Le Neubourg — Wikipédia

Le Neubourg
Le Neubourg
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul,
Logo monument historique Classé MH (1938).
Blason de Le Neubourg
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Neubourg
(siège)
Maire
Mandat
Isabelle Vauquelin
2020-2026
Code postal 27110
Code commune 27428
Démographie
Gentilé Neubourgeois
Population
municipale
4 268 hab. (2021 en évolution de +4,12 % par rapport à 2015)
Densité 431 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 56″ nord, 0° 54′ 14″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 151 m
Superficie 9,91 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Le Neubourg
(ville-centre)
Aire d'attraction Le Neubourg
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton du Neubourg
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Le Neubourg
Liens
Site web www.le-neubourg.fr

Le Neubourg est une commune française du département de l'Eure, en région Normandie.

Ses habitants sont appelés les Neubourgeois.

Géographie

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Le Neubourg est une commune du Centre du département de l'Eure. Elle est la « capitale » d'une « région naturelle » portant son nom : le plateau du Neubourg, appelé traditionnellement « Campagne du Neubourg » au sens normanno-picard du terme, attestée sous une forme française la champaigne du Neufbourc en 1428[1]. Le bourg est à 23 km à l'est de Bernay[2], à 23 km au nord-ouest d'Évreux[3] et à 35 km au sud de Rouen[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 742 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brionne à 14 km à vol d'oiseau[9], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 791,7 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Le Neubourg est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine du Neubourg, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Neubourg, dont elle est la commune-centre[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,7 %), zones urbanisées (26 %), forêts (13,4 %), prairies (6,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Novus Burgus en 1089 (charte de Roger à la Barbe), Neuf Borc en 1195[19], Noef-Borc en 1200 (Chron. de Saint-Denis, Hist. de France, t. XVIII, p. 385), Castellum Novum en 1211 (ch. de Henri de Neubourg), Neubort en 1281 (Trésor des chartes), Nuefbourg en 1350 (Saint-Allais, Monstre) Neufboure en 1359, Nuefbourc en 1383 (arch. nat.), Neufbourc et Neufbourt en 1401 (aveu de Charles de Couesmes), Nuefbourc en 1403 (aveu d’Yves de Vieuxpont), Neaubourg en 1419 (Soc. des antiquaires, 23e vol.), Neboursg en 1469[19], Neubourg-la-Forêt en 1828 (L. Dubois).

On ne connaît pas la date précise de sa fondation[20]. Cependant, il est peu probable qu'elle soit antérieure à l'époque ducale. François de Beaurepaire fait remarquer que la présence de l'article défini implique vraisemblablement une date de fondation au début du second millénaire[21].

L'antéposition de l'adjectif neu(f)- est caractéristique de l'influence syntaxique du germanique continental, du vieil anglais ou du norrois. Dans la partie sud du domaine d'oïl, on trouve uniquement la forme Bourgneuf ou Bourg-neuf. On rencontre plusieurs noms de lieux se terminant par -bourg dans la toponymie de la Normandie, dont un ancien Wambourg (Saint-Aubin-sur-Quillebeuf) dans l'Eure ; de nombreux Cabourg, Cherbourg, Jobourg, etc. Ces formations composées sont caractéristiques du Nord de la France.

Homonymie avec le Neufbourg, commune de la Manche, plusieurs hameaux de Normandie du type le Neu(f)bourg et homographie avec le village annexe de Neubourg, rattaché administrativement à Dauendorf, dans le Bas-Rhin.

Le Neubourg a laissé à la postérité la lecture d'un coutumier mis au jour en 1972[22].

Le Neubourg a été le théâtre d'évènements historiques importants. C'est au Neubourg, au début du XIIe siècle, que les barons anglo-normands se réunissent à la mort du roi Henri Beauclerc (4e fils de Guillaume le Conquérant), pour désigner un successeur. Pendant ce temps, un des neveux d'Henri, Étienne de Blois, s'empare du Trésor Royal de Winchester et cet évènement marque le début d'une guerre civile anglaise qui se terminera dix-neuf ans après, par l'accession au trône de l'Angevin Henri Plantagenêt, époux d'Aliénor d'Aquitaine.

On peut citer aussi Jacques Charles Dupont de l'Eure (1767-1855), premier président du gouvernement provisoire de la Deuxième République en 1848, né au Neubourg et qui en fut le premier magistrat en 1792. Le Dr Auzoux, né à Saint-Aubin-d'Écrosville, a inventé l'écorché d'anatomie que de nombreux élèves ont vu en classe de sciences naturelles, ce qui explique la présence locale d'un Musée de l'écorché d'anatomie, rassemblant plusieurs belles pièces des « ateliers Auzoux ».

En 1962, Jacques Mesrine, alors inconnu, y est arrêté pour la première fois alors qu'il essayait, avec trois complices, de s'en prendre à l'agence du Crédit agricole (ses parents possédaient une maison de campagne à Louviers).

Héraldique

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Armes du Neubourg

Ces armes peuvent se blasonner ainsi :

bandé de gueules et d'or.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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L'hôtel de ville.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1790 Michel Duclos    
1790 1791 Jacques Leroy   Marchand épicier
1791 1792 Jean Charles Lechevalier   Fabricant de toiles
1792 1793 Jacques Charles Dupont de l'Eure   Avocat, député
1793 1795 Jacques Dupuis   Notaire
1795 1795 André Bidault   Cultivateur
1795 1800 Jean François Vesque   Marchand de toiles
1800 1812 André Bidault   Cultivateur
1812 1815 François Paturel   Ancien militaire
1815 1816 Jean Baptiste Guérard   Epicier
1816 1830 Pierre Cantel   Fabricant de toiles
1830 1831 François Bougrain   Notaire
1831 1832 François Périer   Epicier
1832 1848 Robert Paturel   Notaire
1848 1851 Ambroise Pilon   Rentier
1851 1852 Pierre Bucaille   Marchand de bois et de fer
1852 1858 Robert Paturel   Notaire
1858 1870 Francois Lemenu   Notaire
1870 1884 Henri Lenoble   Notaire
1884 1892 Alphonse Delamotte   Cafetier limonadier
1892 1929 Arthur Ferrand   Greffier de justice, homme d'affaires, conseiller général
1929 1955 Octave Bonnel Rad. Chef d'entreprise (Bonnel)
1955 1967 Legrand    
1967 1983 Henri Bonnel DVG Chef d'entreprise (Bonnel)
1983 2005 Roger Barbat RPR Médecin
janvier 2006 novembre 2012 Paul Delachaussée UMP Cadre
3 février 2013 2020 Marie-Noëlle Chevalier UMP-LR Agricultrice
2020 En cours Isabelle Vauquelin   Professeur en lycée, conseillère départementale remplaçante
Les données manquantes sont à compléter.

Politique de développement durable

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En 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[23].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 4 268 habitants[Note 2], en évolution de +4,12 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7021 9441 9021 8092 1182 1312 1052 2922 341
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 4542 5672 5002 4432 4332 3432 4142 4372 500
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4372 5632 5872 3762 4382 3622 4002 3922 563
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 8353 1323 4983 4543 6393 8333 9223 9644 172
2014 2019 2021 - - - - - -
4 0984 2414 268------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Riche région agricole, le plateau du Neubourg a été habité dès la préhistoire malgré le manque d'eau. En effet, il n'y a pas de cours d'eau. Lieu de passage vers les villes proches (Rouen, Évreux, Elbeuf, Louviers très importante au Moyen Âge), Le Neubourg a été une place importante de négoce de bétail et de produits agricoles. Son marché est encore reconnu aujourd'hui.

Ville très dynamique (plus d'emplois que d'habitants), l'activité économique est agricole mais aussi industrielle avec la plasturgie, l'entreprise Valois (société Aptar depuis 2012[28]), leader de la fabrication de pompes d'aérosol, l'alimentaire avec Saveur de France-Brossard et les abattoirs (groupe Socopa), le textile avec un pôle majeur en Europe de teillage de lin.

Elle est le siège du journal Le Courrier de l'Eure.

Sa devise résume bien l'état d'esprit des gens de la région : « Travail vaut richesse ».

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune du Neubourg compte trois édifices classés et inscrits au titre des monuments historiques :

Patrimoine disparu

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Statue de Léon Gambetta.

Patrimoine naturel

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Sites inscrits

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Personnalités liées à la commune

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Jacques-Charles Dupont de l'Eure.
  • Chaque année, en mars, a lieu l'élection de l'Ambassadrice du Neubourg et de la filière lin. Lors de la fête du Neubourg, la reine trône sur un char et salue la foule avec ses dauphines. Elle participe également à de nombreuses manifestations, même à l'extérieur de la ville.
  • Tous les ans, en février et mars, a lieu le festival du dessin animé. Au programme : expositions, une semaine de projection au cinéma, animations diverses et interventions de prestigieux parrains.
  • Le Neubourg est célèbre depuis le Moyen Âge pour son marché.

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 82.
  2. « Distance à vol d'oiseau entre Le Neubourg et Bernay »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  3. « Distance à vol d'oiseau entre Le Neubourg et Évreux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  4. « Distance à vol d'oiseau entre Le Neubourg et Rouen »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  5. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  9. « Orthodromie entre Le Neubourg et Brionne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Brionne » (commune de Brionne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Brionne » (commune de Brionne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 du Le Neubourg », sur insee.fr (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Neubourg », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 153.
  20. André Plaisse, La baronnie du Neubourg, Paris 1961.
  21. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 149 - 150
  22. Plaisse André. La Coutume du Neubourg. In: Hors-série des Annales de Normandie. Recueil d'études offert en hommage au doyen Michel de Boüard Volume II. 1982. pp. 489-508. En ligne sur Persée [1].
  23. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « lecourrierdeleure.fr/2013/10/0… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  29. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no PA00099498, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Huit verrières du maître-verrier Jean Barillet », notice no IM27020715, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. « Le Vieux Château », notice no PA27000045, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Le château et son parc étendent leur emprise à la fois sur la commune de Sainte-Opportune-du-Bosc et celle du Neubourg.
  33. « Parc du château de Champ-de-Bataille », notice no PA00099497, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Recueil historique, chronologique et topographique des archevêchez ..., Volume 2 [2].
  35. Plumitif de la Chambre ecclésiastique du diocèse de Rouen. – 8 avril 1716 [3].
  36. « Les statues », sur Site officiel de la commune du Neubourg (consulté le ).
  37. « L'avenue d'arbres au Neubourg, Sainte-Opportune-du-Bosc », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  38. « Le vieux château, la maison normande, l'hôtel du Soleil d'Or au Neubourg », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  39. « Les abords du château du Champ-de-Bataille au Neubourg et Sainte-Opportune-du-Bosc », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  40. Alexandre de Rieux Sourdéac sur BnF [4].
  41. La tribune du Net, Sylvain Kerspern, jeudi 1er avril 2004.
  42. Une semaine plus tard, j’étais en Normandie, province qui battait le record de la dévastation. Les ruines y semblaient d’autant plus lamentables qu’il s’agissait d’une région pleine de richesses anciennes et récentes. Accompagné de Mendès France et de Tanguy-Prigent, conduit par Bourdeau de Fontenay, commissaire de la République, et le général Legentilhomme commandant la région militaire, je visitai, en particulier, Le Havre, Rouen, Évreux, Lisieux et Caen ou, pour mieux dire, leurs décombres. (…) D’ailleurs, par contraste avec les cités écroulées, la campagne offrait un spectacle encourageant. Au mois d’août, en pleine bataille, on avait trouvé moyen de faire et de rentrer les récoltes. Bien que les villages et les fermes eussent beaucoup souffert et en dépit de tout ce qui faisait défaut aux exploitants, on pouvait voir partout les champs cultivés, le bétail soigné, aussi bien que possible. Au Neubourg, les agriculteurs qui s’y étaient rassemblés me parurent résolus à laisser leurs manches retroussées. Cette obstination au labeur de la paysannerie française éclaircissait les perspectives du ravitaillement et constituait, pour l’avenir, un élément essentiel de redressement.
  43. https://www.leneubourg.fr/culture-patrimoine/histoire-patrimoine/les-lieux-de-memoire/

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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  • André Plaisse, La Baronnie du Neubourg : essai d'histoire agraire, économique et sociale, Presses universitaires de France, Paris, 1961, 759 p.
  • André Plaisse, L'Évolution de la structure agraire dans la campagne du Neubourg, Mouton, Paris, 1964, 124 p.
  • Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, Guide pittoresque du voyageur en France, Didot, 1836.