Michael Keaton — Wikipédia

Michael Keaton
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Michael Keaton à la Mostra de Venise 2024.
Nom de naissance Michael John Douglas
Surnom Michael Keaton
Naissance (73 ans)
Kennedy Township, Pennsylvanie (États-Unis)
Nationalité Drapeau des États-Unis Américaine
Profession Acteur
Producteur
Réalisateur
Films notables Mister Mom
Beetlejuice
Batman
Batman : Le Défi
Jackie Brown
L'Enjeu
Birdman
Spider-Man: Homecoming
Séries notables Dopesick

Michael John Douglas, dit Michael Keaton, est un acteur, producteur et réalisateur américain, né le à Kennedy Township (Pennsylvanie).

Il est notamment connu pour ses collaborations avec Tim Burton à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Il joue en effet le rôle-titre de Beetlejuice (1988) qu'il reprend dans Beetlejuice Beetlejuice (2024), puis incarne surtout Bruce Wayne / Batman dans le film Batman (1989) et sa suite Batman : Le Défi (1992), deux grands succès au box-office.

Il a également joué à deux reprises le personnage de Ray Nicolette, héros des romans de Elmore Leonard, dans les films Jackie Brown (1997) de Quentin Tarantino et Hors d'atteinte (1998) de Steven Soderbergh.

Le studio Pixar fait appel à lui pour prêter sa voix à deux de leurs personnages : la voiture Chick Hicks dans Cars (2006) et le jouet Ken dans Toy Story 3 (2010). Après être apparu dans le remake de 2014 du film Robocop de 1987, il revient la même année sur le devant de la scène grâce au film multi-récompensé Birdman d'Alejandro González Iñárritu, dont les parallèles entre sa carrière et son personnage sont multiples. Il concrétise son retour avec le film Spotlight, grand succès critique de 2015.

L'année 2017 le montre de retour dans une adaptation de comics mais cette fois-ci dans le rôle de l'antagoniste, plus exactement le personnage du Vautour dans le film à succès Spider-Man: Homecoming, seizième film de l'univers cinématographique Marvel. En 2019, il retrouve Tim Burton dans le film Dumbo, tandis qu'en 2021 sa performance dans la mini-série Dopesick lui vaut de nombreuses louanges.

En 2023, il reprend son rôle de Batman dans le film The Flash avec Ezra Miller dans le rôle titre. Lors de ce film, Ben Affleck et George Clooney incarnent aussi d'autres versions du chevalier noir.

Enfance et débuts

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Issu d'une famille originaire d'Écosse, d'Irlande et d'Allemagne, Michael John Douglas naît à Kennedy Township, en Pennsylvanie. Il est le plus jeune d'une famille de sept enfants (il a trois frères et trois sœurs). Son père, George A. Douglas, est ingénieur civil et géomètre-expert[1],[2]. Sa mère, Leona Elizabeth, est femme au foyer originaire de McKees Rocks en Pennsylvanie[3],[4].

Ses dons de comédien se révèlent dès sa jeunesse par de délirantes imitations du chanteur Elvis Presley. Il écrit ses premiers sketches et interprète de nombreux spectacles.

Il commence à travailler dans le cinéma en jouant dans des comédies, Les Croque-morts en folie, Johnny le dangereux, et aussi dans des films avec un ton plus dramatique tel Retour à la vie. Ne pouvant garder son nom à l'écran, du fait de l'homonymie avec Michael Douglas, il se voit dans l'obligation de trouver un nouveau nom. Il choisit « Keaton » en référence à Buster Keaton[5],[6].

Années 1980-1990 : Révélation, puis passage au second plan

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Michael Keaton (à gauche) dans la sitcom All's Fair, en 1977.

Michael Keaton fait ses débuts à l'écran en 1977, dans la série télévisée All's Fair. Cette sitcom le lance dans des comédies mineures, aux succès divers.

C'est en 1988 qu'il parvient à percer. Il est en effet choisi par Tim Burton pour incarner le bio-exorciste inventé par ce dernier dans Beetlejuice, qui connaît un succès planétaire. La carrière de l'acteur est lancée. Burton le choisit aussi pour incarner le rôle de Batman lorsqu'il se voit confier le projet par la Warner. Le studio est hésitant, en raison de l'image délirante qu'a l'acteur auprès du grand public. Mais son interprétation convainc critiques et public, et l'impose comme une star. Le studio donne une plus grande liberté à Burton pour une suite sortie en 1992, Batman : Le Défi. Le film est acclamé par la critique, mais le public suit moins, déstabilisé par une œuvre noire et gothique, où les antagonistes occupent le devant de la scène.

Il enchaîne avec un autre succès, Beaucoup de bruit pour rien (1993), une comédie chorale mise en scène par Kenneth Branagh. Il décline cependant un troisième opus de Batman, lorsque Burton est finalement cantonné au rôle de producteur, et face à la direction plus commerciale prise par le projet. Toutefois, d'autres sources mentionnent un différend concernant le montant du cachet de l'acteur. Celui-ci se serait montré trop gourmand et aurait été, de fait, remercié par les producteurs. Le rôle est confié au plus lisse Val Kilmer.

Dans les années 1990, l'acteur alterne comédies (Mes doubles, ma femme et moi, Une journée de fous) et films dramatiques (My Life). Mais il s'aventure également à jouer les psychopathes dans des thrillers (Fenêtre sur Pacifique, L'Enjeu (1998)) et les policiers dans Un bon flic. Mais les films sont des échecs critiques et commerciaux, et Michael Keaton voit son étoile pâlir. Seule émerge de cette période la comédie Le Journal (1994) de Ron Howard.

La fin de la décennie lui permet de revenir au premier plan : il fait partie de la distribution réunie par Quentin Tarantino pour le polar Jackie Brown, dans lequel il livre une interprétation remarquée de Ray Nicolette, aux côtés notamment de Pam Grier, Samuel L. Jackson et Robert De Niro. Le cinéaste Steven Soderbergh lui permet de reprendre le même rôle dans son propre film noir, Hors d'atteinte (1998). La même année, Barbet Schroeder le dirige dans L'Enjeu qui est un échec commercial.

Années 2000-2010 : Renaissance commerciale puis critique

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Michael Keaton au Festival de Cannes 2003.

Les rôles de Michael Keaton durant les années 2000 passent en majeure partie inaperçus. Sables mouvants est un échec. Il s'aventure dans des productions plus commerciales : les productions pour adolescents (Des étoiles plein les yeux et La Coccinelle revient) et le film d'horreur La Voix des morts.

Néanmoins, il entame en 2005 une collaboration avec le studio d'animation Pixar en participant au film Cars de John Lasseter[7]. Il prête sa voix à la voiture Chick Hicks, rival du protagoniste Lightning McQueen interprété par Owen Wilson[7].

Cette période marque un tournant dans sa carrière. Il s'essaie pour la première fois à la réalisation avec le drame Killing Gentleman, sorti en 2008, puis joue surtout de son image cool dans la comédie d'action Very Bad Cops en 2010, portée par Mark Wahlberg et Will Ferrell et réalisée par Adam McKay. La même année, il retrouve le studio Pixar qui lui offre le rôle de la poupée Ken dans le film d'animation Toy Story 3 de Lee Unkrich[8].

Il d'enchaîne les rôles secondaires dans des productions exposées. En , il remplace au pied levé l'acteur britannique Hugh Laurie dans RoboCop de José Padilha, remake du film sorti en 1987[9]. Michael Keaton est annoncé dans le rôle du PDG de l'entreprise qui conçoit le robot-flic[9]. Le film, porté par Joel Kinnaman, sort en [10].

La même année, il apparait dans l'adaptation cinématographique de la franchise vidéoludique de jeux de course Need for Speed[11]. Le film est réalisé par Scott Waugh et met notamment en scène les acteurs Aaron Paul et Dominic Cooper dans des rôles de pilotes[11]. Quant à Keaton, il incarne l'organisateur d'une compétition automobile clandestine[11].

Si ces deux projets sont accueillis très fraîchement, c'est néanmoins pour lui l'année de la renaissance : le cinéaste mexicain Alejandro González Iñárritu lui confie le rôle principal de Birdman, œuvre spectaculaire et ambitieuse, qui tend un miroir à une carrière en dents de scies, mais marquée par quelques rôles iconiques. Son interprétation d'un acteur déchu, connu pour un rôle de super-héros et revenant à Broadway dans l'espoir de retrouver la gloire, lui vaut une série de nominations, dont une pour l'Oscar du meilleur acteur, et de récompenses convoitées, comme le Golden Globe du meilleur acteur.

Il confirme dès l'année suivante son retour en grâce avec le drame Spotlight de Tom McCarthy qui remporte de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film[12]. Présent dans la distribution d'ensemble du film, l'acteur tient le rôle de Walter « Robby » Robinson, chef de l'équipe d'investigation du Boston Globe, appelée « Spotlight », qui a dévoilé un scandale impliquant des prêtres pédophiles couverts par l'Église catholique dans la région de Boston[13].

En 2016, il tient le premier rôle masculin du biopic Le Fondateur de John Lee Hancock, où il incarne le vénal Ray Kroc, fondateur de la franchise McDonald's aux dépens des frères Richard et Maurice McDonald[14]. Si le film reçoit des critiques solides, la profession s'accorde dans son ensemble pour saluer le charisme de Keaton[15],[16],[17].

En début d'année, plusieurs sources révèlent que l'acteur serait en négociation pour incarner l'antagoniste du film Spider-Man: Homecoming, premier film Spider-Man mettant en scène Tom Holland dans le costume du super-héros après son apparition dans Captain America: Civil War[18]. En novembre, l'acteur est confirmé dans l'univers cinématographique Marvel et il est annoncé qu'il tiendra le rôle d'Adrian Toomes / le Vautour[18]. Le film sort en [18]. La même année, il joue un des principaux rôles du film d'action American Assassin de Michael Cuesta, d'après le roman de Vince Flynn[19]. L'acteur tient le rôle d'un vétéran de la Guerre froide qui enseigne à une nouvelle recrue de la CIA, jouée par Dylan O'Brien, afin de mener à bien des opérations anti-terroristes[19].

Vingt-sept ans après Batman : Le Défi, l'acteur retrouve le réalisateur Tim Burton[20]. En effet, Michael Keaton est annoncé à la distribution du film Dumbo, adaptation en prise de vues réelles du long métrage d'animation sorti en 1941[20]. Si Colin Farrell et Eva Green sont également présents, on note également la présence de Danny DeVito, fidèle de Burton et emblématique Pingouin opposé à Keaton dans Batman : Le Défi[20]. Dans le film, Keaton joue un des antagonistes, à savoir V.A. Vandevere, propriétaire d'un cirque concurrent à celui dans lequel se trouve Dumbo[21].

En 2020, il joue dans À quel prix ? de Sara Colangelo (en)[22]. Accompagné par Amy Ryan et Stanley Tucci, il tient le rôle de l'avocat Kenneth Feinberg (en), chargé du fonds de compensation pour les victimes du 11 septembre (en)[22]. Le film a son avant-première au Festival du film de Sundance 2020, puis sort mondialement le sur la plateforme Netflix[22],[23]. En 2020, il tient également un rôle secondaire dans le film Les Sept de Chicago d'Aaron Sorkin[24]. Dans cette œuvre qui revient sur l'affaire et le procès des Chicago Seven à la fin des années 1960, l'acteur tient le rôle du procureur général des États-Unis Ramsey Clark[24].

En 2021, il tient un des principaux rôles de la mini-série Dopesick, d'après le livre Dopesick: Dealers, Doctors, and the Drug Company that Addicted America de Beth Macy (en)[25]. La série met en scènes divers individus à l'époque de la crise des opioïdes aux États-Unis, faisant suite à la mise en vente d'un anti-douleur du nom d’OxyContin par le laboratoire pharmaceutique Purdue Pharma qui a généré une forte addiction de la part des consommateurs[25]. Michael Keaton tient le rôle d'un médecin d'une ville minière qui sombre dans l'addiction aux anti-douleurs qu'il prescrit à ses patients[26].

La même année, il joue aux côtés de Maggie Q et de Samuel L. Jackson dans le film thriller d'action La Protégée de Martin Campbell[27].

En 2022, il reprend le personnage du Vautour dans une scène post-crédits du film Morbius de Daniel Espinosa, avec Jared Leto dans le rôle titre[28].

Vie privée

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Michael Keaton a été marié de 1982 à 1990 avec Caroline McWilliams, avec qui il a un fils, Sean (né en 1983). Elle meurt le à l'âge de 64 ans, des suites d'un cancer du sang. Michael Keaton a également entretenu une relation de six ans avec l'actrice Courteney Cox et a eu une relation de quelques mois avec l'actrice Michelle Pfeiffer, rencontrée lors du tournage de Batman, le défi de Tim Burton.

Filmographie

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Années 1980
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Années 1990
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Années 2000
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Années 2010
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Années 2020
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Télévision

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Téléfilms
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Série télévisées
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Films d'animation
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Série d'animation
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Jeux vidéo

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Réalisateur

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Distinctions

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Récompenses

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Décorations

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Voix francophones

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En version française, Bernard Lanneau est la voix française régulière de Michael Keaton[32]. Il y a également eu Michel Papineschi, Jérôme Keen[32], Patrick Osmond et Emmanuel Jacomy qui l'ont doublé à trois reprises chacun.

En version québécoise, Daniel Picard[33] est la voix québécoise régulière de l'acteur. Il y a également Éric Gaudry[33] qui l'a doublé à cinq reprises.

Dans la culture populaire

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L'acteur possède une certaine ressemblance physique avec l'animateur de télévision français Julien Lepers[34].

Notes et références

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  1. En , Warner Bros. Discovery confirme l'annulation du film, bien que le tournage soit terminé et qu'un premier montage ait été présenté lors de projections tests. Il est précisé que le studio ne prévoit ni une sortie au cinéma, ni sur le service HBO Max[29].

Références

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  1. (en) « Michael Keaton Biography (1950-) », Filmreference.com.
  2. (en) The Record (Bergen County, NJ), « A leading man without pause »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur highbeam.com, .
  3. (en) « Actor Michael Keaton is another who insists he is half-Scottish »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Express on Sunday, (consulté le ).
  4. (en) Barbara Vancheri, « Actor Michael Keaton's Mother Doted On Her Seven Children », Pittsburgh Post-Gazette,‎ (lire en ligne).
  5. Raphaëlle Raux-Moreau, « « Birdman », le comeback fou de Michael Keaton », Allociné, (consulté le ).
  6. Manon Chollot, « De Batman à Birdman : retour sur l'étonnante carrière de Michael Keaton », sur Les Inrocks, (consulté le ).
  7. a et b (en) « See the voices behind your favorite Cars characters », sur ew.com (consulté le ).
  8. (en) « The Actors: ‘Toy Story 3’s’ Michael Keaton », sur latimes.com, (consulté le ).
  9. a et b (en) « Michael Keaton Joins 'Robocop' Remake », sur deadline.com, (consulté le ).
  10. (en) « RoboCop – review », sur theguardian.com, (consulté le ).
  11. a b et c (en) « Michael Keaton Joins DreamWorks’ ‘Need for Speed’ (Exclusive) », sur hollywoodreporter.com, (consulté le ).
  12. Constance Jamet, « Oscars : Spotlight crée la surprise, Leonardo DiCaprio triomphe », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  13. Raphaëlle Raux-Moreau, « "Spotlight" : Qui sont les vrais journalistes du film ? », sur allociné.fr, (consulté le ).
  14. Corentin Palanchini, « Michael Keaton : après Birdman, il devient le boss de McDonald's », sur allocine.fr, (consulté le ).
  15. (en) « ‘The Founder’: Film Review », sur hollywoodreporter.com, (consulté le ).
  16. (en) « Film Review: ‘The Founder’ », sur variety.com, (consulté le ).
  17. (en) « The Founder », sur rogerebert.com, (consulté le ).
  18. a b et c Maximilien Pierrette, « Spider-Man : Michael Keaton pourrait finalement être le méchant d'Homecoming », sur allocine.fr, (consulté le ).
  19. a et b (en) Mike Fleming Jr, « Michael Keaton To Star In ‘American Assassin’, Long Awaited Screen Adaptation Of Vince Flynn Novel Series », sur =deadline.com, (consulté le )
  20. a b et c « Dumbo : Michael Keaton, Eva Green et Colin Farrell confirmés au casting », sur allocine.fr, (consulté le ).
  21. Guillaume Nicolas, « Dumbo : comment la version de Tim Burton différera du film original », sur allocine.fr, (consulté le ).
  22. a b et c (en) Kate Erbland, « Michael Keaton Would Break SAG Ensemble Award Record With ‘Chicago 7’ Win; On Playing Ramsey Clark & How He Will Reprise Batman 30 Years Later: Q&A », sur indiewire.com, (consulté le ).
  23. (en) Mat Grobar, « ‘Worth’ Trailer: First Look At 9/11 Victims Fund Drama Starring Michael Keaton », sur deadline.com, (consulté le ).
  24. a et b (en) Mike Fleming Jr, « Michael Keaton Would Break SAG Ensemble Award Record With ‘Chicago 7’ Win; On Playing Ramsey Clark & How He Will Reprise Batman 30 Years Later: Q&A », sur deadline.com, (consulté le ).
  25. a et b Solène Boutillier, « Disney+ : 3 séries captivantes inspirées d’une histoire vraie à voir sur la plateforme », sur allocine.fr, (consulté le ).
  26. Brad Schmitt, « Michael Keaton's 'Dopesick' character is based partly on Nashville addiction doctor », sur eu.tennessean.com (consulté le ).
  27. Mathilde Fontaine, « Nouveautés Prime Video 24 au 30 décembre : le final de La Roue du Temps, un film avec Samuel L. Jackson et Michael Keaton… », sur allocine.fr, (consulté le ).
  28. Edouard Orozco, « Pourquoi les scènes post-génériques de Morbius sont incohérentes », sur premiere.fr, (consulté le ).
  29. (en) « Batgirl Won’t Fly: Warner Bros. Discovery Has No Plans to Release Nearly Finished $90 Million Film », sur thewrap.com,
  30. "Dopesick", le remède qui tue: une série coup de poing, nicematin.com, 4 janvier 2022, par Mathieu Faure: michael Keaton est "fascinant en médecin, veuf, d'un patelin perdu en Virginie"
  31. Du Kansas à la Pennsylvanie Pourquoi l’Amérique profonde vous fascine dans les séries., blick.ch, 25 janvier 2022, par Margaux Baralon
  32. a b c d e f g et h « Comédiens ayant doublé Michael Keaton en France » sur RS Doublage, consulté le 15 septembre 2013, m-à-j le 2 mai 2017.
  33. a b c d et e « Comédiens ayant doublé Michael Keaton au Québec » sur Doublage.qc.ca.
  34. « Michael Keaton : "Julien Lepers ? Il passerait facilement pour mon frère" », sur Pure People.com (consulté le ).

Liens externes

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