Montauban-de-Picardie — Wikipédia
Montauban-de-Picardie | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays du Coquelicot | ||||
Maire Mandat | Annabel Paruch 2020-2026 | ||||
Code postal | 80300 | ||||
Code commune | 80560 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montalbanais | ||||
Population municipale | 215 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 00′ 26″ nord, 2° 46′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 89 m Max. 143 m | ||||
Superficie | 7,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Méaulte (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Albert | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Somme Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
modifier |
Montauban-de-Picardie est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Montauban-de-Picardie est un village rural picard situé à dix kilomètres à l'est d'Albert, à 38 km au sud-ouest de Cambrai et à 32 km au sud d'Arras.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Nature du sol et du sous-sol
[modifier | modifier le code]Le sous-sol de la commune est aux deux-tiers argileux et pour un tiers calcéréo-siliceux[1]. Le sol est composé du limon des plateaux.
Relief, paysage, végétation
[modifier | modifier le code]Le relief du territoire communal est celui d'un plateau. Le terrain est légèrement accidenté au nord où on trouve quelques vallons secs[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Transports et communication
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la RD 20, une route départementale secondaire qui relie Albert à Combles. Elle est aisément accessible par les ex-routes nationales RN 29 (actuelle RD 929) et RN 338 (actuelle RD 938).
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 39 (Albert - Péronne) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montauban-de-Picardie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Méaulte, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,9 %), forêts (4,8 %), zones urbanisées (3,3 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat
[modifier | modifier le code]La commune offre un habitat groupé. Il n'y a pas de hameau ni d'écart.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de Montauban est attesté sous la forme Montauban dès 1186[14], puis latinisée Mons Albanis au XIIIe siècle. La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Montauban, prend en 1937 celui de Montauban-de-Picardie[15].
Signifierait « le mont d'Aubin »[1], Albert Dauzat y voit plutôt un transfert du nom de Montauban, peut-être sous l'influence des chansons de geste[16], en effet, aucun argument phonétique ne justifie le passage de -in à -an, finale non usuelle dans le nord de la France.
La Picardie (en picard : Picardie ; en flamand : Picardië) est une entité géographique et culturelle, située dans le Nord de la France et bordée par la Manche.
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au Moyen Âge, le village de Montauban était situé plus au sud et avait pour nom Vadencourt. On en trouvait des vestiges jusqu'en 1914, au lieu-dit le Buisson Saint-Gilles. Ce village fut détruit pendant la guerre de Cent Ans.
On ne trouve pas trace de l'existence de Montauban avant le XIVe siècle[1].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Un moulin à vent, détruit pendant la Première Guerre mondiale, était réputé dater de 1691[17].
- Première Guerre mondiale
La commune a été le théâtre de très durs combats au cours de la Première Guerre mondiale, pendant la bataille de la Somme.
Le , le 69e RI s'était emparé, à 10 heures, dans un élan superbe, de Montauban mais, trop avancé par rapport aux autres unités françaises engagées dans le secteur, il dut faire face, le 28, à une violente contre-attaque allemande qui l'obligea à abandonner le village pour reporter son front devant Carnoy, un peu plus au sud[18].
Montauban-de-Picardie et Mametz sont les deux seuls villages libérés par les Britanniques au soir du , premier jour de la Bataille de la Somme[19] par les bataillons de Liverpool et de Manchester, avec la 30e division britannique. Cette terrible journée a fait 60 000 victimes chez les Britanniques dont 20 000 morts[20].
Il est considéré comme détruit à la fin de la guerre[21],[22],[23],[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].
La reconstruction du village commence en 1924, grâce aux aides et notamment de la ville de Maidstone en Angleterre pour le château d'eau, la mairie, l'école mixte, le logement de l'instituteur et l'église[26].
- Les combats au bois des trones dessinés par Muirhead Bone.
- Photo aérienne d'un bombardement au gaz par les Britanniques, en
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Combles[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription territoriale administrative a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Albert
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, qui est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créée fin 2001.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]Classement au concours des villes et villages fleuris : En 2011, le village a obtenu sa première fleur et, en 2013, sa deuxième fleur[26] ; son classement est renouvelé en 2015[31].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2021, la commune comptait 215 habitants[Note 3], en évolution de −9,28 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Gilles, reconstruite dans l'entre-deux-guerres. Elle comprend cinq vitraux, des peintures monumentales et la mosaïque de l'autel conçues par Gérard Ansart et réalisées par l'atelier Darquet en 1931-1933[35]
- Cimetières militaires :
- Bernafay Wood british Cemetery : ce cimetière contient 945 tombes (814 Britanniques, 124 Australiens, 2 Néo-Zélandais, 4 Sud-Africains et 1 Indien). Il a été édifiée en , au moment où un poste de secours (Dressing Station) avait été installé à proximité, et après l'Armistice, il a accueilli d'autres tombes venues des champs de bataille[36].
- Quarry Cemetery, situé au nord du village, cette nécropole contient 756 sépultures (672 Britanniques, 25 Australiens, 38 Néo-Zélandais, 5 Sud-Africains et 16 Allemands)[37].
- Monument aux morts, statue du sculpteur Auguste Carvin, inauguré .
- Croix à la mémoire du capitaine Henri Thiérion de Monclin et des soldats tombés avec lui le (route de Mametz). Il s'est fait tuer, avec la moitié de sa compagnie, pour protéger le repli d'un bataillon voisin[18].
- Stèle dédiée aux combattants de Liverpool et Manchester, inaugurée le [20].
- Circuit du Souvenir
Galerie
[modifier | modifier le code]-
L'église Saint-Gilles reconstruite dans les années 1920. -
Monument hommage aux soldats du Liverpool Pals qui ont libéré le village le 1er juillet 1916. -
Le château d'eau élevé en 1935 avec le concours de la ville de Maidstone, Royaume-Uni. -
Maison aux insectes.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Hélène Rochas, née en 1927 à Montauban-de-Picardie[38]. Le Parc Rochas, inauguré en 1985, porte son nom[26].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à la fasce d'azur accompagnée de trois tourteaux de gueules ; au chef du même chargé d'un léopard d'or[26] | |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1869.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Lien externe
[modifier | modifier le code]- Montauban-de-Picardie sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Montauban-de-Picardie (80560) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Montauban-de-Picardie »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 12 SE, Amiens [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Montauban-de-Picardie » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Notice géographique et historique sur la commune de Montauban, rédigée par Alfred Payen, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montauban-de-Picardie et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Montauban-de-Picardie ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Méaulte », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 472a.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- R Lelong, photographe à Saint-Fuscien, « carte postale ancienne éditée par Adrien Duclercq, no 10 : Montauban (Somme : Le Moulin à vent (1691) », Archives départementales de la Somme, début du xxe siècle (consulté le ).
- Alain Pouteau, « Tombe du capitaine de Monclin », Monuments individuels, sur picardie1418.com, (consulté le ).
- « Mametz dans la Grande Guerre : Mametz fut capturé par les Britanniques, dont 3886 soldats reposent de nos jours dans 4 cimetières militaires, le 1er juillet 1916 lors de la bataille de la Somme », Villes & villages pendant la Grande Guerre, sur picardie1418.com (consulté le ).
- Alain Pouteau, « Monument aux bataillons de Liverpool et de Manchester : Le monument aux bataillons de Liverpool et de Manchester, situé à Montauban, rend hommage à ces deux bataillons qui ont libéré ce village le 1er juillet 1916 », Monuments collectifs, sur picardie1418.com, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Agence photographique Rol, « Montauban [-de-Picardie, Somme] », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Agence photographique Rol, « Dans les ruines de Montauban[-de-Picardie, Somme] », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Agence photographique Rol, « Montauban », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16878.
- « Montauban-de-Picardie »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Les communes, sur paysducoquelicot.com, (consulté le ).
- « Gilbert Froment, le maire de Montauban-de-Picardie, s'est éteint », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Cet homme, engagé dans la vie municipale depuis 1965, a été, durant six ans, conseiller municipal, avant de devenir adjoint de 1971 à 1977 puis premier magistrat ».
- E. B., « Bruno Benzi est le nouveau maire de Montauban-de-Picardie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Bruno Benzi, 56 ans, responsable d'atelier chez ACHP (Atelier de construction hydraulique de Picardie) à Albert et élu au conseil depuis vingt-sept ans, était le seul prétendant au poste de premier magistrat. Il a été élu à l'unanimité ».
- « Le maire de Montauban-de-Picardie ne sera pas candidat aux Municipales », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « La commune de Montauban-de-Picardie a un nouveau maire, Annabel Paruch », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des localités figurant au palmarès des villes et villages fleuris », sur Villes et villages fleuris (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Jean-Charles Cappronnier, Frédéric Fournis, Alexandra Gérard et Pascale Touzet, « L'art sacré entre les deux guerres : aspects de la Première Reconstruction en Picardie », In Situ [En ligne], no 12 « Le patrimoine religieux des XIXe et XXe siècles - 2e partie », (DOI https://doi.org/10.4000/insitu.6151, lire en ligne, consulté le ).
- Alain Pouteau, « Bernafay wood british cemetery : Le cimetière militaire britannique du bois de Bernafay, capturé les 3 et 4 juillet 1916 par la 9ème division, a été édifié en août 1916 et contient 945 tombes », Cimetières britanniques & du Commonwealth dans la Somme, sur picardie1418.com, (consulté le ).
- Alain Pouteau, « Quarry cemetery », Cimetières britanniques & du Commonwealth dans la Somme, sur picardie1418.com, (consulté le ).
- Loïc Sellin et Denis Taranto, « L'éternelle amoureuse » in Vanity Fair n°37, juillet 2016, pages 78-87