Isles-lès-Villenoy — Wikipédia
Isles-lès-Villenoy | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Meaux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Meaux | ||||
Maire Mandat | Frederic Hervier 2020-2026 | ||||
Code postal | 77450 | ||||
Code commune | 77232 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Insuvillais | ||||
Population municipale | 1 140 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 164 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 54′ 40″ nord, 2° 49′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 55 m | ||||
Superficie | 6,97 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Bailly-Romainvilliers (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Claye-Souilly | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte : Île-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | www.isleslesvillenoy.fr [1] | ||||
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Isles-lès-Villenoy est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Isles-lès-Villenoy est située à environ 8 km au sud-ouest de Meaux[Carte 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :
- la rivière la Marne, longue de 514,26 km[2], principal affluent de la Seine, en bordure sud de la commune, ainsi que :
- un bras de 0,50 km[3] ;
- le canal de l'Ourcq ;
- un bras du Grand Morin 2,29 km[4] ;
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,62 km[5].
Le ru du Val, 1,46 km[6],[Note 1], conflue avec la Marne[Note 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 716 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Changis-sur-Marne à 15 km à vol d'oiseau[9], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[14],[Carte 2] :
- les « Boucles de la Marne », d'une superficie de 2 641 ha, un lieu refuge pour une population d’Œdicnèmes criards d’importance régionale qui subsiste malgré la détérioration des milieux[15],[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal d'Isles-lès-Villenoy comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[17],[Carte 3], le « plan d'eau d'Isles-les-Villenoy » (156,87 ha), couvrant 3 communes du département[18] , et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[17], la « vallée de la Marne de Coupvray à Pomponne » (3 619,57 ha), couvrant 17 communes du département[19].
- Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Isles-lès-Villenoy est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bailly-Romainvilliers[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant quatorze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[21],[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[22]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte 31 lieux-dits administratifs[Note 8] répertoriés consultables ici[25] (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (31,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,6% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (13,2% ), zones urbanisées (10,7% ), eaux continentales[Note 9] (9,7% ), mines, décharges et chantiers (7,7% ), forêts (5,6% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,3% ), zones agricoles hétérogènes (4,2 %)[26].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
[modifier | modifier le code]La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 6].
Logement
[modifier | modifier le code]En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 346 dont 94,2 % de maisons et 5,8 % d’appartements.
Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 85,4 % contre 12 % de locataires et 2,6 % logés gratuitement[30],[Note 10].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]Transports
[modifier | modifier le code]- La gare SNCF la plus proche est la Gare d'Esbly, située à environ 3 kilomètres, (5 minutes). Elle est desservie par les trains de la ligne P du Transilien.
- La commune est desservie par la ligne L du réseau de bus Meaux et Ourcq.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes Insula juxta Triam Bardoli en 1250[31] ; Villa quam Insulas appellant en 1250[32] ; Insula juxta Villanolium en 1353[33] ; Insula juxta Germiniacum[34] et Insule juxta Veneliacum au XIIIe siècle[35] ; Ysles lez Villeneil en 1394[36] ; Isles lez Villenoy en 1444[37] ; Les Ysles en 1511[38].
« Isles lès Villenoy » signifie « île près de la ville nouvelle » en vieux français[Note 11]. « On la nomme Isle à cause qu'elle est entourée de rivières », lit-on déjà en 1644 dans le "traité historique des rivières de France" de Louis Coulon. Les bacs d'Isles-lès-Villenoy et de Précy, sur la rive droite de la Marne, étaient considérés, au XVIIIe siècle, comme « ouvrant la France à ceux qui venaient de Brie »[39]. Il y avait un gué où des monnaies anciennes ont été trouvées[40]. C’est en 1839, avec la construction d’un pont à péage sur la Marne, que le village prend une certaine importance, devenant un point de passage.
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Le le préfet de Seine-et-Marne a autorisé l'exploitation d'une décharge de déchets de chantiers à l'entrée du village pour une durée de 11 ans et un stockage de 1 031 000 de tonnes de gravats[42].
Équipements et services
[modifier | modifier le code]Eau et assainissement
[modifier | modifier le code]L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [43],[44].
Assainissement des eaux usées
[modifier | modifier le code]En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Isles-lès-Villenoy est assurée par Val d'Europe Agglomération (CAVEA) pour la collecte, le transport et la dépollution[45],[46],[47].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[48]. La communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[45],[49].
Eau potable
[modifier | modifier le code]En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [45],[50],[51].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[52].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Insuvillais[53].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].
En 2021, la commune comptait 1 140 habitants[Note 12], en évolution de +24,59 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement - Enfance- Jeunesse
[modifier | modifier le code]Isles-lès-Villenoy dispose d’une école primaire “Chevance”, située 12 rue de la Garenne (Antoine Paul Isidore CHEVANCE était l'instituteur de l'école de 1791 à 1804). Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée) : 0770523A, comprend 6 classes (155 élèves) (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[58].
Il dispose d’un restaurant scolaire.
La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Isles-lès-Villenoy est en zone C.
Isles-lès-Villenoy dispose également :
- d'un centre de loisir sans hébergement (CLSH) - les ouistitis - ;
- d'une crèche - L'ISLES aux enfants -.
Sports
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'un terrain de football et d'un city park.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 363, représentant 1 029 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 660 euros[59].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 210, occupant 518 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,1 % contre un taux de chômage de 7,4 %.
Les 19,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,5 % de retraités ou préretraités et 6 % pour les autres inactifs[60].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 67 dont 6 dans l’industrie, 10 dans la construction, 44 dans le commerce-transports-services divers et 7 étaient relatifs au secteur administratif[61].
Ces établissements ont pourvu 214 postes salariés.
La commune bénéficie de l'activité économique de la commune voisine Esbly. Isles-lès-Villenoy est ainsi à proximité de plusieurs hypermarchés et commerces alimentaires comme Carrefour ou Casino. La commune dispose elle-même de commerces de proximité. De par sa proximité avec Meaux, Esbly, etc. et la gare SNCF, Isles-lès-Villenoy a vu s'implanter diverses activités comme des hôtels à savoir l'hôtel Formule 1 et l'hôtel Balladins. D'autres commerces de différents secteurs se sont aussi installés comme la jardinerie Villaverde et le mandataire automobile Qarson situés tous deux dans le parc d'activités Pierre-de-Tourneville.
Secteurs d'activité
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Isles-lès-Villenoy est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 7]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 13] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[62].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[63]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 43 ha en 1988 à 285 ha en 2010[62]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Isles-lès-Villenoy, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[62],[Note 14] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 2 | 2 | 1 |
Travail (UTA) | 2 | 4 | 3 |
Surface agricole utilisée (ha) | 86 | 209 | 285 |
Cultures[64] | |||
Terres labourables (ha) | s | s | s |
Céréales (ha) | s | s | s |
dont blé tendre (ha) | s | s | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | s | s | s |
Tournesol (ha) | 0 | ||
Colza et navette (ha) | s | s | s |
Élevage[62] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 15]) | 0 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église placée sous le vocable de Saint-Maurice, XVe siècle.
- Son clocher a été déplacé et reconstruit en 1738
- La mairie, ancienne mairie-école construite en 1868.
- Les berges du canal de l'Ourcq
- La rivière la Marne
- Le pont d'Esbly sur la Marne dit « pont de la Libération », XXe siècle, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques[65].
- C'est l'un des cinq ponts en béton précontraint sur la Marne conçus par Eugène Freyssinet et construits par Campenon-Bernard à partir 1947.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre-Louis Barbou, curé et député aux États généraux de 1789.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la ville se blasonnent ainsi : De gueules au cavalier tenant une oriflamme, le tout d’or posé sur deux monticules du même mouvant d’une mer ondée d’azur. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Isles-lès-Villenoy », p. 777–778
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Isles-lès-Villenoy sur le site web de la CA du pays de Meaux
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Nature en attente de mise à jour, consulté le 2 décembre 2020.
- Le point de confluence donné par Sandre (2.8471- 48.9088) est situé sur la Marne, limite administrative entre Isles-lès-Villenoy et Mareuil-lès-Meaux Le point terrestre où le ru du Val rejoint la Marne est sur la commune de Mareuil-lès-Meaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bailly-Romainvilliers comprend cinq villes-centres (Bailly-Romainvilliers, Crécy-la-Chapelle, Esbly, Magny-le-Hongre, Quincy-Voisins) et neuf communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Isles-lès-Villenoy, » sur Géoportail (consulté le 6 avril 2020)..
- « Sites Natura2000 d'Isles-lès-Villenoy » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
- « Zones ZNIEFF d'Isles-lès-Villenoy » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
- « Isles-lès-Villenoy - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Plan séisme consulté le 6 avril 2020 ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marne (F---0100) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Marne (F6605001) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Grand Morin (F6--3201) ».
- 77232 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 17 février 2019
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Val (F6436000) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Isles-lès-Villenoy et Changis-sur-Marne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Changis » (commune de Changis-sur-Marne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Changis » (commune de Changis-sur-Marne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Isles-lès-Villenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Boucles de la Marne - ZPS - FR1112003 », sur driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, 12 septembre 2019, modifié (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR1112003 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Isles-lès-Villenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Rôles des fiefs, 517.
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