Gomiécourt — Wikipédia

Gomiécourt
Gomiécourt
La mairie.
Blason de Gomiécourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Sud-Artois
Maire
Mandat
Hervé Copin
2020-2026
Code postal 62121
Code commune 62374
Démographie
Gentilé Gomiécourtois
Population
municipale
152 hab. (2021 en évolution de −0,65 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 09′ 04″ nord, 2° 48′ 02″ est
Altitude Min. 94 m
Max. 122 m
Superficie 3,62 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Gomiécourt
Géolocalisation sur la carte : France
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Gomiécourt
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Gomiécourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Gomiécourt

Gomiécourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Gomiécourtois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, Gomiécourt est une commune rurale située à 8 km au nord-ouest de la commune de Bapaume.

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Gomiécourt
Courcelles-le-Comte Ervillers
Gomiécourt
Achiet-le-Grand Bihucourt Béhagnies

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 3,89 km2 ; son altitude varie de 19 à 31 mètres[1].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Gomiécourt[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l'atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[9]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[10].

Milieux naturels et biodiversité

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Espèces faunistiques et floristiques

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Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 148 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 6 protégées et 4 taxons (espèces et sous-espèces) menacées et quasi-menacées[11].

Une entrée de la commune.

Au , Gomiécourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,9 %), zones urbanisées (7,1 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par la route départementale D 9[17].

Transport ferroviaire

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La commune se trouve à 3 km au nord de la gare d'Achiet, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[18].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Gumincurz en 1104 ; Gumincort en 1109 ; Gummecurt en 1135 ; Gummicurt [lire : Gumincurt] en 1140 ; Goumicurt en 1145 ; Gummecort en 1154 ; Gomiercort vers 1167 ; Gomercort en 1179 ; Goumincourt en 1186 ; Gommeircort en 1215 ; Gomiecurt en 1240 ; Goumicourt en 1299 ; Gomiencourt en 1311 ; Gommicourt en 1391 ; Gomiecourt en 1686 ; Gomicourt en 1739[19]; Gomicourt en 1793 ; Gomicourt et Gomiécourt depuis 1801[1].

L'histoire de la commune est consultable dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873[20].

Avant la Révolution française, Gomiécourt était le siège d'une seigneurie. Par lettres données à Madrid le , la terre de Gomiécourt est jointe à celle d'Ervillers, à celle de Lagnicourt et d'autres, tenues du château d'Arras, pour être érigée en comté de Gomiécourt, au bénéfice de Philippe de Gomiécourt, chevalier, seigneur de Gomiécourt, gouverneur, capitaine et bailli des ville et château de Béthune[21].

Carte de Cassini

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Carte de Cassini du secteur vers 1750.

La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Gomiécourt était une paroisse située loin des routes.
Au nord, est représentée la Chapelle St-Sulpice, aujourd'hui disparue.

En , par lettres données à Versailles, Maximilien François de Carnin, baron de Lillers, Nédonchel, Gomiécourt, premier gentilhomme du pays d'Artois, député de la noblesse aux États d'Artois, bénéficie du titre de marquis pour sa terre de Nédonchel, érigée en marquisat donc, terre très considérable, relevant du roi de France à cause du château de Desvres en Boulonnais, ayant toute la justice seigneuriale[22].

Les archives ainsi qu'une pierre de l'ancienne église sont détenues par Hugues de la POEZE d'HARAMBURE DRAGON de GOMIECOURT.

Première Guerre mondiale

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Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Gomiécourt et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

À partir d'octobre 1914, Guillaume de Prusse, fils de l'empereur Guillaume II, séjourne plusieurs jours à la maison d'habitation de la ferme Copin, à Gomiécourt[23].

En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 10 km à l'est devant Quéant. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier[24]. Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines du village en avril 1917. Les ruines de Gomiécourt repasseront aux mains des Allemands en avril 1918 lors de l'offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières militaires dans le secteur. Après l'armistice, les habitants reviendront peu à peu dans la commune et une longue période de reconstruction du village commencera grâce aux dommages de guerre.

Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 le [25].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités

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La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

Circonscriptions administratives

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La commune est rattachée au canton de Bapaume. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Croisilles[1].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Francis Janssens    
mars 2008 En cours
(au 11 mars 2022)
Hervé Copin   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[26],[27],[28]
Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30]

Équipements et services publics

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Enseignement

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La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre une école élémentaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 35)[31].

Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d'Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[32].

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Gomiécourtois[33].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 152 habitants[Note 4], en évolution de −0,65 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
178196213226223223224224245
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
238231236221214231243247225
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
214199200142186183189201215
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
206210170166172169162153153
2021 - - - - - - - -
152--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 71 hommes pour 84 femmes, soit un taux de 54,19 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,4 
7,1 
75-89 ans
6,0 
17,1 
60-74 ans
19,3 
25,7 
45-59 ans
25,3 
17,1 
30-44 ans
18,1 
8,6 
15-29 ans
14,5 
24,3 
0-14 ans
14,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Gomiécourt Blason
D'or à la bande de sable chargée d'une mitre accompagnée de deux têtes de léopard, le tout du champ et posé à plomb[42].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l'évolution de l'occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. « Réseau hydrographique de Gomiécourt » sur Géoportail (consulté le 24 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Fiche communale de Gomiécourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Gomiécourt et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Gomiécourt ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  18. « Distance entre la commune et la gare d'Achiet », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  20. « Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais. Tome 2 », sur Gallica, 1873-1883 (consulté le ).
  21. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 245, lire en ligne.
  22. chevalier Amédée Le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, Louis Dechristé, , 458 p. (lire en ligne), p. 58, lire en ligne sur Gallica.
  23. « La commune de Gomiécourt », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
  24. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/af/Ligne_Hindenbourg_Carte_Nord_2.jpg
  25. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  26. « Le bilan des maires à Gomiécourt : l'arrivée de l'ADSL, des travaux de voirie, à l'église, à la mairie… : Entré au conseil en 1995, Hervé Copin est devenu maire en 2008 en battant Francis Jassens, dont il avait été adjoint de 2001 à 2004 avant de démissionner. Il répond à nos questions », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  28. « Gommiécourt : le maire souhaite rénover l'église, rongée par les capricornes : Le maire de Gomiécourt aurait sans doute préféré parler des projets qu'il avait en tête pour sa commune. Mais il en est un qui a balayé tous les autres : celui de la rénovation urgente de l'église, rongée par les capricornes. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  31. « École de la commune », sur le site du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gomiécourt (62374) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. Benjamin Dubrulle, « Gomiécourt : son église infestée de capricornes, le maire prend le taureau par les cornes : Hervé Copin, maire de Gomiécourt (165 habitants), ne s'attendait pas à un tel désastre. Son église est infestée de capricornes. Ces bestioles mangent le bois et affaiblissent l'édifice. Les travaux ont été chiffrés. Ils sont estimés à plus de 600 000 €, impossible à supporter pour cette petite commune », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Lieu de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  41. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  42. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).