Distroff — Wikipédia
Distroff | |
L’église paroissiale Sainte-Catherine. | |
Blason | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Thionville |
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Arc mosellan |
Maire Mandat | Manu Turquia 2020-2026 |
Code postal | 57925 |
Code commune | 57179 |
Démographie | |
Gentilé | Distroffois |
Population municipale | 1 836 hab. (2021 ) |
Densité | 232 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 19′ 58″ nord, 6° 16′ 02″ est |
Altitude | Min. 163 m Max. 257 m |
Superficie | 7,93 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Luxembourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Metzervisse |
Législatives | Neuvième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-distroff.fr |
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Distroff est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est.
Ses habitants sont appelés les Distroffois et sont au nombre de 1836 en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Distroff est un village situé au nord-ouest du département de la Moselle, dans le pays thionvillois ; à plus ou moins 8 km de Thionville, 32 km de Metz et 43 km de Luxembourg-Ville.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Bibiche[Carte 1].
La Bibiche, d'une longueur totale de 22,6 km, prend sa source dans la commune de Bettelainville et se jette dans la Moselle à Basse-Ham, après avoir traversé dix communes[1].
La qualité du ruisseau la Bibiche peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 801 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Distroff est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,9 %), forêts (18,2 %), prairies (14,9 %), zones urbanisées (12,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]- En francique lorrain : Dischtrof[14] et Dischdrëf.
- En allemand : Disdorf[15] et Diesdorf[16].
Mentions anciennes
[modifier | modifier le code]Selon Ernest de Bouteiller, ce village est mentionné pour la première fois dans un document de l'abbaye de Bouzonville sous le nom de Dilgendorf en 1179[17]. Par la suite, le nom de cette localité est mentionné sous diverses formes, dont les suivantes : Thiesdorf (1224)[17], Thikestorf (1235)[18], Dickesdorf (XIIIe siècle)[18], Tiekestorf (1310)[17], Diestorf (1371)[17], Diestorff et Dickelstrof (XVe siècle)[17], Distorffz (1485)[17], Distorff (1511)[17], Diestroff et Diestorff (1698)[17], Distroff (1793)[19], Diestorff (1801)[19], Disdorf communément écrit Distroff (1863)[18].
Pendant la période de l'Alsace-Lorraine (1871-1918), ce village porte le nom de Diesdorf[20].
Étymologie
[modifier | modifier le code]La mention germanique Dickesdorf du XIIIe siècle signifie « gros village »[18] ; sauf si le terme Dickes a pour origine un nom propre[18], qui pourrait être le nom germanique Tezo[21] ou Thieko.
En Moselle, concernant -troff, des réunions de huttes ou hoben ont créé des dorff (village), dont Distroff[22].
Au XIXe siècle, Distroff est aussi le nom d'un hameau de la commune de Schwerdorff, celui-ci est mentionné en 1817[23] et en 1868[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Il est établi que Distroff existait dès l'époque romaine.
En 936, l'église de Trèves céda le domaine de Distroff, villa Théodorica, à Ada, fille de Folrad, nièce de Roger, évêque de Trèves ; mais dû abandonner le domaine qu'elle possédait à Marienthal près de Sierck-les-Bains.
La famille portant le nom de Distroff apparaît pour la première fois en 1224 avec Eustache de Distroff.
La seigneurie de Distroff avait le statut de « seigneurie haute justicière »[18], elle s'étendait au sud du comté de Luxembourg et comprenait de vastes domaines s'étendant sur les communes de Kuntzig, Stuckange, Heckling (détruit en 1631 à la guerre de Trente Ans)[Note 3], Metzervisse et Volstroff. Situés de part et d'autre de la Bibiche, ces villages constituaient le centre de la seigneurie avec des propriétés excentrées telles que Rurange, Direval (village disparu sur le ban d'Ennery), Kœnigsmacker vendue aux comtes de Luxembourg en 1370, Mancy près de Luttange, Mondelange et Ay.
Le château de la seigneurie est mentionné pour la première fois en 1309, près de la vigne et de la parcelle encore appelée « derrière le château » au XXIe siècle. Il était donc déjà situé en lieu et place de celui qui fut rasé en 1985.
En 1495, Georges de Schiffeldange, sous-prévost de Thionville, acquit la seigneurie après la disparition de la famille Distroff et le domaine fut rapidement morcelé.
En , le village luxembourgeois de Distroff est cédé au royaume de France par les Pays-Bas Espagnols, en vertu des articles 38 et 41 du traité des Pyrénées.
Au XVIIIe siècle, Distroff dépendait du bailliage de Thionville[17] ; sachant qu'à cette époque une partie du village appartenait à la seigneurie de Metzervisse et une autre partie à la seigneurie de Meilbourg[17].
Sur le plan spirituel, Distroff était le siège d’un « vicariat résident » qui dépendait de la paroisse de Metzervisse[17].
Jean-Baptiste Pantaléon Durand, avocat au parlement de Metz, décida de reconstituer l'intégralité du domaine. Sous son règne le château fut relevé en conservant trois des quatre tours initiales.
Après la Révolution française, le village se développa tout au long du XIXe siècle.
Après l'annexion allemande en 1871 et l'effort d'industrialisation de l'occupant, le visage de la commune se transforma radicalement.
Une usine de ciment fut créée en 1891 ainsi qu'un site moderne de fabrication de chaux en 1893 (usine Lothringer Portland-Cement-Werke, société Dingler und Schweister de Cologne).
Entre 1811 et 1902, Kuntzig et Stuckange font partie de la commune de Distroff[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2021, la commune comptait 1 836 habitants[Note 4], en évolution de +7,94 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Linguistique
[modifier | modifier le code]Dans le dialecte francique de Distroff, il y a deux diphtongues, qui sont [ai] et [au][29].
Les dialectes de Distroff, de Stuckange et de Volstroff ont en commun les mots : Paipolter (papillon)[29], Wod (mollet)[29] et Lappéng (lapin)[29].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Découverte d'une tête de bélier en bronze.
- Château[30] : du château primitif construit au XVe siècle, seules subsistent les tours Nord-Ouest et Sud-Ouest. Au milieu du XVIIIe siècle François Benoît Durand fait reconstruire le château. La chapelle castrale est reconstruite en 1736, (date portée par le fronton du portail). Le portail d'accès à la cour du château est construit en 1771 (date portée sur les clefs intérieure et extérieure). François Michel Durand ajoute en 1771 un grand bâtiment au sud-est de la cour destiné à abriter la bibliothèque et à loger les employés. Ce bâtiment est reconstruit au milieu du XIXe siècle en même temps que la plupart des dépendances. La ferme occupant l'aile Ouest de ces dépendances est reconstruite en 1846 (date portée sur le linteau de la porte piétonne). La chapelle castrale fait office d'église paroissiale jusqu'en 1910 et est démolie en 1956, à l'exception de la tour clocher.
- Le vieux château[31],[30] : édifice classé, de style Renaissance et en attente de restauration. Malgré le mauvais état actuel on devine ce que devait être l'édifice construit en 1615 par Adam de Sybricht de Neuerbourg, co-seigneur de Distroff. Les armoiries du fronton n'existent plus au XXIe siècle.
- La porterie de la cour du château, avant qu'elle soit dépouillée de son arche et de son fronton.
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale Sainte-Catherine ; elle date de 1910 et remplace l'ancienne chapelle castrale du XVIIIe siècle devenue trop exiguë[32].
- Calvaire de la Grand Rue.
- Calvaire du Voos (1619). Cette croix se dresse sur un terrain appartenant à la commune. Son état est intact, quoique son aspect trahisse son âge. Pour le protéger, le maire de Distroff l'a fait entourer d'une grille et, pour lui donner un air plus majestueux, il l'a flanquée de deux marronniers. Cette croix occupait jadis une autre place : au tournant du « Lohweg », en venant du village. Pendant la Révolution française, elle avait été enterrée dans un champ appartenant actuellement à M. Scheitzer. Cela sans doute pour la soustraire à la fureur révolutionnaire. En 1908, elle fut dressée à la place qu'elle occupe au XXIe siècle. Au temps de nos pères, les fidèles de Distroff venaient le jour de la Saint-Hubert prier devant cette croix pour être préservés de la morsure des chiens enragés. Aujourd'hui, on oublie ce jour, et on ne vient plus prier. C'est déjà beaucoup si on salue en passant[33].
- Bildstock érigé en 1617 pour Iohan Klop (Jean Klop) et son épouse[34] ; emblèmes professionnels de paysans ; coutre, soc. (sainte Anne, sainte Catherine, saint Hubert équestre et saint Nicolas)[35].
- Grotte. L'inauguration de la grotte de Distroff a eu lieu le . Celle-ci se situe sur un terrain communal, au carrefour de la rue des Anciens-Fours-à-Chaux et de la rue du Château-d'Eau. Sa reconstruction a été rendue possible grâce à une opération menée de pair par la communauté paroissiale et la municipalité, avec le concours de nombreux dons et l'aide d'industriels et entrepreneurs locaux.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules au chef d'argent chargé de trois fusées accolées de sable[36]. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Les armoiries de couleur rouge, symboles du blason des Hollenfels, furent créées en souvenir du mariage de Nicolas de Distroff avec Elisabeth de Hollenfels en l'an de grâce 1230.
À l'époque où Distroff était une seigneurie de nom et d'armes, ainsi qu'un fief du comté de Luxembourg, ce village a donné son nom à une maison de chevalerie qui portait : de gueules au chef d’argent chargé de 3 losanges de sable posés en fasce[17] et également, selon M. Bertholet : de gueules à 3 losanges d’argent rangés en fasce[17].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le village disparu de Heckling alias Hechling est situé entre Stuckange et Metzervisse (cf. Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle), il ne doit pas être confondu avec un autre Heckling de la commune de Bouzonville.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Distroff » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « la Bibiche »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Distroff et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Distroff ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- (mul) Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440)
- « Dénominations allemandes de lieux relatées en français », dans Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, volume XVIII, 1863, p. 183
- « Diesdorf, nom allemand de Distroff », dans Archives générales du Royaume, Inventaires des archives de la Belgique : Inventaire des chartes cartulaires du Luxembourg (comté puis duché), E. Guyot, 1916, p. 455
- Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale, p. 68
- Théodore de La Fontaine, « Essai étymologique sur les noms de lieux du Luxembourg germanique : troisième division, Luxembourg français », Publications de la Société pour la recherche et la conservation des monuments historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Luxembourg, Imprimerie-Librairie V. Buck, vol. XVIII, , p. 195 et 196
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Victor-Adolphe Malte-Brun, La France illustrée, tome 5, Paris, Jules Rouff & Cie, 1884, p. 68 et 124
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, Droz, 1990, p. 808
- Académie impériale de Metz, Mémoires de l'Académie Impériale de Metz, XLVe année, Metz, Rousseau-Pallez, 1865, p. 477
- Claude Philippe de Viville, Dictionnaire du département de la Moselle : Contenant une histoire abrégée, Metz, 1817.
- « direct2.actu.lemonde.fr/alsace… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- J-M.H avec C. F., « Elise Winterstein hors jeu, Manu Turquia élu maire », Le républicain lorrain, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- (mul) Albert-Louis Piernet (dir.), Hemechtsland a Sprooch (no 16), (ISSN 0762-7440), p. 126
- Charles Hiegel, Le guide des châteaux de France : Moselle, éditions Hermé, Paris, 1985, p. 56-57 (ISBN 978-2-86665-013-1).
- Château Renaissance
- Notice no IA00038150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Texte de Pierre Vohl ()
- « Distroff 1617 », sur bildstock.free.fr.
- Notice no IA00038160, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).