Gare de Lyon-Part-Dieu — Wikipédia
Lyon-Part-Dieu | |
L'entrée côté boulevard Vivier-Merle, place Charles-Béraudier, avant les travaux de 2018. | |
Localisation | |
---|---|
Pays | France |
Commune | Lyon |
Quartier | La Part-Dieu (3e arr.) |
Adresse | 5, place Charles-Béraudier 69003 Lyon |
Coordonnées géographiques | 45° 45′ 36″ nord, 4° 51′ 35″ est |
Gestion et exploitation | |
Propriétaire | SNCF |
Exploitant | SNCF |
Code UIC | 87723197 |
Site Internet | La gare de Lyon-Part-Dieu, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions |
Services | Frecciarossa, AVE, TGV Lyria, TGV inOui, Ouigo, Intercités, TER |
Caractéristiques | |
Ligne(s) | Lyon-Perrache à Genève (frontière) Collonges - Fontaines à Lyon-Guillotière Lyon-Part-Dieu à Montalieu-Vercieu (HS) |
Voies | 12 à quai |
Quais | 6 voyageurs, 4 de service |
Transit annuel | 40 088 689 voyageurs (2023) |
Altitude | 177 m |
Historique | |
Mise en service | |
Architecte | Eugène Gachon et Jean-Louis Girodet |
Correspondances | |
Métro | |
Tramway | |
Lignes majeures | |
Autobus | |
Cars Région | T36 X75 |
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La gare de Lyon-Part-Dieu, située dans le quartier de La Part-Dieu, est une gare ferroviaire française de la ville de Lyon, chef-lieu de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), elle accueille les trafics internationaux, nationaux et régionaux et est la première gare européenne par le nombre de voyageurs en correspondance[1] et, en France, la première gare (hors région parisienne) par le nombre annuel de voyageurs.
Situation ferroviaire
[modifier | modifier le code]La gare de Lyon-Part-Dieu est située au point kilométrique (PK) 5,010[2] de la ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière), entre les gares ouvertes de Lyon-Perrache et de Crépieux-la-Pape, et au PK 507,505[2] de la ligne de Collonges - Fontaines à Lyon-Guillotière, à 177 m d'altitude. C'est un élément essentiel du nœud ferroviaire lyonnais.
Avant la mise en service le de la gare de Lyon-Part-Dieu, le TGV reliait Paris-Gare-de-Lyon aux gares de Lyon-Brotteaux et de Lyon-Perrache.
Présentation
[modifier | modifier le code]Construite à l'emplacement d'une première gare aux marchandises du même nom[3], la gare de la Part-Dieu remplace la gare de Lyon-Brotteaux (située à 700 mètres au nord sur les mêmes lignes), qui a été fermée en 1983. Son utilisation permet de pallier les carences que connaît la gare de Lyon-Perrache. Cette dernière, du fait de sa localisation, est limitée dans sa croissance[4]. La gare de Lyon-Part-Dieu accueillera les TGV en provenance de Paris.
Conçue par les architectes Eugène Gachon et Jean-Louis Girodet[5], elle a été mise en service le dans le cadre d'une opération d'aménagement urbain qui a vu la création d'un second centre-ville de Lyon et l'un des plus grands centres commerciaux de France, le centre commercial de La Part-Dieu situé juste en face de la gare sur le boulevard Vivier-Merle, un important centre administratif et un centre d'affaires dominés par « le crayon » (Tour Part-Dieu). Ces centres d'intérêt ont conduit les TCL à en faire le premier pôle de correspondance de Lyon[6] : 17 lignes traversent ou prennent leur départ à Gare Part-Dieu - Vivier Merle ou Gare Part-Dieu - Villette.
Lyon comporte cinq autres gares : Lyon-Perrache, Lyon-Vaise, Lyon-Saint-Paul, Lyon-Jean-Macé et Lyon-Gorge-de-Loup. Une sixième gare, Lyon-Croix-Rousse est fermée depuis 1953 aux voyageurs. On peut ajouter à cela d'autres gares situées en banlieue comme celles de Vénissieux, d'Oullins ou de Lyon-Saint-Exupéry TGV.
Historique
[modifier | modifier le code]- Le , ouverture de la gare aux marchandises par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. À cela s'ajoute une gare de triage servant notamment au transport des cavaliers des casernes militaires proches[7].
- Le , ouverture d'un raccordement vers le réseau du chemin de fer de l'Est de Lyon.
- Le , dernier jour de fonctionnement de l'ancienne gare de Lyon-Brotteaux.
- Le , mise en service de la nouvelle gare de Lyon-Part-Dieu.
- Le , inauguration de la gare de Lyon-Part-Dieu par le président de la SNCF André Chadeau[8].
- Le , inauguration de l'électrification en courant 25 kV 50 Hz de la ligne Lyon - Grenoble.
- En 1983, des turbotrains RTG viennent renforcer les turbotrains ETG sur Grenoble - Lyon-Part-Dieu.
- En 1993, dernière circulation des turbotrains ETG et RTG sur Grenoble - Lyon-Part-Dieu.
- Le , mise en service de la section de Saint-Quentin-Fallavier à Saint-Marcel-lès-Valence de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Sud-Rhône-Alpes.
- Le , dernière circulation d'un turbotrain RTG entre Lyon-Perrache et Strasbourg via Lyon-Part-Dieu, Bourg-en-Bresse et Besançon.
- En 2001, mise en service d'un nouveau quai offrant 2 voies supplémentaires en gare de Lyon-Part-Dieu.
- Le , la locomotive diesel CC 72059 tracte le train 4490/1 « Le Ventadour » Bordeaux - Grenoble via Clermont-Ferrand et Lyon-Part-Dieu.
- Le , mise en place de l'horaire cadencé sur l'étoile de Lyon par la Région Rhône-Alpes. Création de trains directs Dijon - Lyon - Grenoble (par diamétralisation de trains Dijon - Lyon et Lyon - Grenoble, laquelle s'est rapidement révélée un échec) et Ambérieu - Lyon - Saint-Étienne - Firminy (par diamétralisation de trains Ambérieu - Lyon et Lyon - Firminy) permettant de réduire l'occupation des quais en gare de la Part-Dieu. Mise en service d'autorails X-TER de la série X 72500 sur Lyon - Bordeaux via Montluçon, Guéret et Limoges.
- Le , renforcement des dessertes Lyon - Avignon et Lyon - Bourg-en-Bresse.
- Le , inauguration de la gare de Lyon-Jean-Macé, offrant un accès au métro B et au tramway T2, soulageant ainsi Lyon Part-Dieu et Lyon-Perrache.
- Le , c'est la fermeture du PRS (poste d'aiguillage mécanisé) de Part-Dieu à 19 h. La fin d'une aventure qui a commencé il y a 30 ans avec l'ouverture de la gare.
- Le à 15 h, le trafic ferroviaire reprend après une interruption de 20 heures pour mettre en place le nouveau système de commande de l'aiguillage, commandé via la commande centralisée du réseau (CCR) située dans le 7e arrondissement de Lyon.
- Fin 2011, mise en service d'un nouveau quai avec une nouvelle voie, la voie K, permettant des liaisons sans arrêt, dites « bolides », vers Saint-Étienne-Châteaucreux, prolongées la plupart du temps jusqu'au Puy-en-Velay.
- En , lancement d'une concertation concernant la création d'une nouvelle voie[9].
- Le , après fermeture de la gare pendant 24 h, une nouvelle voie L est mise en service afin d'augmenter la capacité d'accueil de la gare et la régularité des trains[10].
- Le , inauguration du hall 2 dénommé galerie Pompidou. Cet espace permet de désengorger le hall historique de la gare avec la mise à disposition d'accès supplémentaires aux quais pour les voyageurs[11].
- Le , inauguration de la galerie Béraudier.
Desserte
[modifier | modifier le code]La gare de Lyon-Part-Dieu est l'une des premières gares de correspondance de la SNCF aux niveaux international, national et régional. Elle est desservie par de nombreux TGV, des Intercités et des TER Auvergne-Rhône-Alpes. Les trois relations régionales qui ont le plus de trafic sont Lyon – Grenoble, Lyon – Valence et Lyon – Saint-Étienne[réf. souhaitée].
Depuis la mise en service de la LGV Rhin-Rhône, le , des TGV relient directement Lyon-Part-Dieu à l'Allemagne, via Strasbourg, pour Baden-Baden, Karlsruhe, Mannheim et Francfort-sur-le-Main. Depuis le , des AVE reliaient directement Lyon Part-Dieu à Barcelone, mais ils ont été supprimés en en raison de la dissolution de Renfe-SNCF en Coopération[12] ; cette liaison est relancée en par la Renfe, dans le cadre de l'ouverture à la concurrence[13]. Enfin, depuis le , un aller-retour quotidien était assuré en TGV entre Lyon-Part-Dieu et Milan via Turin ; ce dernier est concurrencé par une liaison Frecciarossa lancée par Trenitalia France le [14],[15], qui est désormais la seule effectuant le trajet entre Lyon-Part-Dieu et Milan.
Depuis le , elle reçoit également les trains Ouigo à bas coûts assurant la liaison entre Marne-la-Vallée-Chessy et Lyon-Part-Dieu[16].
Par ailleurs, la gare était desservie par la liaison régulière Eurostar Londres – Lyon – Avignon – Marseille depuis le , mais elle a été interrompue en 2020[17].
Dessertes internationales
[modifier | modifier le code]- Genève (par TER ou, en été, par TGV Lyria).
- Lausanne (en été, par TGV Lyria).
- Bruxelles, Francfort-sur-le-Main et Luxembourg (par TGV).
- Bardonnèche, Turin et Milan (par Frecciarossa).
- Figueras, Gérone et Barcelone (par AVE).
Dessertes nationales
[modifier | modifier le code]- Paris-Gare-de-Lyon (par TGV ou Frecciarossa).
- Le Creusot TGV, Mâcon-Loché-TGV (par TGV).
- Marne-la-Vallée - Chessy, Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV, TGV Haute-Picardie, Arras, Douai, Lille-Europe, Lille-Flandres (par TGV).
- Villefranche-sur-Saône, Mâcon-Ville, Chalon-sur-Saône, Beaune, Dijon-Ville, Les Laumes - Alésia, Tonnerre, Laroche - Migennes, Sens, Paris-Bercy (par TER).
- Valence TGV, Avignon TGV, Aix-en-Provence TGV, Marseille-Saint-Charles, Toulon, Les Arcs-Draguignan, Saint-Raphaël-Valescure, Cannes, Antibes, Nice-Ville (par TGV).
- Vienne, Saint-Clair - Les Roches, Le Péage-de-Roussillon, Saint-Rambert-d'Albon, Saint-Vallier-sur-Rhône, Tain-l'Hermitage - Tournon, Valence-Ville, Montélimar, Pierrelatte, Bollène-La Croisière, Orange, Avignon-Centre, Arles, Miramas, Vitrolles-Aéroport-Marseille-Provence, Marseille-Saint-Charles (par TER).
- Valence TGV, Nîmes, Montpellier-Saint-Roch, Béziers, Narbonne, Perpignan (par TGV ou AVE).
- Nîmes-Pont-du-Gard, Montpellier-Sud-de-France, Sète, Agde (par TGV).
- Carcassonne, Toulouse-Matabiau (par TGV).
- Mâcon-Ville, Chalon-sur-Saône, Dijon-Ville, Besançon Franche-Comté TGV, Belfort - Montbéliard TGV, Mulhouse, Colmar, Strasbourg, Nancy-Ville, Metz-Ville, Thionville (par TGV).
- Le Mans, Laval, Rennes (par TGV).
- Massy TGV, Saint-Pierre-des-Corps, Saumur, Angers-Saint-Laud, Nantes (par TGV).
- Massy - Palaiseau, Versailles-Chantiers, Mantes-la-Jolie, Rouen-Rive-Droite, Le Havre (par TGV).
- Roanne, Saint-Germain-des-Fossés, Moulins-sur-Allier, Nevers, Bourges, Vierzon-Ville, Saint-Pierre-des-Corps, Saumur, Angers-Saint-Laud, Nantes (par Intercités).
Dessertes régionales
[modifier | modifier le code]- Roanne, Saint-Germain-des-Fossés, Vichy, Riom - Châtel-Guyon, Clermont-Ferrand.
- Givors-Ville, Rive-de-Gier, Saint-Chamond, Saint-Étienne-Châteaucreux.
- La Verpillière, Bourgoin-Jallieu, La-Tour-du-Pin, Voiron, Grenoble (dont trains sans arrêt jusqu'à Grenoble).
- Bourg-en-Bresse, Brion - Montréal-la-Cluse, Oyonnax.
- Bourg-en-Bresse, Lons-le-Saunier, Besançon-Viotte, Montbéliard, Belfort.
- Ambérieu-en-Bugey, Culoz, Bellegarde, Genève-Cornavin.
- Ambérieu-en-Bugey, Culoz, Aix-les-Bains-Le Revard, Chambéry, Montmélian, Saint-Pierre-d'Albigny, Albertville, Moûtiers-Salins-Brides-les-Bains, Bourg-Saint-Maurice.
- Ambérieu-en-Bugey, Culoz, Bellegarde, Annemasse, La Roche-sur-Foron, Bonneville, Cluses, Sallanches - Combloux - Megève, Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet (liaison directe uniquement les samedis d'hiver)[18].
- Ambérieu-en-Bugey, Culoz, Aix-les-Bains-Le Revard, Chambéry, Saint-Jean-de-Maurienne et Modane.
- Lozanne, Tarare, Roanne.
- Saint-Germain-au-Mont-d'Or, Villefranche-sur-Saône, Mâcon-Ville, Tournus, Chalon-sur-Saône, Chagny, Beaune, Dijon-Ville.
- Lamure-sur-Azergues, Chauffailles, La Clayette - Baudemont, Paray-le-Monial, Moulins, Nevers, Bourges, Tours.
Fréquentation
[modifier | modifier le code]Son fonctionnement dépassant fortement les prévisions de fréquentation initiales, aussi bien en passage qu'en destination de voyage, de 35 000 personnes en 1983 à une réalité de 80 000 personnes sur 500 trains en 2001, la gare a été restructurée de 1995 à 2001 en augmentant le nombre des quais et en révisant sa desserte depuis l'extérieur. Aux abords, le centre d'affaires se développe dans l'axe nord-sud aussi sur ce qui fut anciennement l'arrière des voies des gares des Brotteaux - gare de l'Est remplacée : cette vaste zone est en constant aménagement habitat et tertiaire depuis 1970 et lie désormais encore plus fortement Villeurbanne et Lyon économiquement et urbainement. La gare est autant une rue piétonne inter-quartiers qu'un centre sécurisé de transit.
Construite selon une architecture peu commune pour les gares françaises, la gare de Lyon-Part-Dieu se compose de deux niveaux : une halle au niveau du rez-de-chaussée fait office de bâtiment voyageurs (« BV ») où sont situés les points de vente des commerces alors que les quais, auxquels on accède par des escalators, sont situés au niveau supérieur.
De 2015 à 2023, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare s'élève aux nombres indiqués dans le tableau ci-dessous[19].
Année | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 | 2021 | 2022 | 2023 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voyageurs | 32 411 748 | 32 525 629 | 34 874 317 | 32 555 240 | 32 587 523 | 19 541 666 | 26 187 679 | 36 558 465 | 40 088 689 |
Voyageurs et non voyageurs | 43 215 664 | 43 367 505 | 46 499 090 | 43 406 987 | 43 450 031 | 26 055 555 | 34 916 905 | 48 744 620 | 53 451 586 |
Plan de voies
[modifier | modifier le code]Projets
[modifier | modifier le code]Plusieurs projets avaient été à l'étude pour faire face à la saturation de la gare. Trois projets ont particulièrement retenu l'attention[20] :
- la création d'un tunnel sous Lyon pour les TGV ;
- une gare souterraine ;
- une déviation d'une partie des TGV vers la gare de Lyon-Saint-Exupéry TGV.
L'ancien président de la Métropole de Lyon, Gérard Collomb, qui plaidait en faveur d'un enfouissement[21] s'est opposé à ce titre à ce que les terrains situés le long du boulevard Stalingrad soient dédiés à l'agrandissement de la Part-Dieu. D'autre part, ces solutions sont très coûteuses et difficilement réalisables compte tenu du sous-sol qui imposerait un tunnel et une gare à 25 m de profondeur.
Réaménagement du quartier de la Part-Dieu
[modifier | modifier le code]Finalement, le quartier de la Part-Dieu et sa gare vont être réaménagés avant 2030 sans gare souterraine : nouveaux accès à la gare depuis la rue Pompidou au Sud, création de places basses plus accueillantes et fonctionnelles, réaménagement des commerces de la gare[22].
Réaménagement des voies
[modifier | modifier le code]La commission nationale du débat public a décidé, le , que le projet relatif aux aménagements de long terme du nœud ferroviaire lyonnais ferait l'objet d'un débat public dont l'animation sera confiée à une commission particulière[23]. Le projet visé consiste en l'ajout de deux nouvelles voies entre Saint-Clair et Guillotière sur environ 10 km, l'extension de la gare de la Part-Dieu, le passage à quatre voies en surface de la ligne de Lyon à Grenoble sur la section comprise entre la gare de Saint-Fons et la bifurcation avec la LGV Rhône-Alpes, située sur le territoire de la commune de Grenay.
Dans la culture
[modifier | modifier le code]- Le personnage principal du roman Extension du domaine de la lutte (1994) de Michel Houellebecq décide de se rendre à Saint-Cirgues-en-Montagne. Il se porte malade, prend le train pour Lyon en pleine grève des transports en commun, mais reste bloqué à la gare routière de Lyon-Part-Dieu. Après une nuit parmi les marginaux, il reprend le TGV pour Paris le lendemain.
- La gare ferroviaire est le lieu de l'action du film Tout va bien, on s'en va de Claude Mouriéras, sorti en 2000. Vers la fin du film, à la 89e minute, sur un quai de la gare, une scène d'au revoir met en scène Natacha Régnier qui quitte Sandrine Kiberlain et Miou-Miou pour Toulouse. Le générique se déroule pendant le départ de cette gare d'un TGV Duplex.
Hommage
[modifier | modifier le code]Une plaque commémorative est visible à l'entrée de la gare de Lyon-Part-Dieu, côté Vivier-Merle. Elle rend hommage à Charles Béraudier (1920-1988), homme politique lyonnais et résistant. Elle rappelle que le parvis de la gare, côté Vivier-Merle, est aussi au nom de Charles Béraudier.
Dépôts lyonnais
[modifier | modifier le code]Il existe plusieurs dépôts et ateliers de matériels roulants à Lyon, notamment le récent Technicentre TGV de Croix-Barret situé dans le quartier de Gerland dans le 7e arrondissement, les dépôts de Scaronne, La Mouche, Vénissieux et Lyon-Vaise.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Une 11e voie à Lyon Part-Dieu », sur sncf.com via web.archive.org, (consulté le ).
- Livre : Nouvelle géographie ferroviaire de la France, par Gérard Blier, tome 2, page 200.
- « [Élagage des platanes devant l'ancienne gare de Lyon… », sur bm-lyon.fr (consulté le ).
- « La gare de la Part-Dieu sera-t-elle inscrite dans le Ve Plan ? », Le Progrès, , p. 5.
- « Gare de Lyon Part-Dieu », sur pss-archi.eu (consulté le ) : « En 1979, la ZAC Gare Lyon-Part-Dieu est créée. […] Les architectes en chef de la ZAC […] de concert avec les architectes de la SNCF, Eugène Gachon et Jean-Louis Girodet, élaborent le programme. ».
- http://www.sytral.fr/include/viewFile.php?idtf=3345&path=1d%2F3345_265_depliant_metroB.pdf
- Nadja Pobel, « Des gares en transformation: La gare Part-Dieu s'agrandit », Supplément Culture & Patrimoine, 12/04-25/4/2017.
- « 50 ans de projets urbains - Album vidéo Lyon Part-Dieu », sur Album vidéo Lyon Part-Dieu (consulté le ).
- « Réaménagement de la gare de la Part-Dieu: avant tout on se concerte », Le Progrès, , p. 18.
- Jean-Christophe Adde, « Fermeture de la gare de Lyon Part Dieu », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
- « Lyon : inauguration d'une nouvelle galerie à la gare Part-Dieu », sur lyonmag.com, (consulté le ).
- Sebastià Vilanou i Poncet, « Perpignan : la SNCF met fin aux lignes directes vers Madrid et Marseille », sur lasemaineduroussillon.com, (consulté le ) ; cette page est une archive.
- Léa Wolber, « Marseille-Madrid en TGV : 5 choses à savoir sur les nouvelles lignes espagnoles de la Renfe qui vont concurrencer la SNCF », sur france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur, (consulté le ).
- Jean-Marc De Jaeger, « Trenitalia lance son Paris-Lyon : confort, prix… Ce qui attend les voyageurs », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- Émilie Rosso, « LYON : la "flèche rouge" italienne entre en gare et concurrence les TGV de la SNCF », sur france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes, (consulté le ).
- « Le premier TGV low cost Ouigo sur les rails mardi matin à Lyon Perrache », sur LYON mag.com, (consulté le ).
- « TRANSPORTS : PLUS D'EUROSTAR ENTRE LONDRES, LYON ET MARSEILLE ! », sur radioscoop.com, (consulté le ).
- « Trains directs au départ de Lyon, consultez l'étude et les cartes », sur Trains directs (consulté le ).
- « Fréquentation en gares : Lyon Part-Dieu », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
- Projet : la Part-Dieu face à son avenir, article du 25 mai 2009, sur archive.wikiwix.com, consulté le 3 juin 2016.
- Lyon Pôle Immo: Collomb a « une grande ambition » pour Lyon Part-Dieu
- Françoise Sigot, « Lyon, le quartier de la Part-Dieu se réinvente », Traits Urbains, no 72, , p. 38-40.
- Décision n° 2018/76/nœud ferroviaire lyonnais long terme/1 du 3 octobre 2018 relative aux projets des aménagements de long terme du nœud ferroviaire lyonnais, publiée au Journal Officiel du , sur legifrance.gouv.fr, consulté le .
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean Avenas, « La nouvelle gare de Lyon-Part-Dieu », dans la revue La Vie du Rail, 1983.
- Indicateurs horaires de la SNCF, de 1938 à 2005.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Gare de Lyon-Perrache
- Multitud' (itinéraires multimodaux en Rhône-Alpes)
- Liste de gares en France
- Liste des gares desservies par TGV
- Liste des gares françaises accueillant plus d'un million de voyageurs par an
- Liste des gares d'Auvergne-Rhône-Alpes
- Ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière)
- Ligne de Collonges - Fontaines à Lyon-Guillotière
Liens externes
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- Site officiel
- Ressource relative au transport :
- Ressource relative à l'architecture :
- La gare de Lyon-Part-Dieu, sur le site officiel SNCF / TER Auvergne-Rhône-Alpes