1620 en santé et médecine — Wikipédia

Chronologies
1617 1618 1619  1620  1621 1622 1623
Décennies :
1590 1600 1610  1620  1630 1640 1650
Siècles :
XVe XVIe  XVIIe  XVIIIe XIXe
Millénaires :
-Ier Ier  IIe  IIIe
Chronologies thématiques
Art

Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre

 
Ingénierie

(), Architecture, () et ()

 
Politique

Droit et ()

 
Religion

(,)

 
Science

() et Santé et médecine

 
Calendriers

modifier

Années de la santé et de la médecine :
1617 - 1618 - 1619 - 1620 - 1621 - 1622 - 1623
Décennies de la santé et de la médecine :
1590 - 1600 - 1610 - 1620 - 1630 - 1640 - 1650

Divers

[modifier | modifier le code]
  •  : le Parlement renouvelle la défense de pratiquer la médecine à Paris sans l'approbation de la Faculté[1].
  •  : un édit de l'Inquisition de Mexico interdit la consommation du peyotl à cause des usages magiques de cette plante et malgré son intérêt thérapeutique[2].
  •  : avec l'autorisation du Parlement de Paris, l'université d'Aix règlemente la collation du grade de docteur des facultés de théologie, de droit et de médecine[3].
  •  : Samuel Fuller (en) (1580-1633) embarque comme médecin à bord du Mayflower[4].
  • La peste fait douze mille morts à Dantzig[5].

Fondations

[modifier | modifier le code]

Publications

[modifier | modifier le code]
  • Guillaume Ader (v. 1567 ? – 1628), médecin et poète gascon, publie ses Enarrationes de aegrotis et morbis in Evangelio (« Récits sur les malades et la maladie dans l’Évangile[16] »).
  • Fabrizio Bartoletti (1576-1630), professeur d'anatomie et de chirurgie à Bologne, publie une « introduction à l'anatomie » sous le titre d'Auspicalis trium methodi demonstrativae anatomicae praecognitorum praelectio[17].
  • Brice Bauderon (1539-1623) fait paraître chez Sébastien Cramoisy sa Praxis in duos tractatus distincta[18].
  • Jean de Bry réédite, avec texte explicatif en regard, les planches du Théâtre anatomique (1605) de Gaspard Bauhin (1560-1624[19]).
  • Johann Ernst Burggrav (1600-1643), alchimiste et médecin de Simmern, fait paraître à Oppenheim, chez Jean Théodore de Bry, une première édition de l'Officina chimica de Balduin Clodius (1558-1603)[20].
  • Nicolas Coeffeteau, prédicateur et théologien français, fait paraître un Tableau des passions humaines[21] « qui dresse une synthèse de la littérature philosophique, morale, mais aussi médicale sur la question », et qui sera réédité plus de vingt fois au XVIIe siècle[22].
  • Michaël Döring publie ses ouvrages sur l'opium[23] et sur le baume[24].
  • Jean Dujon, « conseiller du roi [Louis XIII] et trésorier de sa cavalerie légère », fait paraître son Discours sur la maladie de Roger de Bellegarde[25].
  • Parution, sous le titre de Paradoxes de la peste, de la traduction française, par Barthélemy Barralis, des Paradossi della pestilenza (1584) de Silvestro Facio[26].
  • Rodrigo da Fonseca fait imprimer ses « Consultations médicales » (Consultationes medicae) à Venise, chez Giovanni Guerigli[27],[28].
  • Jacques Fontaine, médecin du roi et professeur à Aix-en-Provence, au collège royal de Bourbon, publie un traité contre l'astrologie médicale (De astrologia medica liber[29],[30]).
  • Domenico Galvani, philosophe et médecin italien, fait paraître son Trattato delle fontanele (« Traité des fontanelles[31] »).
  • Le poète Claude Garnier (†  ?) publie son récit de « la maladie et guérison de la reine Anne d'Autriche[32] ».
  • Rudolf Goclenius le Jeune (1572-1621), professeur de médecine, de physique et de mathématiques à Marbourg, fait paraître son Assertio medicinae universalis[33].
  • Parution du Paradoxon de honore medicorum, de Melchior Goldast (1578-1635), jurisconsulte au service du comte de Holstein-Schaumbourg[34].
  • Nicolas Habicot († ), chirurgien juré à Paris, fait paraître son livre sur la trachéotomie[35].
  • Peter Holtzheim, professeur de médecine à Cologne, fait paraître une « Description de la fontaine médicinale Saint-Antoine à Andernach[36] ».
  • Gabriel Illefonsus donne son traité De viri et foeminae comparanda foeconditate[37].
  • Emmanuel Labadie, chirurgien juré à Toulouse, publie un Traicté de la peste divisé en diagnostic, prognostic et curation[38].
  • Jean de Lampérière, médecin de peste à Rouen, publie son Traité de la peste, de ses causes et de sa cure[39].
  • David de Lautaret, docteur en médecine de la faculté de Montpellier, publie son éloge des bains de Digne, en Provence[40].
  • Publication à Paris, chez Isaac Mesnier, d'un fascicule signé L. S. D. L. (Guillain Nepveu, sieur de Longavesnes[41] ?) sur les eaux minérales de La Hacquinière[42].
  • Cesare Mocha, médecin piémontais attaché à la cour de Savoie, fait imprimer à Turin ses Consilia medicinala[43].
  • Niccolò Mutoni donne son traité sur le mithridate[44].
  • David de Planis Campy (1589-1644) publie un Discours de la phlébotomie, suivi d'un Traité des crises, ce dernier, fondé sur les principes de l'astrologie médicale[45].
  • Léonard Poillevé, docteur en médecine, signe un « occasionnel » consacré aux eaux minérales de Segray, près Pithiviers, en Beauce[46],[47].
  • Angelo Sala (1576-1637), médecin et chimiste italien, médecin personnel d’Antoine-Günther, comte d’Oldenbourg, fait paraître sa « brève description d’un antidote spécial » (Descriptio brevis antidoti pretiosi[48]), ainsi que la traduction latine de son « aperçu de pharmacie chimique » (Aphorismorum chymiatricorum synopsis[49]).
  • Giovanni Domenico Sala (it) (1579-1644), médecin padouan, fait imprimer son Ars medica à Venise, chez Evangelista Deuchin[50].
  • Christophe Schlitzweck, médecin à Fribourg-en-Brisgau, publie « quarante-six observations » sur les vertus médicinales de l'eau minérale de Soultzmatt, dont Jacob Federer, également médecin à Fribourg, a introduit l'emploi en 1617[51].
  • Johann Stephan Strobelberger (1593 ? – 1630), médecin à Montpellier, publie un « Nouveau traité sur la cochenille et la préparation de l'alkermès », où il insère la traduction latine de l'ouvrage de Laurent Catelan (1568 ? – 1647) sur le même sujet[52] ; ainsi qu'une « Description politico-médicale de la France[53] », qui contient « le plus ancien essai de flore régionale, [mais qui est] tiré de divers ouvrages et surtout des Stirpium adversaria nova, par Pena et Mathias de Lobel[54] ».
  • Parution posthume du Tractatus de elephantiasi, de Jean de Varanda (1564-1617), qui a été doyen de Montpellier en 1609[55].
  • Tobias Venner (en) (1577-1660), médecin de Bath, fait imprimer un régime de santé qu'il intitule Via recta ad vitam longam[56].
  • Jean Vigier († ) publie son Tractatus absolutissimus, « compilé de divers auteurs », auquel il joint la traduction latine[57] du traité d'André du Laurens (1558-1609) sur le catarrhe (1594[58]).
  • Diffusion, à Paris, d'un « occasionnel[59] » consacré à un miracle qui serait arrivé au couvent de la Madeleine de Tongres, en Liégeois, « où journellement est guérie quantité de diverses maladies[60] ».

Personnalités

[modifier | modifier le code]
  • Fl. Louis de Caseneuve, médecin ordinaire du roi à Tournon, auteur d'Hieroglyphica[61] publiés en 1626 à Lyon, qui analysent des « emblèmes en lien avec les classifications des types humains d'Hippocrate et Galien[62] ».
  • Fl. Robert Le Maresquier, installé maître apothicaire et chirurgien à Valognes, grand-oncle de Guillaume Mauquest de La Motte (1655-1737), qui sera à son tour chirurgien-apothicaire dans la même ville[63].
  • 1581-1620 : fl. Antoine Pescheur, premier chirurgien en titre de l'hôtel-Dieu de Reims[64].
  • 1620-1630 : fl. Menecca Esposita, sage-femme à l'hôpital de la Real Santa Casa dell'Annunziata de Naples[65].
  • 1620-1664 : fl. William Parker, médecin anglais, docteur de l'université de Bourges, membre du Royal College of Physicians[66].

Naissances

[modifier | modifier le code]

Décès

[modifier | modifier le code]

Références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ Parlement de Paris, [Acte, 1620-01-23, Paris. Arrêt du parlement qui renouvelle les défenses à toutes personnes de pratiquer la médecine à Paris, s'ils ne sont approuvés par la Faculté], s. l., s. d., in 4° (BNF 33717128).
  2. ↑ Alessandro Stella, « Un conflit entre mondes magiques : La Prohibition du peyotl par l'Inquisition de Mexico », Mouvements, no 86 « Drogues : Ordre et désordres »,‎ , p. 129-137 (lire en ligne).
  3. ↑ Université d'Aix, Reglement faict par l'université de la ville d'Aix sur la passation des docteurs ez facultés de theologie, jurisprudence et medecine, authorisé par arrest de la cour de Parlement, du 16e jour du mois de may mil six cens vingt [acte 1620-05-16], à Aix, par Jean Tholosan, , 7 p., in-4° (BNF 33752200).
  4. ↑ (en) Thomas F. Harrington, « R. Samuel Fuller, of the Mayflower (1620), the Pionneer Physician », The Johns Hopkins Hospital Bulletin, vol. 14, no 151,‎ (lire en ligne).
  5. ↑ L'« Ordre divin » aux origines de la démographie, vol. 2, INED, (lire en ligne), p. 433.
  6. ↑ Roger Mayer, « Les Ordonnances sur la médecine de 1569 : Première réglementation, à Genève, des rapports entre le médecin, la société et l’État », Gesnerus, vol. 34,‎ , p. 35 (lire en ligne).
  7. ↑ (en) Arne Mandøe, Leo Historical Archives and Museum et Morten Andersen, 400 Years of History : From the First Lion Pharmacy in 1620 to Global Dermatological Front-Runner in 2020, Leo Foundation, (lire en ligne).
  8. ↑ (it) Eleonora Todde, « Facoltà di medicina e chirurgia », dans Archivio storico, Università degli studi di Cagliari, s. d. (lire en ligne).
  9. ↑ Pascal Burnat, Jean-François Chaulet, François Chambonnet et al., « De l'apothicaire au pharmacien des armées », Médecine et Armées : Revue du Service de santé des armées, vol. 36, no 5,‎ , p. 475 (lire en ligne).
  10. ↑ Christian Hottin, « Retour sur le patrimoine parisien méconnu : Les Espaces de transmission du savoir à l'époque moderne, 1 : De la maison à l'amphithéâtre », In Situ : Revue des patrimoines, no 10 « Le Patrimoine scientifique »,‎ , « Médecins et chirurgiens : La Course à l'amphithéâtre », § 12 (lire en ligne).
  11. ↑ (en) Zohar Amar (en) et Efraim Lev (en), « An Early Glimpse at Western Medicine in Jerusalem 1700-1840 : The Case of the Jews and the Franciscans Medical Activity », Vesalius, vol. 11, no 11,‎ , p. 82 (lire en ligne).
  12. ↑ (it) « L'ospedalita' palermitana », dans Carlo Di Franco (éd.), Panormus : La Palermo que non si vede è qui, (lire en ligne).
  13. ↑ Ludovic Debono (Philippe Mercet, dir.), La Médecine en Russie de 1801 à 1917 (thèse présentée et soutenue publiquement le pour obtenir le grade de docteur en médecine), faculté de médecine et de pharmacie de Besançon, université de Franche-Comté, (lire en ligne), p. 16-17, 4. « De Ivan à Pierre (1584-1682) ».
  14. ↑ (it) Renato Fianco (dir.), « La lunga storia di cure di San Giacomo », dans Univerona Magazine, université de Vérone, (lire en ligne).
  15. ↑ Rémy Paurion et Maud Sallansonnet, Archives de l'hôpital d'Hennebont (archives antérieures à 1790), Vannes, archives départementales du Morbihan, (lire en ligne), « Présentation du producteur », p. 2.
  16. ↑ (la) Guillaume Ader, Enarrationes de aegrotis et morbis in Evangelio, opus in miraculorum Christi Domini amplitudinem Ecclesiae Christianae elimatum, operis partes indicabit sequens pagella, Tolosae [à Toulouse], typis Raymundi Colomerii [sur les presses de Raymond Colomiez], m.dc.xx [1620], [24]-458-[6] p., in-8° (lire en ligne) ; également imprimé, la même année, sous la marque de Pierre Bosc, gendre de Colomiez lire en ligne.
  17. ↑ (la) Fabrizio Bartoletti, Auspicalis trium methodi demonstrativae anatomicae praecognitorum praelectio, e Bononiensi subsellio anatomico habita, a Fabritio Bartoleto [etc.], Bononiae [à Bologne], typis S[ebastiani] Bonomii [sur les presses de Sebastiano Bonomi], , 27 p., in-4° (BNF 30062887).
  18. ↑ (la) Brice Bauderon, Bricii Bauderoni doctoris medici, Praxis in duos tractatus distincta, in priore agitur De febribus essentialibus [...], in posteriore De symptomatis et morbis internis [...], Lutetiae Parisiorum [à Paris], ex officina Nivelliana sumptibus Sebastiani Cramoisy [des presses nivelliennes pour le compte de Sébastien Cramoisy], m.dcxx [1620], [42]-849-[14] p. (lire en ligne).
  19. ↑ (la) Gaspard Bauhin, Vivae imagines partium corporis humani, aeneis formis expressae, et ex Theatro anatomico Caspari Bauhini Basilien[sis] archiatri desumptae, [Francfort-sur-le-Main.], opera sumptibusque Johan[nis] Theodori de Bry [par les soins et pour le compte de Jean de Bry], m.dc.xx [1620], 265-21 p. (lire en ligne).
  20. ↑ (de) Balduin Clodius, Balduini Clodii [...] Officina chymica, das ist Künstliche spagyrischen [sic] Zuzubereitung der animalischen, vegetabilischen, metallischen und mineralischen Medicamenten, sampt beygefügtem Consilio, wie man sich in pestilentzischen Läufften verhalten soll, jetzo publiciert und an Tag geben durch J[ohann] E[rnst] B[urggrav] Medicum zu S[immern], Getruckt zu Oppenheim [imprimé à Oppenheim], bey Hieronymo Gallern, in Vorlegung Johann Theodor de Bry [par Hieronymus Gallern, pour Jean Théodore de Bry], , [VI]-196 p., in-4° (lire en ligne).
  21. ↑ Nicolas Coeffeteau, Tableau des passions humaines, de leurs causes et de leurs effets, par R. P. en Dieu F[rançois] N[icolas] Coeffeteau, evesque de Dardanie, [etc.], à Paris, chez Sébastien Cramoisy, m.dc.xx [1620], [56]-651 p., in-8° (lire en ligne).
  22. ↑ Justine Le Floc'h, « Le Tableau des passions humaines : Un renouveau du discours passionnel au XVIIe siècle », Les Carnets du laboratoire de recherche historique Rhône-Alpes « Étudier les sources des savoirs à l'époque moderne : Enjeux et pistes de réflexions »,‎ 2017-2018 / 1 (lire en ligne).
  23. ↑ (la) Michaël Döring, Ἀκρόαμα medico-philosophicum de opii usu, qualitate, calefaciente, virtute narcotica, et ipsum corrigendi modo, auctore Michaële Döringio, Breslaviensi, philosophiae et medicinae doctore, Ienae [à Iéna], typis Johannis Beithmanni, impens[is] haered[um] Johannis Eyring[ii] et Johannis Perferti [sur les presses de Johann Beithmann, pour le compte des héritiers de Johann Eyring et de Johann Perfert],‎ anno m dc xx [l'an 1620], pièces limin., 164 p. et index (lire en ligne).
  24. ↑ (la) Michaël Döring, Διατριϐὴν de opobalsamo Syriaco, Judaico, AEgyptio, Peruviano, Tolutano et Europaeo, auctore Michaële Döringio, Breslaviensi, philosophiae et medicinae doctore, Ienae [à Iéna], typis Johannis Beithmanni, impens[is] haered[um] Johannis Eyring[ii] et Johannis Perferti [sur les presses de Johann Beithmann, pour le compte des héritiers de Johann Eyring et de Johann Perfert],‎ anno m dc xx [l'an 1620], pièces limin., 102 p. et index (lire en ligne).
  25. ↑ (la) [Jean] Dujon, Diegemation et rope super nupero morbo viri illustrissimi Rogerii de Bellegarde […], Discours sur la maladie de monseigneur Roger de Bellegarde […], gouverneur pour Sa Majesté des pays de Bourgogne et Bresse, s. l., s. n., [1620], 13-[1 bl.]-16 p. ; in-8 (présentation en ligne).
  26. ↑ Silvestro Facio (trad. Barthélemy Barralis), Paradoxes de la peste, où il est monstré clairement comme on peut vivre et demeurer dans les villes infectées, sans crainte de contagion, traduicts en françois de l'italien de Sylvestre Facio, par B[arthélemy] Barralis, docteur-regent en la faculté de medecine de Paris [« Paradossi della pestilenza di Silvestro Facio, nobile genovese, in Genova, M.D.LXXXIIII »], à Paris, par Fleury Bourriquant, m.dc.xx [1620] (lire en ligne).
  27. ↑ (la) Rodrigo da Fonseca, Roderici a Fonseca [...], Consultationes medicae, singularibus remediis refertae [...], accessit de consultandi ratione breve compendium, et consultatio de plica polonica [etc.], Venetiis [à Venise], apud J[ohannem] Guerilium [chez Giovanni Guerigli], , 322 p., in-folio (BNF 30446644).
  28. ↑ Lire le texte de l'édition de 1625 : (la) Rodrigo da Fonseca, Roderici Fonseca Olysiponensis olim Pisis medicinam surpraordinariam, nunc Patavii practicam priore loco profitentis, Consultationes medicae singularibus remediis refertae, Francofurti ad Moenum [à Francfort-sur-le-Main], typis Wechelianis, apud Danielem et Davidem Aubrios et Clementem Schleichium [sur les presses wecheliennes, chez Daniel et David Aubry et Clemens Schleich], anno m.dc.xxv [l'an 1625] (lire en ligne).
  29. ↑ « Fontaine, Jacques (15..-1621?), De astrologia medica liber », BNF 30447054.
  30. ↑ Consulter l'édition de 1625 : (la) Jacques Fontaine, De astrologia medica liber, in quo ex principiis naturalibus et corpori humano insitis probatur vana esse ea omnia quae astrologi judicarii de hominum moribus, institutis, morbis, crisibus et illorum morborum curationbus asseruerunt, authore Jacobo Fontano Sammaximitano, reggio medico et primario professore academiae Borboniae Aquensis, Lugduni [à Lyon], apud Thomam Soubron [chez Thomas Soubron], m.c.xxv [1625 (mais le v a été ajouté)] (lire en ligne).
  31. ↑ (it) Domenico Galvani, Delle fontanele, trattato di Dominico Galvani, filosofo et medico della Mag[nifica] Communità di Este, diviso in duo libri, l'uno pertinente alla teorica [...], l'altro alla prattica [etc.], in Padova [à Padoue], appresso Gasparo Crivellari [chez Gasparo Crivellari], m.dc.xx [1620], in-4°, pièces limin., 80 f., table, fig. (lire en ligne).
  32. ↑ Claude Garnier, La Maladie et guarison de la reyne [...] Anne d'Austriche, Paris, P[ierre] Ramier, , 16 p., in-8° (BNF 30482136).
  33. ↑ (la) Rudolf Goclenius le Jeune, Assertio medicinae universalis adversus universalem vulgo jactatam, authore Rodolpho Goclenio [etc.], Marpurgi [à Marbourg], typis R[odolphi] Hutwelckeri [sur les presses de Rudolph Hutwelcker], (BNF 30516309).
  34. ↑ (la) Melchior Goldast, Paradoxon de honore medicorum ad v. cl. Hermannum Conerdingium, doctorem medicum et archiatrum Holsato-Schaumburgicum, in quo Praeceptum Iesu Sirachi apodictice explicatur, et obiter quoque de honore theologorum ac jureconsultorum disseritur, item Digesta regia, sive Constitutiones imperiales [etc.], auctore Melchiore Goldasto Haiminsfeldio, consiliario Holsato-Schaumburgico, Francofurti ad Moenum [à Francfort-sur-le-Main], sumptibus Rulandiorum, typis haeredum Ioannis Bringeri [imprimé pour les Roland sur les presses des héritiers de Joann Bringer], anno m.dc.xx [l'an 1620] (lire en ligne).
  35. ↑ Nicolas Habicot, Question chirurgicale, par laquelle est démontré que le chirurgien doit assurément pratiquer l'opération de la bronchotomie, vulgairement dicte laryngotomie ou perforation de la fluste ou tuyau du polmon, par Nicolas Habicot, Me chirurgien juré en l'université de Paris, Paris, J[ean] Corrozet, m.dc.xx [1620], 108 p., in-8°, fig. (BNF 30566997).
  36. ↑ (la) Peter Holtzheim, Petri Holtzemii Daventriensis, medicinae apud Colonienses professoris ordinarii […], Descriptio fontis medicati S. Antonii, vulgo Tillerborn dicti, prope Andernacum, Coloniae Agrippinae [à Cologne], in officina Birckmannica sumptibus Hermanni Mylii [à l'officine Birckmann pour le compte de Hermann Mylius], anno m.dc.xx [l'an 1620], 50 p., in-8° (lire en ligne).
  37. ↑ (la) Gabriel Illefonsus, De viri et foeminae comparanda foeconditate tractatio, in tres libellos divisa, quorum primus de differentiis et causis agit sterilitatis, seconudus de signis, et tertius de cujusque infoecunditatis curatione, auctore Gabriele Illefonso [etc.], Villabraximae [à Villabraxima], F[rancisco] F[ernandez] de Cordova, 1620 [le colophon porte comme date 1619], in-4°, pièces limin., 200 ff. (BNF 30633554).
  38. ↑ Emmanuel Labadie, Traicté de la peste, divisé en dianostic, pronostic et curation, avec des observations notables, par Emanuel Labadie, juré en chirurgie et pour la contagion à Tolose, à Tolose, par Dominique et Pierre Bosc, (lire en ligne).
  39. ↑ Jean de Lampérière, Traité de la peste, de ses causes et de sa cure, avec les moyens de s'en preserver et les controverses sur ce sujet, divisé en deux parties, par Jean de Lamperiere, medecin, à Rouen, de l'imprimerie de David du Petit Val, m.dc.xx [1620] (lire en ligne).
  40. ↑ David Tavan de Lautaret, Les Merveilles des bains naturels et des étuves naturelles de la ville de Digne en Provence, divisées en deux parties, la theorie et la practique, avec un traicté de leurs serpents sans venim et une sommaire description de tous autres, par M[aître] D[avid] T[avan] de Lautaret, docteur en medicine de l'université de Montpelier, habitant à Digne, à Aix, par Jean Tholosan, m.dc.xx [1620], [16]-151-[6] p. (lire en ligne).
  41. ↑ Léon Colleville, Saint-Clair-sur-Epte : Histoire d'un village, Saint-Clair-sur-Epte, , 53 p. (lire en ligne), p. 7.
  42. ↑ L. S. D. L. [le sieur de Longavesnes (Guillain Nepveu) ?], Les Grandes Vertus et Proprietez de l’eau mineralle et medecinalle de la fontaine nouvellement descouverte à la Hacquiniere, six lieux de Paris, veuë et approuvée par les premiers medecins du roy, ensemble le gouvernement requis et necessaire à l’usage de ceste eau, tant pour la preservation que guarison de plusieurs maladies, dont les effects en apparoissent tous les jours, par L. S. D. L., à Paris, Isaac Mesnier, , 13 f., in-8° (lire en ligne).
  43. ↑ (la) Cesare Mocha, Caesaris Mochae Pedemontani, Augustae Taurinorum civis et medici a cubiculo serenissimorum principum Sabaudiae, Consilia medicinala multis praestantissimis remediis insignita, in quibus vera consultandi methodus explendescit, opus omnibus medicinae professoribus apprime utile, atque compendiosa methodo medendi a principio illustratum, Taurini [à Turin], apud Iacobum Lazaronum et Ubertinum Merulum [chez Giacomo Lazarone et Ubertino Meruli], (lire en ligne).
  44. ↑ (la) Niccolò Mutoni, Μιθριδατειοτεχνία, hoc est De mithridatii legitima constructione Nicolai Mutoni collectanea, sublimam et incudem revocata, polita, emaculata, annotationibus atque controversiis utilibus juxta ac necessariis, locupletata et in publicum novissime producta [etc], Jenae [à Iéna], typis Johannis Beitmanni, impens[is] haered[um] Johannis Eyringii et Johannis Perferti [sur les presses de Johann Beithmann, pour le compte des héritiers de Johann Eyring et de Johann Perfert],‎ anno 1620 [l'an 1620] (lire en ligne).
  45. ↑ David de Planis Campy, Discours de la phlébotomie, ou est monstré en bref les deux temps d'icelle, à sçavoir le temps d'eslection et le temps de necessité, fort utile et necessaire aux chirurgiens qui veulent bien profiter en ceste operation chirurgicale, plus un Traitté des crises où il est monstré comme l'on s'abuze au jugement d'icelles, ne cognoissant le mouvement des astres, le tout par David de Planis Campi, chirurgien, à Paris, Jérémie Périer et Abdias Buisard, m.dc.xx [1620] (réimpr. ibid, 1621 et Rouen, 1642).
  46. ↑ Léonard Poillevé, Histoire veritable de la descouverte de leau minerale de la fontaine de Segray, prés de Pluviers en Beaulce, ensemble les vertus et proprietez qu'elle a en beaucoup d'infirmitez du corps humain, le tout bien experimenté, par L[éonard] P[oillevé], doct. med., à Paris, chez Abraham Saugrain, m.dc.xx [1620], [4]-13 p., in-8° (lire en ligne).
  47. ↑ Thibault Catel, « Exposer ou philosopher ? : Le Discours savant dans les canards sur les calamités naturelles », dans Silvia Liebel (dir.) et Jean-Claude Arnould (dir.), Canards, occasionnels, éphémères : Information et infralittérature en France à l'aube des temps modernes (actes du colloque organisé à l'université de Rouen en septembre 2018), Centre d'étude et de recherche éditer/interpréter, coll. « Actes de colloques et journées d'étude » (no 23), (ISSN 1775-4054, lire en ligne).
  48. ↑ (la) Angelo Sala, Angeli Salae Vicentini Veneti, chymiatri celeberrimi, Descriptio brevis antidoti pretiosi, qua exquisitissima ejus virtutes ususque multiplex variis in morbis et humani corporis affectibus recensentur, nunc primum luci commissa, Marburgi [à Marbourg], typis Pauli Egenolphi [sur les presses de Paul Egenolff], anno mdcxx [l’an 1620], 63 p., in-8° (lire en ligne).
  49. ↑ (la) Angelo Sala, Aphorismorum chymiatricorum synopsis, universa chymiatriae intima fundamenta fines acscopos breviter duabus sectionibus continens, auctore Angelo Sala Vicentino Veneto perillustris ac generos[issi]mi comitis Oldenburgiaci archiatro, Bremae [à Brême], impensis M. Johannis Willii et Johannis Benthemii [pour le compte de Johann Willis et Johann Bentheim], anno 1620 [l'an 1620] (lire en ligne).
  50. ↑ Voir l'approbatur p. 299, de l'édition de 1641 : (la) Giovanni Domenico Sala (it), Ars medica Io[hannis] Dominici Sala Patavini, in qua methodus et praecepta omnia medicinae curatricis et conservatricis explicantur, in hac secunda editione aucta, correcta, addito indice rerum memorabilium, Patavii [à Padoue], apud Franciscum Bolzetta [chez Francesco Bolzetta], m.d.c.xli [1641], 2e éd. (1re éd. 1620) (lire en ligne).
  51. ↑ Jean Roethinger, « Les Eaux minérales d'Alsace », Revue d'Alsace, vol. 137 « Boissons en Alsace de l'Antiquité à nos jours »,‎ , « Soulzmatt », § 111 [en ligne] (lire en ligne).
  52. ↑ (la) Johann Stephan Strobelberger et Laurent Catelan, Joan-Stephani Strobelbergeri e Monte-Pessulano medici, Tractatus novus, in quo de cocco baphica et quae inde paratus confectionis alchermes recto usu disseritur, cui insertus est Laurentii Catelani genuinus ejusdem Confectionis apparandae modus, nunc primum in latinum sermonem e gallicoo breviter conversus, Ienae [à Iéna], typis Johannis Beithmanni [sur les presses de Johann Beithmann], anno 1620 [l'an 1620], [108] p., [1] f. de pl. (tableau), in-4° (lire en ligne).
  53. ↑ (la) Johann Stephan Strobelberger, Recens nec antea sic visa Galliae politico-medica descriptio, in qua de qualitatibus ejus, academiis celebrioribus, urbibus praecipuis, fluviis dignioribus, aquis medicatis, fontibus mirabilibus, plantis et herbis rarioribus, aliisque notatu dignissimis rebus a nemine adhuc publicitus emissis ingenue disseritur [etc.], a Joanne Stephano Strobelbergero, illustris aulae Swanbergicae medico ordinario, Ienae [à Iéna], typis et sumptibus Joh[annis] Beithmanni [sur les presses et aux frais de Johann Beithmann], , in-12 (présentation en ligne).
  54. ↑ Jean-Jacques Kieffer, « [Compte rendu de la communication faite à la séance du 10 juin 1890 sur « un document concernant la flore lyonnaise et remontant à l'an 1620 »] », Bulletin trimestriel de la Société botanique de Lyon, vol. 8, no 1-4,‎ , p. 29-30 (lire en ligne).
  55. ↑ (la) Jean de Varanda, Johannis Varandaei, celeberrimorum academiae Monspeliensis medicorum decani et professoris regii, practici primarii, Tractatus de elephantiasi, seu lepra, item De lue venerea et hepatitide, seu hepatis atonia, nunc primum in lucem editi, Genevae [à Genève], apud Petrum et Jacobum Choüet [chez Pierre et Jacques Chouet], m.dc.xx [1620] (lire en ligne).
  56. ↑ (en) Tobias Venner (en), Via recta ad vitam longam, or A plaine philosophical discourse of the nature, faculties, and effects, of all such things as by way of nourishments, and dieteticall observations [etc.], wherein also, by way of introduction, the nature and choice of habitable places, with the true use of our famous bathes of Bathe, is perspicuously demonstrated, London [Londres], printed by Edward Griffin for Richard Moore [imprimé par Edward Griffin pour Richard Moore], , 195 p. (texte de la 1re édition, et fac-similé de la 2e, 1622).
  57. ↑ (la) Jean Vigier et André du Laurens, Tractatus absolutissimus et accuratissimus de catarrho, rheumatismo, vitiis dentium, linguae, vocis, de immodica et indecora salivatione, et aliis a cerebro destillationibus, de variis authoribus compilatus ; item Andreae Laurentii archiatri regii, cancellarii in celeberrima universitate medicinae Montpelliensi Tractatus excellentissimus de catarrho, e gallico sermone in latinum conversus, per Joannem Vigirium, doctorem medicum Casseronensem, Genevae [à Genève], apud Ioannem Bouchereau [chez Jean Bouchereau], m.dc.xx [1620] (lire en ligne).
  58. ↑ André du Laurens, Discours de la conservation de la veue, des maladies melancholiques, des catharres et de la vieillesse, composez par M. André de Laurens, medecin du roy et son professeur en l'université de medecine de Montpellier, à Tours, chez Jamet Mettayer, m.d.xciiii [1594], XII-275 f., in-12 (lire en ligne).
  59. ↑ Jean-Pierre Seguin, L'Information en France avant le périodique : 517 canards imprimés entre 1529 et 1631, Paris, G.-P. Maisonneuve et Larose, , 129 p. (présentation en ligne).
  60. ↑ Miracle arrivé en la ville de Tongre en Liégeois le 14 août 1620 par la vertu d'une figure de crucifix miraculeusement planté en terre au cloître du couvent des filles de la Magdeleine de ladite ville où journellement est guéri quantité de diverse maladie, le tout suyvant l'attestation des personnes qui ont estez present ausdits miracles, à Paris, jouxte la coppie imprimée à Liege par Leonard Srael, , 6 p., in-8° (lire en ligne).
  61. ↑ (la) Louis de Caseneuve, Hieroglyphicorum et medicorum emblematum δωδεκακρουνος, auctore Ludovico Casanova, consiliario et medico regio, Lugduni [à Lyon], sumptibus Pauli Frellon [au compte de Paul Frellon],‎ m.dcxxvi [1626] (lire en ligne).
  62. ↑ « Caseneuve, Louis de, actif en 1620 », dans Catalogue de la bibliothèque numérique de Lyon. Anciens possesseurs, s. d. (lire en ligne).
  63. ↑ Pierre Julien, « Chirurgien-apothicaire à Valognes (Manche), à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe [compte rendu, référence : Hervé Lefevre, Mauquest de La Motte, chirurgien-apothicaire en « l'isle du Cotentin », 1655-1737 (thèse pour l'obtention du doctorat en médecine, Caen, 1981), s. l., n. n., , 194 p., carte, fac-sim., multigraphié, in-4°] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 70, no 253,‎ , p. 140 (lire en ligne).
  64. ↑ Paul Hildenfinger, La Léproserie de Reims du XIIe au XVIIe siècle, Reims, Léon Michaud, coll. « Travaux de l'Académie nationale de Reims » (no 116, t. 2), 1903-1904 (lire en ligne), p. 287.
  65. ↑ Marine Goburdhun (dir. Jean Boutier), Le Monde médical du Mezzogiorno moderne (thèse de doctorat en histoire soutenue le à l’École des hautes études en sciences sociales), Paris, , 409 p. (lire en ligne), p. 253.
  66. ↑ (en) William Munk (en), The Roll of the Royal College of Physicians of London, Londres, RCP, (1re éd. 1861) (lire en ligne), « William Parker b.? d.? ».
  67. ↑ Trois provinces de l'Est : Lorraine, Alsace, Franche-Comté (préf. Charles-Edmond Perrin), Strasbourg, Paris, François-Xavier Le Roux, coll. « Publications de la Société savante d'Alsace et des régions de l'Est » (no 6), , XV-447-[12] p. (SUDOC 023793066), p. 29.
  68. ↑ Théodore Vetter, « Barbette, Paul », dans Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, Strasbourg, Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace, (lire en ligne).
  69. ↑ (en) John Crellin, « Théophile Bonet (1620-1689) », The American Journal of Pathology, vol. 98, no 1,‎ , p. 212 (lire en ligne).
  70. ↑ Consulter le texte de la cinquième édition : (en) John Graunt, Natural and Political Observations Mentioned in a Following Index and Made upon the Bills of Mortality, by Capt. John Graunt, fellow of the Royal Society […], The fifth edition, much enlarged [5e édition, beaucoup augmentée], London [Londres], John Martyn, mdclxxvi [1676] (lire en ligne).
  71. ↑ Éric Vilquin, « Une édition critique en français de l’œuvre de John Graunt (1620-1674) : Présentation d'un ouvrage hors collection de l'Ined », Population, vol. 33, no 2,‎ , p. 413-423 (lire en ligne).
  72. ↑ José Frèches, « François Bernier, philosophe de Confucius au XVIIe siècle », Bulletin de l'École française d'Extrême-Orient, vol. 60,‎ , p. 385-400 (lire en ligne).
  73. ↑ Hubert Steinke (de) (trad. Florence Piguet), « Johann Jakob Wepfer », dans Dictionnaire historique de la Suisse, Académie suisse des sciences humaines et sociales, (lire en ligne).
  74. ↑ Jean M. Guy, « Leading a Double Life in 17th-Century Oxford : Ralph Bathurst [1620-1704), physician-physiologist and cleric », Journal of Medical Biography, vol. 14, no 1,‎ , p. 17-22 (présentation en ligne).
  75. ↑ Albert Champdor (dir.), Vieilles chroniques de Lyon, vol. 9, éditions Horvath, , 156 p. (lire en ligne), « Un poète anatomiste », p. 95 et suiv.
  76. ↑ Bernadette Molitor, « Brunier, Brunyer, Pierre-Édouard (1729-1811) », dans Le Monde médical à la cour de France. Base de données, Cour de France, (lire en ligne).
  77. ↑ (it) Luigi Torraca, « Genga, Bernardo (o Bernadino) », dans Enclopedia italiana, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  78. ↑ « Genga, Bernardino », dans Thesaurus, Londres, CERL, s. d. (lire en ligne).
  79. ↑ Armand Lods, « Thomas La Grue 1620-1680 », Bulletin historique et littéraire de la Société de l'histoire du protestantisme français, vol. 49, no 6,‎ , p. 329 (lire en ligne).
  80. ↑ Christian Warolin, « Armand-Jean de Mauvillain (1620-1685), ami et conseiller de Molière, doyen de la faculté de médecine de Paris (1666-1668) », Histoire des sciences médicales, t. 39, no 2,‎ , p. 113-129 (lire en ligne).
  81. ↑ « Robert Morison (1620-1683) », sur Data BnF, [lire en ligne (page consultée le 9 août 2021)].
  82. ↑ Jean-Eugène Dezeimeris, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 4 : Roeschlaub-Zwinger, Paris, Béchet jeune, (lire en ligne), « Tassin (Léonard) », p. 250.
  83. ↑ Didier Kahn, La Bibliotheca chimica de Pierre Borel (1654), CCSD Archives ouvertes HAL, , 19 p. (lire en ligne).
  84. ↑ a et b Jean-Jacques Peumery, « La Disgrâce d'Antoine Daquin, Premier médecin de Louis XIV (1693) », Vesalius, vol. 2, no 2,‎ , p. 80 (lire en ligne).
  85. ↑ (en) Natalie Hawkes, Antoine Daquin, Premier Médecin to Louis XIV (1672-1693) (article inédit publié dans le cadre du projet de recherche "La Médecine à la cour de France"), Cour de France, (lire en ligne), n. 1.
  86. ↑ « Campion, Thomas (1567-1620) », BNF 12196480
  87. ↑ (en) A[nn] H[ughes], « Mildmay, Lady Grace (c.1552-1620) », dans A Historical Dictionary of British Women, Londres, Europa Publications Limited, (1re éd. 1983), 500 p. (lire en ligne), p. 316-317.
  88. ↑ Christian Warolin, « Denis Garanjon, apothicaire parisien, victime de la peste faubourg Saint-Honoré à Paris au début du XVIIe siècle », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 104, no 393,‎ , p. 13-20 (lire en ligne).
  89. ↑ Ludovic Legré, Pierre Pena et Mathias de Lobel, Marseille, H. Aubertin et G. Rolle, , 268 p. (lire en ligne).
  90. ↑ Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 3, Mons, H. Hoyois, (lire en ligne), « Pomius ou Poma (Joseph) », p. 601-602.
  91. ↑ « Pontoux, Nicolas de, 1574-1620 », dans Catalogue. Anciens possesseurs, Numelyo : Bibliothèque numérique de Lyon, (lire en ligne).
  92. ↑ Guy Patin et Loïc Capron (éd.), Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « À Claude II Belin, le  », n. 16.
  93. ↑ Rafael Roldán Guerrero (es) (trad. Eugène-Humbert Guitard), « Jean Béguin et la découverte de l'acétone », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 43, no 147,‎ , p. 207-209 (lire en ligne).
  94. ↑ Pierre Labrude, « Les Premiers Chimistes lorrains : La Chimie en Lorraine ducale aux XVIIe et XVIIIe siècles », Études touloises, no 137,‎ , « Jean Béguin », p. 18 [bibliographie en note] (lire en ligne).
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=1620_en_santé_et_médecine&oldid=216816919 ».