La Verrière — Wikipédia
La Verrière | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | Saint-Quentin-en-Yvelines | ||||
Maire Mandat | Nicolas Dainville 2020-2026 | ||||
Code postal | 78320 | ||||
Code commune | 78644 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Verriérois | ||||
Population municipale | 6 183 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 3 493 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 45′ 20″ nord, 1° 57′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 166 m Max. 175 m | ||||
Superficie | 1,77 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Trappes | ||||
Législatives | Onzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Yvelines Géolocalisation sur la carte : Île-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.ville-laverriere.com/ | ||||
modifier |
La Verrière est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]La commune de La Verrière se trouve à 26 km au sud ouest de Paris. La Verrière est située à une altitude moyenne d'environ 171 mètres.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes en sont Élancourt au nord-est, Le Mesnil-Saint-Denis au sud-est, Coignières à l'ouest et Maurepas au nord-ouest.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Organisation urbaine
[modifier | modifier le code]La commune est composée de trois parties relativement distinctes : au sud, à proximité du Mesnil-Saint-Denis, un quartier pavillonnaire dont la majeure partie des habitations a été construite entre les années 1930 à 1960 ; au nord-est, également des pavillons enserrant les bâtiments administratifs (hôtel de ville, police municipale, caisse d'assurance maladie, chapelle, centre de loisirs) avec, à l'extrême est, le quartier du Bois de l'Étang composé de HLM des années 1970 et où se trouve le cimetière ; enfin, à l'ouest, séparée du village par le parc du château devenu l'institut Marcel-Rivière, une zone d'activité appelée Orly-Parc, en bordure de la route nationale 10.
Transports et voies de communications
[modifier | modifier le code]Réseau routier
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est bordé au nord par la route nationale 10 (Paris - Espagne) et à l'est par la route départementale 58 qui mène, vers le nord, à Élancourt et, vers le sud, au Mesnil-Saint-Denis et à Dampierre-en-Yvelines. La route départementale 13 traverse la partie ouest de la commune menant, vers le nord puis le nord-ouest, à Montfort-l'Amaury et, vers le sud, également au Mesnil-Saint-Denis puis à Chevreuse.
Desserte ferroviaire
[modifier | modifier le code]La commune possède sa propre gare nommée La Verrière.
La gare est desservie par la ligne N Rambouillet - Paris Montparnasse et par la ligne U La Verrière - La Défense.
Bus
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les lignes 402, 410, 411, 412, 415, 416, 417, 431 et 448 du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines, par la ligne 61 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines et, la nuit, par la ligne N145 du réseau Noctilien.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 669 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 1,8 | 3,9 | 6 | 9,4 | 12,5 | 14,4 | 14,2 | 11,3 | 8,5 | 4,8 | 2,4 | 7,6 |
Température moyenne (°C) | 4,3 | 4,9 | 7,9 | 10,7 | 14,1 | 17,3 | 19,5 | 19,4 | 16 | 12,2 | 7,6 | 4,8 | 11,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,8 | 8 | 11,9 | 15,4 | 18,8 | 22,1 | 24,6 | 24,6 | 20,7 | 15,8 | 10,4 | 7,2 | 15,5 |
Record de froid (°C) date du record | −15,8 17.01.1985 | −15,6 13.02.1929 | −10,5 07.03.1971 | −4,1 12.04.1986 | −1,2 07.05.1957 | 0,1 01.06.1936 | 2 09.07.1929 | 4 31.08.1928 | −0,5 20.09.1952 | −5,2 28.10.1931 | −8,9 24.11.1998 | −14,3 22.12.1946 | −15,8 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record | 16 05.01.1999 | 20,3 27.02.19 | 24,7 31.03.21 | 28 18.04.1949 | 30,9 27.05.05 | 36 18.06.22 | 40,6 25.07.19 | 39,1 06.08.03 | 34,6 09.09.23 | 29 01.10.1985 | 21 03.11.1927 | 16,8 07.12.00 | 40,6 2019 |
Ensoleillement (h) | 57 | 806 | 1 337 | 1 758 | 2 017 | 2 096 | 2 223 | 2 163 | 1 769 | 1 168 | 676 | 553 | 17 138 |
Précipitations (mm) | 56,2 | 49,9 | 50,1 | 49,9 | 66 | 57 | 56,3 | 56,1 | 49,8 | 61,8 | 61,2 | 72 | 686,3 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Verrière est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Évolutions au XXe siècle
[modifier | modifier le code]Années 1960
[modifier | modifier le code]Le quartier de la gare
[modifier | modifier le code]Les HLM constituant le quartier de la gare sont construits entre 1961[12] et 1963[13]. Le centre commercial en forme de fer à cheval est livré en 1964.
Les travaux de l'extension de l'institut Marcel Rivière s'opèrent à compter de 1963.
En 1965, le quartier de la gare et l'Institut sont terminés[14].
Orly-Parc
[modifier | modifier le code]Le chantier de construction du quartier qui allait devenir "Orly-Parc" débute en 1967[15] ; y sont réalisés simultanément la première tranche cité HLM ainsi que le futur internat "École Régionale du Premier Degré" (élèves du Cours Préparatoire à la 3e)
Ladite tranche de la cité HLM concerne la Rue Georges Lapière ainsi que les rues adjacentes.
Au premier semestre de 1968, les travaux sont bien avancés, le gros œuvre de l'ensemble des bâtiments est terminé et l'ensemble des rues, encore non-revêtues d'enrobé, sont tracées[16].
Le quartier est livré en 1969[17].
Années 1970
[modifier | modifier le code]L'Agiot
[modifier | modifier le code]L'entreprise SOFICA, membre du groupe Ferodo, s'installe en 1971[18] au nord de la voie de chemin de fer dans le quartier de l'Agiot[19].
La SOFICA est actuellement connue comme le centre de recherche mondial des essuies-glaces de l'équipementier automobile Valéo.
Bois de l'étang
[modifier | modifier le code]1972 est l'année de de construction de la cité du Bois de l'étang. L'immeuble abritant les escaliers H3 à H6 est le premier sorti de terre.
Un immeuble en tripale est construit au croisement de l'Avenue des Noës et la rue du Bois[20]. Cet immeuble a été détruit en 2007-2008[21] et remplacé par plusieurs bâtiments dont le Foyer Adoma ainsi que le gymnase.
En moins d'un an le quartier est sorti de terre ex nihilo[22].
À l'origine, les logements sont destinés aux ouvriers de la régie Renault de l'usine de Billancourt[23]. Une ligne de cars dédiés sera opérée jusqu'au début des années 1990. Dès le début des années 1980, la cité HLM voit sa population évoluer : les ouvriers français et européens quittent leurs locations d'appartements au profit de l'acquisition de pavillons. Ils majoritairement sont remplacés par des populations issues des ex-colonies françaises d'Afrique en moins d'une décennie. Les chocs pétroliers ainsi qu'une baisse de la croissance de productivité entrainent alors une crise économique en France et le chômage de masse, facteur de paupérisation des habitants et d'ethnicisation des dites populations habitant dans ces quartiers[24].
Dans la continuité de l'opération de démolition de 2008, le quartier devrait connaître une nouvelle opération de réhabilitation et de destruction de certains immeubles[25],[26],[27].
Résidence Denis Forestier (MGEN)
[modifier | modifier le code]La résidence Denis Forestier, située Avenue de Montfort est construite en 1975[28]. Elle sera détruite à compter de 2021.
Gare
[modifier | modifier le code]Le nouveau bâtiment voyageur est inauguré en 1977[29].
À noter qu'à l'époque, il existe toujours un passage à niveau et un garde-barrière au croisement entre l'Avenue de Montfort et la ligne de Paris à Brest.
Il faut attendre 1981 pour que la création du sous-terrain[29].
Saint-Quentin-en-Yvelines
[modifier | modifier le code]Dès 1972, la commune fait partie de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines[30],[31]. Le , le comité syndical de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines vote sa transformation en communauté d'agglomération qui prend effet le .
La ville respecte la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains. En 2018, La Verrière compte 72 % de logements sociaux[32].
En , un article du Journal du dimanche fait état d'un quartier de la commune où les salafistes ont instauré une police des mœurs[33].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La mention la plus ancienne de la commune est Vuatreias ou Watreias[34] en 768, elle se transforma au Moyen Âge en Vitrerias, La Voirrerie en 1750[35].
Il est possible que La Verrière occupe la place du village désigné sous le nom de Watreias, faisant partie du premier canton de la forêt d'Yveline qui fut donné par le roi Pépin, en 768, à l'abbaye de Saint-Denis[36].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Étymologiquement, endroit où on trouve du verre, ce qui laisse supposer l'existence d'une usine où l'on fait le verre[37], rendue plausible par la présence de sable siliceux dans le sol. Il peut s'agir du surnom d'une personne, passé en nom de lieu, « domaine de Verrier »[38].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les terrains sur lesquels est située la commune appartenaient aux seigneurs de La Verrière, également propriétaires d'un château qui date de 1507[39].
La paroisse de la Verrière a été créée en 1739 par la fusion de trois hameaux, La Petite-Verrière, la Grande-Verrière et l'Agiot, détachés la même année de la paroisse du Mesnil-Saint-Denis sur la demande du seigneur de l'époque, Jacques Cordier de Launay, conseiller du Roy et trésorier général de l'extraordinaire des guerres.
Devenue une commune à la Révolution, elle reste durant le XIXe siècle une commune de petite taille, bien que sa situation au bord de la grande route de Paris à Chartres (l'actuelle RN10) incite des migrants à s'y installer. En 1836, le recensement de population dénombre 90 habitants. En 1872, il n'y en a plus que 73, et, en 1901, 80 personnes vivent dans la commune.
Pendant l'entre-deux-guerres, la population commence à augmenter sensiblement (+ 102,53 % entre le recensement de 1926 et celui de 1931, + 175,63 % entre celui de 1931 et celui de 1936), mais la commune ne dépasse pas les 1 000 habitants. C'est surtout dans les années 1960 que la population explose et dépasse la barre des 1 000 habitants au recensement de 1962, celle des 2 000 habitants au recensement suivant (1968) et celle des 6 000 habitants sept ans plus tard.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]La Verrière fait partie de la 11e circonscription des Yvelines. Cette circonscription regroupe en outre les communes de Bois-d'Arcy, Élancourt, Saint-Cyr-l'École et Trappes.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections les plus récentes
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Autres élections
[modifier | modifier le code]Lors de l'élection présidentielle de 2022, les électeurs de la commune se sont exprimés à 72,93 % pour Emmanuel Macron et à 27,07 % pour Marine Le Pen[47].
Aux élections européennes du 9 juin 2024, Manon Aubry (LFI) arrive en tête et en plus forte hausse[48] (22,91% contre 7,10% en 2019)[49],[50], soit un bond de 15 points dépassant largement les 4 points gagnés au niveau national. Dans cette commune, la liste du Rassemblement national de Jordan Bardella arrive deuxième (18,70% contre 15,10% en 2019)[49],[50], devant Valérie Hayer (13,97% contre 6,77% en 2019)[49],[50], la liste de Raphaël Glucksmann (PS-Place publique) finissant 4ème avec 14,67% (contre 25,72% en 2019)[49],[50]. La participation est en hausse, à 48,84% contre 45,50%[49],[50], mais reste inférieure à la moyenne nationale (52,50%). La même évolution se retrouve dans les sept autres villes populaires des Yvelines, à Trappes et à Mantes-la-Jolie, Les Mureaux ou encore à Chanteloup-les-Vignes, Mantes-la-ville, La Verrière et Poissy[48].
Jumelages
[modifier | modifier le code]- Panicale (Italie) ;
- Diabigué (Mali).
- Kobar (Palestine).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].
En 2021, la commune comptait 6 183 habitants[Note 4], en évolution de +2,86 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 300 hommes pour 3 251 femmes, soit un taux de 50,37 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]- École régionale du premier degré[57]
En juin 2023, dans le contexte des violences qui font suite à la mort de Nahel Merzouk, une bande d’individus cagoulés met le feu à une école élémentaire et une maternelle du quartier du Bois-de-l’Etang. Les deux établissements de la commune ne sont plus exploitables, ce qui a pour conséquence de laisser 200 élèves sans classe[58].
Santé
[modifier | modifier le code]Deux établissements de soins sont administrés par la Mutuelle générale de l'Éducation nationale (MGEN) :
- l'institut Marcel-Rivière,
- le centre de gériatrie Denis-Forestier.
La section des Yvelines pour l'accueil et le traitement des dossiers des patients de la MGEN s'y trouve également.
Sports
[modifier | modifier le code]- Club de football de La Verrière FC.
- Tennis club[59].
- Club de boxe anglaise (Boxing de La Verrière), premier club de France de boxe éducative en 2015[60].
- La commune accueille le départ et l'arrivée de la première étape de la course cycliste Paris-Nice 2023.
Économie
[modifier | modifier le code]Plusieurs entreprises, dont une usine Valeo, sont installées dans la zone industrielle de l'Agiot.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]La commune bénéficie :
- d'une salle de 500 places, « le Scarabée », où se produisent des artistes et où lieu aussi des concerts, ainsi que des rencontres avec des artistes[62],
- de la médiathèque Aimé-Césaire[39].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Luc Grzeskowiak, photographe.
- Louis Althusser, philosophe, est mort dans la commune.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de La Verrière, créées par l'historien Victor R. Belot[63], se blasonnent ainsi : écartelé d'azur et de gueules, au premier à trois fleurs de lis d'or, au second à un drapeau écartelé d'argent et de sable à la hampe d'or, au troisième à une coquille d'or, au quatrième à un chevron d'or cantonné en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un mouton d'argent. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Verrière et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Verrière ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- CGT, « Valeo est le premier équipementier français avec 70 000 emplois », tract, (lire en ligne [PDF])
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- associationappuii, « Le Bois de l’Etang (La Verrière – 78) : un projet de rénovation urbaine pour une conservation et une nouvelle transformation », sur APPUII, (consulté le )
- Marie-Christine Jaillet-Roman, « La mixité sociale : une chimère ? Son impact dans les politiques urbaines », Informations Sociales, vol. 2005/3, no 123, , p. 98-105 (lire en ligne )
- « 211018 Dossier concertation prealable »
- « Saint-Quentin-en-Yvelines : un projet de rénovation urbaine controversé au Bois-de-l'Etang », sur Les Echos, (consulté le )
- Par Mathilde Debarre Le 28 mars 2023 à 06h00, « À La Verrière, 70 % de logements sociaux, sortir de la ville HLM prendra du temps », sur leparisien.fr, (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Remonter le temps », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Article 3 - Loi n° 70-610 du 10 juillet 1970 tendant à faciliter la création d'agglomérations nouvelles. - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
- Décret du 11 août 1972 CREATION D'UNE AGGLOMERATION NOUVELLE SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES, JOFR
- Laurent Mansart, « La Verrière : le projet de 1 000 nouveaux logements relancé », leparisien.fr, 14 mars 2018.
- Pascal Ceaux, « Islam : le salafisme sous haute surveillance », lejdd.fr, 13 mai 2018.
- Auguste Moutié, Saint-Léger-en-Yveline (), pp. 67-120 ; p. 96.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus étampois.
- Notes topographiques, historiques et archéologiques, p. 30, recueillies par L. Morize en 1869, membre de la Société Archéologique de Rambouillet, correspondant des sciences morales des arts et des lettres de Seine-et-Oise.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1357 (ISBN 2600001336).
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, .
- La Verrière sur le site de l'office de tourisme de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines.
- « Les maires de Verrière (La) », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Pierre Sellincourt s'en va après vingt-neuf ans de mandat », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne).
- L. V., « Passation de pouvoir à La Verrière : Alain Hajjaj succède à Pierre Sellincourt, maire de cette commune des Yvelines depuis 1983 », L'Humanité, (lire en ligne).
- B. L., « Le PC défend l’un de ses derniers bastions », Le Parisien, municipales 2008, (lire en ligne).
- « Alain Hajjaj élu maire de La Verrière », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne).
- « La Verrière : le maire démissionne pour raisons de santé », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne).
- Laurent Mansart, « La jeunesse sera ma priorité » Nelly Dutu, élue maire de la Verrière ce jeudi soir », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne).
- « Accueil Présidentielle 2022 > Île-de-France > Yvelines (78) > La Verrière », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Michel Seimando, « Résultats des élections européennes : dans les Yvelines, La France insoumise pulvérise les scores », Actu.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- [1]
- « Publication des candidatures et des résultats aux élections Européennes 2024 - 9 juin 2024 - Résultats - La Verrière (78644) », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Verrière (78644) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- École régionale du premier degré de La Verrière.
- Julie Ménard, « Mort de Nahel : à La Verrière, deux écoles primaires incendiées, "les enfants sont traumatisés" », leparisien.fr, 29 juin 2023.
- Tennis club de La Verrière sur le site de la Fédération française de tennis.
- Site du Boxing de La Verrière.
- « Château (ancien) », notice no PA00087664, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le Scarabée sur le site de Saint-Quentin-en-Yvelines, page Loisirs.
- En 1987, la commune de La Verrière adopte le blason créé par Victor Belot à partir de données historiques et d'environnement (cf. articles parus dans les journaux Toutes les nouvelles de Versailles du 27 mai 1987 et Le Petit Quentin no 9 de septembre 1987.