BB 67400 — Wikipédia
Exploitant(s) | SNCF |
---|---|
Désignation | BB 67401 à 67632 |
Type | locomotive |
Motorisation | Diesel-électrique |
Couplage | UM ; réversibilité |
Construction | 232 locomotives |
Constructeur(s) | BL, MTE |
Livraison | de 1969 à 1975 |
Effectif | 58 au |
Retrait | en cours, depuis 2009 |
Affectation | VFE, CIC, Fret, TER, Infra, Matériels. |
Disposition des essieux | B'B' |
---|---|
Écartement | standard (1 435 mm) |
Carburant | gazole |
Moteur thermique | 1 * SEMT Pielstick V16 PA 4 |
Moteurs de traction | 2 * CTS 66.43.4 1 460 V à ventil. forcée |
Transmission | unilatérale |
Puissance continue | 1 765 kW |
Capacité en carburant | 3 400 L |
Consommation | 3 L/km |
Masse en service | 83,3 t |
Longueur | 17,090 m |
Largeur | 2,940 m |
Hauteur | 4,140 m |
Empattement | 9,800 m |
Bogies | Y 217 |
Empattement du bogie | 2,500 m |
Diamètre des roues | Ø1260 |
Vitesse maximale | 140 km/h |
Les BB 67400 forment une série de locomotives diesel-électriques construites à 232 exemplaires pour la SNCF par Brissonneau et Lotz (BL) et Matériel de traction électrique (MTE). Elles ont été commandées le , et la première a été mise en service le au dépôt de Chambéry.
Description
[modifier | modifier le code]Ces locomotives sont aptes à circuler en unités multiples (UM) avec les machines de la même série et de la série 67300, ainsi qu'en réversibilité pour les trains de voyageurs. Elles sont dérivées des BB 67000.
Parc
[modifier | modifier le code]On compte 66 machines en service au 4 octobre 2022 réparties entre CIC, Fret, TER, Infra et la Cellule Matériel Radié (CMR).
Services effectués
[modifier | modifier le code]Service voyageurs
[modifier | modifier le code]Intercités et services grandes lignes antérieurs
[modifier | modifier le code]- Angoulême - Saintes - Royan ;
- Auray - Quiberon ;
- Bordeaux - Nantes ;
- Nantes - Clisson - Cholet - Angers-Saint-Laud[3] (avec Rame Réversible Régionale)
- Nantes - La-Roche-sur-Yon - Les-Sables-d'Olonne[3]
- Caen - Tours (jusqu'en janvier 2012) ;
- Chambéry - Bourg-Saint-Maurice, en unité multiple (jusqu'en 1988, suite à électrification pour les Jeux Olympiques de 1992) ;
- Clermont-Ferrand - Aurillac ;
- Clermont-Ferrand - Neussargues (L’Aubrac, avec voitures Corail) ;
- Clermont-Ferrand – Nîmes (Le Cévenol, avec voitures Corail) ;
- Clermont-Ferrand - Bordeaux (jusqu'à la suppression de la relation en 2014) ;
- Dijon - Nevers - Moulins ;
- Lyon - Nantes (Rhône-Océan) en unité multiple (UM) lorsque la rame comportait plus de 12 voitures et ne pouvait pas être tractée par une CC 72000 ;
- Lyon - Brest en unité multiple (UM) lorsque la rame comportait plus de 12 voitures et ne pouvait pas être tractée par une CC 72000 ;
- Marseille - Veynes - Gap - Briançon, par la ligne de Lyon-Perrache à Marseille-Saint-Charles (via Grenoble) et celle de Veynes à Briançon
- Marseille - Miramas - (inclut l'itinéraire via Aix-en-Provence) - Cavaillon - Avignon - Orange - Valence[3]
- Rennes - Saint-Brieuc - Plouaret-Trégor - Lannion (à compter du 23 avril 1987 sur la branche Bretagne-Nord les relais de traction s'effectuent dans la seconde gare d'un train de jour tri-tranches saisonniers supplémentaire puis régulier lors de la mise en service du TGV-Atlantique le 24 septembre 1989 qui comporte des voitures Saint-Malo et Quiberon. Le train de nuit de même catégorie tracé via Nantes auparavant qui comporte des voitures Quiberon et maintenant la ville citée ci-dessous l'est par cet itinéraire du fait de l'électrification le 29 septembre 1991 de la branche Bretagne-Sud.
- Rennes - Saint-Malo
- Paris – Amiens – (avec voitures Corail, uniquement sur la partie Amiens – Boulogne) ;
- Paris – Bâle (en août 1980) ;
- Paris – Briançon (Intercités de nuit, uniquement sur la partie Valence – Briançon) ;
- Paris – Caen – Cherbourg (avec voitures Corail, en plus des RTG jusqu'en 1996) ;
- Paris – Clermont-Ferrand (avec voitures Corail, jusqu'à l'électrification de la ligne) ;
- Paris – Bourges – Montluçon (avec voitures Corail, uniquement sur la partie Bourges – Montluçon, jusqu'en 2019)
- Paris – Rouen – Dieppe (uniquement sur la partie Rouen - Dieppe, jusqu'en 2014) ;
- Rodez - Brive
- Rodez - Sévérac-le-Château
- Paris – Brive – Rodez – Albi (Intercités de nuit, uniquement sur la partie Brive – Albi, et lors d'indisponibilité des BB 75300)
- Paris – Brive – Aurillac (Intercités de nuit, uniquement sur la partie Brive – Aurillac, et lors d'indisponibilité des BB 75300)
(liste non exhaustive)
- Clermont-Ferrand - Thiers - [4]Saint-Romain-le-Puy - Saint-Étienne (avec Rame Réversible Régionale)
- Clermont-Ferrand - Laqueuille - Le Mont Dore (avec Rame Réversible Régionale)
- Clermont-Ferrand - Gannat (avec Rame Réversible Régionale)
- Clermont-Ferrand - Langeac (avec Rame Réversible Régionale)
- Clermont-Ferrand - Moulins-sur-Allier (avec Rame Réversible Régionale)
- Clermont-Ferrand - Thiers (avec Rame Réversible Régionale)[4]
- Axe régional sur la Ligne de Paris à Granville avec la Gare de Dreux (avec Rame Inox Omnibus)
- Caen - Mézidon - Lisieux - Serquigny - Glos-Montfort - Elbeuf-Saint-Aubin - Sotteville (avec Rame Inox Omnibus ou Rame Réversible Régionale)
- Lisieux - Trouville-Deauville et jusqu'à l’électrification en 1996 Dives-Cabourg, ainsi que sur l'axe radial régional de la Ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg (avec Rame Inox Omnibus)
- Rouen-Rive-Droite - Sotteville - Val-de-Reuil - Vernon - Mantes-laJolie (avec Rame Réversible Régionale)
- Sotteville - Elbeuf-Saint-Aubin - Glos-Montfort - Serquigny - Lisieux - Mézidon - Caen (avec Rame Réversible Régionale)
- Lyon - Roanne (avec Rame Réversible Régionale)
- Saint-Étienne - Le-Puy-en-Velay (avec Rame Réversible Régionale)
- Valence - Grenoble - Chambéry - Annecy (avec Rame Réversible Régionale)
- Valence - Grenoble - Chambéry - Culoz - Genève (avec Rame Réversible Régionale, jusqu’en 2014)
- Valence - Romans-sur-Isère - Moirans - Grenoble - Gières - Montmélian - Chambéry - Aix-les-Bains - Culoz - Bellegarde et Genève-Cornavin (sur le parcours sans être intégral avec Voiture Unifiée de Service Intérieur, Voiture Corail TU[5]
TER Bretagne (jusqu'en 1992[6] avec échange des 67300[4] qui arrivent sur Rennes)
[modifier | modifier le code]- Auray - Quiberon[6] (avec Rame Réversible Régionale)[7]
- Rennes - Châteaubriant[6] (avec Rame Réversible Régionale)
- Rennes - Saint-Malo[6] (avec Rame Réversible Régionale)
- Rennes - Saint-Brieuc[6] (avec Rame Réversible Régionale)
- Rennes - Laval[6] (avec Rame Réversible Régionale)
- Rennes - Redon[6] (avec Rame Réversible Régionale)
- Mulhouse - Thann - Kruth (avec voitures Corail et RRR)
- Strasbourg - Haguenau - Wissembourg (RRR)
- Strasbourg - Rœschwoog - Lauterbourg[3] (avec RRR)
- Strasbourg - Molsheim - Obernai - Barr (avec RRR)
- Strasbourg - Rothau - Saales - Saint-Dié[4] (avec RRR)
- Strasbourg - Sarreguemines (avec voitures Corail jusqu'en avril 2016)
- Strasbourg - Saverne (avec voitures Corail et RRR)
- Paris Est - La Ferté-Milon (avec RIB, jusqu'au 10 juillet 2020)
- Paris Est - Longueville - Provins (avec RIB, jusqu'en 2009)
- Toulouse - Albi - Rodez (avec Rame Réversible Régionale)
- Toulouse-Mazamet (avec Rame Réversible Régionale)
- Amiens - Abbeville - Le Tréport (avec RRR)
- Amiens - Abbeville - Boulogne-Ville (avec voitures Corail)
- Amiens - Montdidier - Compiègne (avec RRR)
- Amiens - Saint-Quentin (avec RRR)
- Amiens - Tergnier - Laon (avec RRR)
- Creil - Beauvais (avec RRR, jusqu'en septembre 2015)
- Paris-Nord - Beauvais - Le Tréport (avec RRR)
- Paris-Nord - Laon (avec voitures Corail, jusqu'en décembre 2015)
- Laon - Le Tréport (avec voiture Corail, jusqu'en 2014)
- Lille - St Pol sur Ternoise (avec RIO, pouvant être assuré avec des BB 66400)
- Marseille - Ligne des Alpes (avec Rame Inox Omnibus[8] et Rame Réversible Régionale)[9]
- Marseille - Cavaillon - Avignon (avec Rame Inox Omnibus et Rame Réversible Régionale)
- Marseille - Miramas (avec Rame Inox Omnibus[10] et Rame Réversible Régionale via la ligne de la Côte Bleue)
- Marseille - Toulon[4] - Hyères[3] (avec Rame Inox Omnibus et Rame Réversible Régionale en l'absence ou renfort des BB 25500)
Service fret et régimes antérieurs
[modifier | modifier le code]Les BB 67400 ont effectué leurs dernières dessertes fret le 18 décembre 2023.
- Nantes[11]/Rennes[11] - Auray - Pontivy[12] ou ligne de Savenay à Landerneau
- Rennes - Saint-Brieuc - Brest
- Clermont-Ferrand - Neussargues - Saint-Chély-d'Apcher
- Clermont-Ferrand - Laqueuille - Le Mont-Dore
- Limoges - Verneuil-sur-Vienne
- Beauvais - Creil
- Clermont-Ferrand - Thiers - Saint-Étienne
- Culmont-Chalindrey - Saulon
- Fos-sur-Mer - Rognac - Aix-en-Provence - Gardanne (convois réguliers de bauxite et d’alumine)
- Montluçon - Lavaufranche
- Lille Délivrance - Anvers
- Lille-Délivrance - Tergnier
- Roanne - Saint-Germain-des-Fossés
- Somain - Anvers
- Somain - Quenast (Belgique)(train de ballast, jusqu'en 2022)
- Valence - Grenoble - Chambéry
- Vierzon - La Guerche-sur-l'Aubois - Marseilles-lès-Aubigny (trains entiers de charbon et de ciment)
(liste non exhaustive)
Dépôts titulaires
[modifier | modifier le code]Situation avant 2012
- Bordeaux
- Caen
- Chalindrey[11]
- Chambéry (de 1969 à..., 29 exemplaires fin 1975)
- La Plaine (24 exemplaires fin 1975)
- Limoges (18 exemplaires fin 1975)
- Marseille-Blancarde
- Nantes[11]
- Nevers (15 exemplaires fin 1975)
- Nîmes (jusqu'à 75 exemplaires fin 1975, puis transfert à Nevers en 1987)
- Rennes (27 exemplaires fin 1975)
- Saint-Pierre-des-Corps (Entre le 1er juillet 1975 jusqu’à égalité ou supérieur au 1er janvier 1976[13] et 4 exemplaires au 31 juillet 2011)
- Strasbourg (15 exemplaires fin 1975)
- Vénissieux (25 exemplaires fin 1975)
- Longueau (51 exemplaires au 31 juillet 2011)
Situation par dépôt au 30 juillet 2024
[modifier | modifier le code]Répartition des 58 locomotives
STF | Désignation | Ville | Nombre de machines |
---|---|---|---|
SLI | STF Infrarail | Chalindrey | 41 locomotives, dont 21 machines à la cellule matériel radié (CMR)[à vérifier] |
SPC | STF Provence-Alpes-Côte d'Azur | Marseille | 3 locomotives |
SRA | STF Rhône-Alpes | Chambéry | 3 locomotives |
STA | STF Alsace | Strasbourg | 6 locomotives |
SVI | STF Voyages - Intercités | Villeneuve Saint-Georges | 5 locomotives |
CMR | BB 67406, 67413, 67416, 67450, 67451, 67456, 67470, 67514, 67522, 67542, 67556, 67558, 67573, 67574, 67590, 67596, 67611, 67613, 67614, 67615, 67626[à vérifier] |
Les superviseurs techniques de flottes
[modifier | modifier le code]- STF Aquitaine : entité créée en 2011 par la SNCF qui gère le matériel moteur de SNCF Proximités (TER et TET en Aquitaine). Ce superviseur est basé au dépôt de Bordeaux.
- STF Auvergne : entité créée en 2011 par la SNCF qui gère le matériel moteur de SNCF Proximités (TER et TET en Auvergne). Ce superviseur est basé au dépôt de Nevers.
- STF Alsace : entité créée en 2011 par la SNCF qui gère le matériel moteur de SNCF Proximités (TER et TET en Alsace). Ce superviseur est basé au dépôt de Strasbourg.
- STF INFRA SLI : entité interne SNCF gérant le parc des locomotives Diesel et électriques dédiées à SNCF Infra. Ce superviseur est basé à Chalindrey.
- STF Locomotives thermiques Fret : entité créée en 2015 par la SNCF qui gère le parc des locomotives Diesel dédiées à Fret SNCF. Ce superviseur est basé au dépôt de Longueau.
- STF Picardie : entité créée en 2011 par la SNCF qui gère le matériel moteur de SNCF Proximités (TER, TET et Transilien dans les Hauts-de-France et en Île-de-France). Ce superviseur est basé au dépôt de Longueau.
- STF Provence-Alpes-Côte d'Azur : entité créée en 2011 par la SNCF qui gère le matériel moteur de SNCF Proximités (TER et TET en PACA). Ce superviseur est basé au dépôt de Marseille-Blancarde.
Machines particulières
[modifier | modifier le code]- BB 67419 et BB 67537 : au cours de l’hiver 1980-1981, ces deux locomotives sont équipées du freinage électrique rhéostatique. Fin , on les retrouve pour des essais à 160 km/h entre Paris-Est et Châlons-sur-Marne, où elles circulent seules ou en unités multiples (UM). Les essais s’arrêtent mais elles conservent le rapport de réduction, avec roulement particulier : 1 115 t pour le fret à 80 km/h, 990 t pour les messageries à 100 km/h, 430 t pour les voyageurs à 140 km/h. Elles sont remises au type en 1992 pour la BB 67537 et en 1994 pour la BB 67419[14].
- BB 67424 : seule locomotive de la série à porter la livrée Isabelle depuis le 25 avril 2021, ce qui en fait la troisième locomotive à avoir reçu cette livrée.
- BB 67427 : une fois radiée, cette locomotive a été récupérée début avril 2016 par le centre de formation de Blainville et utilisée comme support aux formations sur le terrain. À la suite du déménagement du centre à Nancy à la fin de 2018, elle est restée à l’abandon, avant d’être finalement envoyée au ferraillage à Baroncourt à l’été 2022.
- BB 67458 et BB 67465 : le 25 janvier 2011, ces locomotives ont été fortement endommagées alors qu’elles circulaient en unité multiple avec une troisième machine en véhicule, lors de la collision à un passage à niveau de Balbigny (ligne Roanne - Saint-Étienne) entre leur train de fret et un convoi exceptionnel transportant des poutres métalliques pour le chantier de l’autoroute A89[15].
- BB 67580 : seule BB 67400 encore en état quasi d’origine.
- BB 67611 et BB 67613 : bénéficient en 2019 de la livrée dite Capitole[16] (jadis réservée aux quelques BB 9200 ayant eu à leur charge la traction du Capitole).
- BB 67632 : dernière locomotive Diesel livrée en France au XXe siècle, le 31 octobre 1975. Elle a été radiée des effectifs le 22 octobre 2010.
Livrées des BB 67400
[modifier | modifier le code]- Livrée d'origine « Bleue Diesel » avec flèches en relief.
- Livrée d'origine « Bleue Diesel ».
- Livrée « Fret ».
- Livrée « Corail + ».
- Livrée « En Voyage » (côté bleu).
- Livrée « En Voyage » (côté mauve).
- Livrée « Infra ».
- Livrée « Capitole ».
Préservation
[modifier | modifier le code]- BB 67575 : préservé par la Cité du train à Mulhouse (Haut-Rhin) en livrée Infra.
Modélisme
[modifier | modifier le code]Cette locomotive a été reproduite à plusieurs échelles :
- en 1 par la firme JK-Models ;
- en 0 par la firme AMJL ;
- en HO par les firmes Jouef, Lima, Mistral (Stéphane Levaux)[17], Piko et REE ;
- en N par les firmes Minitrix, Mistral (Stéphane Levaux)[17] et Vapeur70[18] ;
- en Z par la firme nantaise AZAR MODELS.
Dans la culture
[modifier | modifier le code]- 1984 : deux BB 67400 apparaissent au cinéma dans le film Rue barbare.
- 1995 : les BB 67455, BB 67494, BB 67542 et BB 67549 apparaissent au cinéma dans le film French Kiss.
- 1998 : la gare de La Souterraine apparaît dans le film de Patrice Chéreau Ceux qui m'aiment prendront le train. À la 25e minute de ce film, la première vue complète du train en permet de constater qu'il est tracté par une CC 72000. Pourtant, à la 39e minute de ce film, l'unique vue complète du train qui repart de la gare de La Souterraine est tracté par une BB 67000 ou l'une de ses versions (gros plan sur la locomotive à la 40e minute sans que le numéro de série soit lisible).
Références
[modifier | modifier le code]- Revue bimestrielle Voies Ferrées, Le matériel moteur de la SNCF, en plusieurs articles sur plusieurs numéros par année
- Revue mensuelle Rail Passion, État trimestriel du matériel moteur SNCF, un article par trimestre
- Georges Mathieu, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail, , 3e éd. (1re éd. 1992), 352 p. (ISBN 978-2-902-80875-5), « Locomotives diesel et locotracteurs », p. 203 et 303
- Georges Mathieu, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail, , 2e éd. (1re éd. 1992), 334 p. (ISBN 978-2-902-80848-9), « Locomotives diesel et locotracteurs », p. 191 et 302
- Georges Mathieu, Le matériel remorqué de la SNCF, Paris, La vie du rail, , 1re éd., 382 p. (ISBN 2-902 808-92-5), « La SNCF et les régions - TER RHÔNE-ALPES », p. 276 - 291
- Georges Mathieu, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail, , 1re éd., 302 p. (ISBN 2-902 808-37-2), « Locomotives diesel et locotracteurs », p. 189
- Jehan-Hubert Lavie, « Projet de réseau "La Gare de Plouharnel-Carnac" », Loco-Revue, no 532, , p. 833 à 837 sur l'ensemble des onze numéros à l'année ou 28 à 32 au mois.
- Marc Carémantrant et Jean-Claude Bois (photogr. Jacques Bellanger), Le rail français en 1982, Montgeron, Biblio-rail, , 1re éd., 91 p. (ISBN 2-904493-00-X), « SNCF : les événements », p. 7-8-24
- Gérard Blier, Nouvelle géographie ferroviaire de la France, t. II : L'organisation régionale du trafic, Paris, La vie du rail, , 383 p. (ISBN 978-2-902-80843-4), chap. 4 (« Le quart sud-est »), p. 238
- Marc Carémantrant et Jean-Claude Bois (photogr. Jean-Louis Poggi), Le rail français en 1983, Montgeron, Biblio-rail, , 119 p. (ISBN 2-904493-01-8), « SNCF : les événements », p. 28
- Jacques Defrance, État Numérique du Parc Moteur SNCF, Paris, Éditions Modernes et Illustrées, , 73 p., p. 31
- Loïc Fieux, Les locomotives BB de France, Auray, Loco-Revue, , 227 p. (ISBN 2-903651-28-0), 1ère partie, les locomotives diesel, « La grande famille noble », p. 155 - 181 à 190
- Jacques Defrance, Le Matériel Moteur de la SNCF, Paris, La Vie du Rail, (réimpr. 1977 pour la quatrième édition), 4e éd. (1re éd. 1960), 661 p., p. 559
- « L'Activité Diesel-Electrique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur histoire-des-ateliers-de-quatre-mares.fr (consulté le ).
- La ligne SNCF Saint-Étienne – Roanne fermée jusqu'à jeudi en raison d'un accident à un passage à niveau, sur 20minutes.fr, 25 janvier 2011. Consulté le 9 janvier 2013.
- « Liste des BB 67400 » [PDF], sur Trains du Sud-Ouest, Le parc matériel moteur SNCF (consulté le ), page 4, lignes BB 67611 et BB 67613.
- Clive Lamming, 3000 Modèles Réduits Ferroviaires, t. II, Toulouse, Milan, , 246 p. (ISBN 2-84113-451-2), p. 86
- Christophe Phulpin, « BB 67400 chez Vapeur70 »
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, N.M. La Vie du Rail, 1969 (réédition 1978).
- Denis Redoutey, Le matériel moteur de la SNCF, La Vie du Rail, 1969 (réédition 2007) (ISBN 978-2-915034-65-3).
- Maurice Mertens et Jean-Pierre Malaspina, La légende des Trans-Europ-Express, LR Presse, 2007 (ISBN 978-2-903651-45-9), avec les BB 67400 du TEE Catalan Talgo.
- « Les diesels de ligne », Rail Passion, no hors série, novembre 2007.
- Olivier Constant, « L'encyclopédie du matériel moteur », t. 7 : « Les locomotives diesels », Le Train, septembre 2010 (ISSN 1296-5537), incluant les BB 67400.