon sépare la partie boisée du coteau qui enserre le village.
Le canal d'alimentation du canal de la Marne au Rhin est un aqueduc, conduite forcée et un canal, chenal non navigable de 10 km qui relie la commune de Toul à celle de Foug où il se jette dans le canal de la Marne au Rhin[7].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 858 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 11 km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Domgermain est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,8 %), prairies (24,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,9 %), terres arables (9,5 %), cultures permanentes (7,9 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 504, alors qu'il était de 502 en 2013 et de 480 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 94,2 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Domgermain en 2018 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,4 %) inférieure à celle du département (2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89 % en 2013), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Domgermain[I 2] | Meurthe-et-Moselle[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 94,2 | 88,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,4 | 2 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,4 | 9,3 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Anciennes mentions : Ecclesia Domni Germani en 885 (H. T. p. 5), Villa que Domni Germani en 885 (H. T. p. 5), Villa que Domni Germani dicitur au xe siècle (Hist. épiscopale de Toul)[19].
Le hagiotoponyme caché, apparu en 885, vient du latin médiéval Domnus Germanus, où dom(i)nus (lat.), littéralement seigneur, maître, désigne le saint[20]. Ce type de toponyme, qui fait d'un saint le maître et le protecteur d'un lieu et de ses habitants, est particulièrement fréquent au Haut Moyen Âge.
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]La carte archéologique de Gaule[21], département 54, indique pour cette commune :
- La présence d'une nécropole et de construction aux lieux-dits le Cimetière des Moines" et le Bois des Moines[22];
- Le chemin dit De Brabant (de Foug à Domgermain ?) au nord de la commune[23].
Des recherches[24] sur la commune voisine de Choloy-Ménillot, à l'occasion de travaux routiers, ont confirmé la présence d'une voie antique différente de la voie romaine Toul-Langres (RD 960).
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La légende donne à ce village une origine miraculeuse[25]. Saint-Loup de Troye, évêque de Mâcon passa par Toul accompagné de saint Germain. Celui-ci attirait une foule nombreuse. Il planta en terre son bâton de coudrier pour se mettre à prêcher, et on raconte que le bâton prit racine et devint un arbre. Ce lieu fut appelé la crosse ou la béquille de saint Germain. Ce serait l'origine de la fondation d'une abbaye sous le nom de Saint-Germain.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]En 1581, les habitants obtiennent la permission de faire un chemin pour conduire leurs bestiaux au lieu-dit Bois-le-Comte (48° 39′ 34″ N, 5° 51′ 08″ E).
Cette décision explique l'enclave de Choloy pour cette commune, au nord, vers Toul.
En 1597 le duc Charles III de Lorraine vendit la seigneurie de Domgermain à Louis de Vigneule, seigneur du Mesnil[26].
Claude François (ou Le François), maître-faïencier, exploitait en 1742 la faïencerie du Bois-le-Comte. L'atelier est abandonné au profit de l'atelier de Bellevue à Toul, faïencerie fondée en 1756 ou en 1758 par Charles Le François, son fils[réf. nécessaire].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et viticole, au XIXe siècle :
« Surf. territ. : 565 hect. en terres lab., 113 en prés, 223 en vignes, 451 en bois, plus 36 hectares dans le département de la Meuse, 34 en potagers et vergers, 99 en pâture, etc. L'hectare semé en blé peut rapporter de 14 à 15 hectol., en avoine de 20 à 24 ; planté en vignes de 40 à 50 ; mais depuis 6 à 7 ans, la plus forte et la meilleure partie du vignoble est ravagée par la pyrole. Porcs, moutons, ânes, vaches, chevaux. Culture principale : la vigne et les légumes. tuilerie, four à chaux, deux huileries »[27],[28]
Mais l'artisanat local de fabrication de tuiles y était présent[29].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1943 dans l'arrondissement de Toul du département de Meurthe-et-Moselle.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Toul-Sud[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Toul
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de Meurthe-et-Moselle.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Domgermain était membre de la communauté de communes du Toulois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Terres Touloises, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2021, la commune comptait 1 149 habitants[Note 4], en évolution de −5,82 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Secteur primaire
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[40]), Domgermain était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 355 hectares (surface cultivable communale) quasi stable depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail a fluctué entre 350 et 321 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 10 (13 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 14 unités de travail[Note 7](16 auparavant).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Ancien fort XIXe siècle dominant le village.
- Monuments aux Morts, érigé en mémoire des morts des deux guerres 1914-1918 et 1939-1945, est situé près de l'église Saint-Maurice.
- L'église Saint-Maurice :
Sous le patronage de saint Maurice, l'église d'aujourd'hui a été élevée à l'intérieur du village vers 1732-1734, se substituant alors à l’église médiévale, située à l’extérieur.
Son orgue, à l'arrière de la nef, est particulièrement remarquable[41]. L'instrument de musique provient de l'ancienne chapelle du couvent des Cordeliers de Toul. Devenus « biens nationaux », les biens mobiliers des communautés religieuses de Toul supprimées ont été vendus le 10 avril 1793 aux communes du Toulois pour leurs églises paroissiales. C’est ainsi que les orgues des Cordeliers ont été vendues à Domgermain pour 150 livres. L'instrument, selon une inscription manuscrite datée du 12 mars 1720 et collée dans le sommier du grand orgue, a été réalisé par « Charles Cachet, facteur résidant à présent à Toul, sous le gardiennat du révérend Perre Barthélémy, gardien du couvent de Toul ». Une réparation a été effectuée par Georges Küttinger de Nancy en 1775, comme l’indique une autre inscription dans l’instrument. Le transfert de l’orgue à Domgermain en 1793 a entraîné quelques modifications dans les buffets du grand orgue et du positif. Au XIXe siècle, l’instrument de musique a été entretenu et modifié par les Cuvillier, facteurs à Nancy, et des travaux ont été à nouveau entrepris en 1968 par Georges Nehlig. Grâce aux efforts conjoints de l’Association des Amis de l’Orgue de Domgermain, fondée en 1980, et de la municipalité, l'orgue a été complètement restauré, par Didier Chanon, et inauguré en 1994 par des concerts de Michel Chapuis et Jean-Charles Ablitzer. Avec ses dix neuf jeux répartis sur les trois claviers et son pédalier en tirasse, l’instrument restauré est idéal pour la musique française de la fin du XVIIe siècle et du début du XVIIIe siècle.
Un tableau de François Senémont orne encore le chœur de l'église. L'œuvre, de grandes dimensions, représente l'Ascension du Christ.
- La chapelle Saint-Maurice, qui est l'ancienne église de Domgermain, datant du XVe siècle.
Y sont conservés une Vierge de Pitié et un saint Nicolas, statues du XVe siècle. La chapelle champêtre Saint-Maurice, sise chemin rural de Saint-Maurice, est inscrite en totalité, avec ses peintures murales au titre des monuments historiques par arrêté du [42].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Blasonnement : de gueules à l'orgue d'or au chef cousu d'azur chargé d'un âne d'argent issant de la partition. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
Sur l'orgue
[modifier | modifier le code]- Orgues de Lorraine : Meurthe-et-Moselle, dir. Christian Lutz et René Depoutot, Metz : ASSERCAM et éd. Serpenoises, 1990.
- Damien Vaisse et Philippe Lecler, « La renaissance de l’orgue de Domgermain : autour d’un enregistrement de Jean-Charles Ablitzer », Études touloises, no 117, 2006, p. 16-22.
- Jean-Charles Ablitzer, Noëls et Magnificat de Jean-François Dandrieu, joués sur l'orgue de Domgermain (CD musical, label ILD, 2004).
- Pascal Vigneron, Le livre d'orgue de Jean Baptiste Nôtre, joués sur l'orgue de Toul et de Domgermain (CD, label Quantum, 2012).
- Pascal Vigneron, Les orgues de Meurthe et Moselle, Vol. 1, Claude Balbastre, variations sur les Marseillois jouées sur l'orgue de Domgermain (CD, label Quantum, 2012).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Domgermain (54162) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Domgermain » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Domgermain » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Domgermain ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Domgermain - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Domgermain - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Meurthe-et-Moselle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Atlas des Zones d'activité "terres de Lorraine" », sur developpement.terresdelorraine.org (consulté le ).
- « Fiche communale de Domgermain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Ruisseau de la Queue (A5700300) ».
- « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Ruisseau de Locher (A5700340) ».
- « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Le Petit Ingressin (A5720540) ».
- Sandre, « le canal d'alimentation du canal de la Marne au Rhin »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Domgermain et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
- Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, .
- Académie des inscriptions & belles-lettres (France), Carte archéologique de la Gaule romaine. (Forma orbis romani.) Dressée sous la direction de M. Adrien Blanchet (sous la direction de M. Albert Grenier, avec la collaboration de M.P.-M. Duval). [With plates and maps.]., 1931- (OCLC 562986427, lire en ligne).
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- Henri Lepage, Le Département de la Meurthe. Statistique historique et administrative, (lire en ligne), p. 160.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Le maire socialiste de Domgermain, Michel George, achève son unique mandat », L'Est républicain, 13/12/2013 mis à jour le 31/1/2014 (lire en ligne, consulté le ).
- « Fabrice Chartreux, l’homme qui aimait la vitesse… : Comment les premiers édiles décorent-ils leurs pièces de travail ? Avec des tableaux, des livres, des effets plus personnels ? Les maires du Toulois et du Pays de Colombey nous font entrer dans leur intimité. Huitième acte de cette série avec Fabrice Chartreux qui entame un deuxième mandant à Domgermain », L'Est républicain, 3/10/2020 mis à jour le 7/10/2020 (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- « Fabrice Chartreux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Qui sommes nous ? > Les élus, sur parti-radical.fr (consulté le ).
- Didier Humbert, « Le président de la com’com Terres Touloises démissionne de son mandat régional : L’annonce a fait l’effet d’une petite bombe dans le monde politique Toulois. Et même au-delà. L’entrepreneur Fabrice Chartreux (Parti Radical) vient de lâcher la quasi-totalité de ses mandats électifs pour se recentrer sur la gestion de ses entreprises. Fortement incité par les acteurs du territoire, il conserve néanmoins la tête de l’intercommunalité Terres Touloise », L'Est républicain, 29/9/2022 mis à jour le 11/10/2022 (lire en ligne, consulté le ).
- « Géraldine Debonnet, maire », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Géraldine Debonnet, unique candidate, a été élue par 12 voix et trois bulletins blancs [...] Arrivée à Domgermain en 2010, Géraldine Debonnet est entrée au conseil municipal quatre ans plus tard ; occupant le poste de 1re adjointe qu’elle n’a jamais quitté ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
- « L'Orgue de Domgermain... », sur orguededomgermain.free.fr (consulté le ).
- « La chapelle Saint-Maurice », notice no PA54000084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.