Levroux (commune déléguée) — Wikipédia
Levroux commune déléguée | |||||
La maison de bois et la collégiale Saint-Sylvain en 2010. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre | ||||
Arrondissement | Châteauroux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Région de Levroux | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat | Alain Fried 2016-2020 | ||||
Code postal | 36110 | ||||
Code commune | 36P01 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Levrousains | ||||
Population | 2 752 hab. (2016) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 58′ 41″ nord, 1° 36′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 125 m Max. 190 m | ||||
Superficie | 56,43 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Levroux (chef-lieu) | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Levroux | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Indre Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire | |||||
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LevrouxÉcouter est une ancienne commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Le , elle devient une commune déléguée à l'issue de la fusion avec sa voisine Saint-Martin-de-Lamps, au sein de la commune nouvelle de Levroux[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le nord[2] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.
Les communes limitrophes[2] et chefs-lieux[2] sont : Moulins-sur-Céphons (6 km), Bretagne (6 km), Francillon (6 km), Bouges-le-Château (8 km), Villegongis (8 km), Brion (9 km), Vineuil (9 km), Châteauroux (20 km), Issoudun (29 km), La Châtre (52 km) et Le Blanc (57 km).
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Les hameaux[3] et lieux-dits[3] de la commune sont : la Boutelaie, les Boiseries, la Maison Blanche, la Gaité, le Méez et Bellevue.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[4].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]Le mercredi vers 19 h, une tornade[5] a provoqué de gros dégâts (toiture arrachées, vitres brisées, arbres emportés) dans la commune.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux à 20 km.
La commune est desservie par les lignes A et S du réseau L'Aile Bleue[6].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre à 18 km.
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay.
Réseau électrique
[modifier | modifier le code]La commune possède un poste source[7] sur son territoire.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Logement
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[8] de la commune :
Date du relevé | 2013 |
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Nombre total de logements | 1 609 |
Résidences principales | 80,8 % |
Résidences secondaires | 5,1 % |
Logements vacants | 14,1 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 68,2 % |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Pour suivre un décret de la Convention (An II), la commune avait changé de nom pour La Fontaine[9]. Au cours de la Révolution française, elle porta le nom de Richelaine.
Ses habitants sont appelés les Levrousains[10].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Deux sites témoignent de l'occupation humaine aux époques celtique et gallo-romaine : la colline des Tours, oppidum celtique circulaire du Ier siècle av. J.-C., situé au nord de la ville, et le quartier des Arènes[11], au sud, où l'on a retrouvé les traces d'ateliers métallurgiques du IIe siècle av. J.-C. et d' un théâtre gallo-romain[12].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Levroux succède à une agglomération gallo-romaine. Deux châteaux y sont construits : le premier au Xe siècle au milieu du bourg ; le second est mieux placé sur une colline ; avec les étangs et des fossés, il complète le dispositif défensif qui protège collégiale, granges, fours, pressoirs[13]. Le mur d’enceinte du bourg, symbole de ses privilèges communaux, ne faisait cependant que 60 cm d’épaisseur et 2 m de haut[14].
Familles seigneuriales[15]
[modifier | modifier le code]Comme Brion et Bouges, Levroux relève au départ des princes de Déols, fondateurs et seigneurs de Châteauroux, connus depuis le Xe siècle puis fondus dans les Chauvigny. André (II) de Chauvigny, fils cadet d'André Ier et Denise de Déols, reçoit Levroux de son frère aîné Guillaume Ier de Châteauroux en 1218. Sa descendante Blanche de Chauvigny, fille de Philippe Ier de Chauvigny-Levroux, apporte Levroux à son mari Guy II Le Bouteiller de Senlis seigneur d'Ermenonville[16] (branche cadette issue de Raoul Ier sire de Luzarches et d'Ermenonville, frère cadet des sires de Chantilly Guy V et Guillaume II Le Bouteiller de Senlis dans la première moitié du XIIIe siècle), et à leur fils Guy III de Senlis d'Ermenonville. La fille de Guy III, Blanche de Senlis, dame de Levroux, épouse en deuxièmes noces Imbaud du Peschin (famille bourbonnaise). Leur fils Louis du Peschin, sire de Levroux, épouse Iseult de Sully-Beaujeu, aussi descendante des Chauvigny-Châteauroux puisqu'elle était l'arrière-petite-fille de Guillaume III, seigneur de Châteauroux.
Jacquette du Peschin, dame de Levroux, fille de Louis et d'Iseult de Sully, épouse Bertrand V de La Tour- Bertrand Ier comme comte d'Auvergne et de Boulogne[17],[Note 1], et leur arrière-petite-fille, la comtesse d'Auvergne Madeleine, épouse Laurent II de Médicis duc d'Urbino : ils sont les parents de la reine Catherine de Médicis, comtesse d'Auvergne et dame de Levroux. Catherine cède en 1581 sa baronnie de Levroux à Alphonsine Strozzi dame de Bressuire, petite-fille de son cousin germain le maréchal Piero Strozzi et femme de Scipione Fieschi (Scipion de Fiesque). Leur fils François de Fiesque (1586-1621) se marie avec Anne Le Veneur de Tillières[18], dame de Brion (lointaine descendante des Déols-Châteauroux, dont elle tenait Brion) ; leur fils Charles-Léon de Fiesque n'a lui-même qu'un fils, Jean-Louis-Marie de Fiesque, mort sans postérité en 1708. Levroux passe alors à son cousin germain Alexandre-Charles de Bréauté (fils de Pierre de Bréauté et Marie de Fiesque, sœur de Charles-Léon), déjà seigneur de Brion, lui-même sans postérité.
Levroux et Brion échoient alors à un petit-cousin d'Alexandre-Charles de Bréauté, Antoine-François marquis de Longaunay, né en 1664, gouverneur de Carentan, sans parenté avec les Déols-Châteauroux (il était le petit-fils de Suzanne de Bréauté, la sœur de Pierre de Bréauté et la belle-sœur de Marie de Fiesque). Les Longaunay de Dampierre gardent Brion et Levroux au long du XVIIIe siècle.
De la fin du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La ville de Levroux est touchée par la crise démographique de l’élection d’Issoudun au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 421 feux en 1709 à 397 en 1726[19]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[20].
XIXe et XXe siècles
[modifier | modifier le code]Levroux a été longtemps, avec Graulhet, l'un des centres français de la pelleterie, particulièrement du parchemin ; depuis le début du XXe siècle la production n'a cependant jamais cessé de décroître et le dernier artisan parcheminier a cessé son activité en 2004. La production est désormais exclusivement industrielle.
En 1861, la commune de Saint-Phallier lui est rattachée.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]La commune dispose des services suivants :
- un trésor public[27] ;
- un bureau de poste[28] ;
- un office de tourisme[29] ;
- une police municipale ;
- une gendarmerie[30] ;
- un centre de secours ;
- un centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil départemental de l'Indre[31].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2016, la commune comptait 2 752 habitants[Note 2], en évolution de −2,89 % par rapport à 2010 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune possède comme lieux d'enseignements[36] : une école maternelle publique (Joseph Pêcherat), une école primaire privée (Clairefontaine), une école élémentaire publique (Joseph Pêcherat) et un collège public (Condorcet). Les lycées publics de secteur[37] se trouvent à Châteauroux (lycée général Jean Giraudoux et lycée polyvalent Blaise Pascal).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Équipement culturel
[modifier | modifier le code]- Musée du cuir et du parchemin : il retrace les différentes étapes de la production (sélection des peaux de chèvre, chevreau, agneau, qui sont ensuite plongées dans un bain de chaux et séchées à l'intérieur d'un cercle de bois) et expose des maquettes mettant en scène le parcheminier.
Santé
[modifier | modifier le code]La commune possède un hôpital local[38].
Sports
[modifier | modifier le code]- Tennis Association Levrousaine
- Football Club Levrousain
Médias
[modifier | modifier le code]La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Cultes
[modifier | modifier le code]Culte catholique
La commune de Levroux dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné du Boischaut Nord[39] et de la paroisse de Levroux. Le lieu de culte est la collégiale Saint-Sylvain.
Économie
[modifier | modifier le code]Le premier employeur de la commune est l'hôpital public[40].
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[41].
La culture de la lentille verte du Berry[42] est présente dans la commune.
L'activité de traitement des cuirs (mégisserie) d'implantation ancienne à Levroux a encore une certaine importance. Deux PME, Bodin-Joyeux (fondée en 1860, et rachetée en par Chanel) et Rousseau, emploient une centaine de personnes (deuxième secteur économique de la commune par le nombre d'emplois)[40]. Les cuirs sont destinés à la maroquinerie, l'industrie de l'habillement, la ganterie et les chaussures[40] et sont exportés à 60 %[40].
Levroux, qui a donné son nom à des fromages réputés, garde du Moyen Âge une industrie originale, la fabrication du parchemin.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Monuments et lieux touristiques
[modifier | modifier le code]- Collégiale Saint-Sylvain (XIIIe siècle) : on peut admirer le (probablement) plus ancien buffet d'orgue de France, abritant un instrument moderne mais d'esthétique et de composition XVIIe siècle de Jean-Loup Boisseau, Classée MH (1840, classement par liste de 1840)[43],[44].
- Monument aux morts[45] (1922) : il représente un « poilu » désarmé, la tête en appui sur sa paume et le regard tourné vers le sol, dans une attitude qui exprime toute une gamme de sentiments empreints de gravité. Le sculpteur Ernest Nivet, originaire de Levroux, s'est inspiré très visiblement pour cette œuvre du « Penseur » de Rodin.
- Porte de Champagne : datant de 1435-1506, elle est proche de la collégiale Saint-Sylvain et les superbes ruines des tours de Levroux qui se dressent au-dessus de la ville depuis le Moyen Âge rappellent avec majesté l'empreinte féodale de la ville, Classée MH (1944, Porte de Champagne)[46].
- Berger couché : datant de 1930, le sculpteur Ernest Nivet (1871-1948) élève de Rodin, version monumentale en pierre de son berger couché sur le ventre de 1906, offert à la ville de Levroux par maître Bouillon et transféré sur la place de l'Hôtel-de-Ville en 1994, Inscrite MH (2017, La statue « Le berger allongé » dite aussi « Le berger couché sur le ventre », avec son socle)[47].
- Tours : vestige de l'ancien château, Inscrite MH (1927, Château (vestiges))[48].
- Maison de bois : maison en colombage datant du XVe siècle, Inscrite MH (1922, Maison de bois à l'angle de la place et de la rue)[49].
- Les pèlerins avaient autrefois l'habitude d'y faire une halte.
- Fontaine Sainte-Rodène.
- La collégiale Saint-Sylvain en 2012.
- Les tours de l'ancien château de Levroux en 2014.
- La porte de Champagne en 2014.
Labels et distinctions
[modifier | modifier le code]Levroux a obtenu au concours des villes et villages fleuris une fleur en 2013, 2014, 2015 et 2016[50].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Sylvain Guérineau(1756-1818), homme politique français, né à Levroux.
- Bias Parent (1754-1802), révolutionnaire, chanoine à Levroux dans les années 1770.
- Émile Ferré (1861-1944), journaliste, rédacteur et directeur de journaux, né à Levroux.
- Ernest Nivet (1871-1948), sculpteur, né à Levroux.
- Fernand Michaud (1929-2012), photographe, né à Levroux.
- Christine Boutin (1944-), femme politique française, née à Levroux.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à la tour, flanquée de deux échauguettes, avec ses avant-murs mouvant des flancs, le tout d'argent ajouré hormis les avant-murs et maçonné de sable, les avant-murs ouverts du champ ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pierre Brunaud, Levroux et sa région, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-84910-485-9).
- Bertrand Puard, Liberty Street, Nouveau Monde Éditions.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Bertrand V-Ier était le fils de Bertrand IV de La Tour et de la comtesse Marie, fille de Godefroy de Montgascon et petite-fille du comte Robert VII. Godefroy et Blanche Le Bouteiller de Senlis avaient été mariés, en troisièmes noces pour les deux, sans postérité.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références
[modifier | modifier le code]- « arrêté préfectoral portant création de a commune nouvelle de Levroux » (consulté en )
- Site de Lion 1906 : Indre, consulté le 10 septembre 2012.
- Site du Géoportail : Levroux, consulté le 15 décembre 2013.
- Site de la prévention du risque sismique : Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre, consulté le 30 juillet 2016.
- « Levroux : de lourds dégâts après la tempête », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, (lire en ligne).
- Site du conseil départemental de l'Indre : Les horaires de l’Aile Bleue, consulté le 7 mars 2016.
- « Un grand défi technique pour ERDF », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, .
- Site de l'Insee : Levroux, consulté le 6 septembre 2016.
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, (lire en ligne).
- « Nom des habitants des communes françaises, Levroux », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- Olivier Buchsenschutz, Anne Colin, Gérard Firmin, Brigitte Fischer, Jean-Paul Guillaumet, Sophie Krausz, Marc Levéry, Philippe Marinval, Laure Orellana, Alain Pierret, Le Village celtique des Arènes à Levroux. Synthèses, Levroux, FERAC - ADEL, 2000 = Revue archéologique du Centre de la France, supplément 19, 333 p. (ISBN 2-913272-04-5)
- Olivier Buchsenschutz, « L'Âge du fer à Levroux » (Indre), Dossiers d'archéologie, no 326, mars-avril 2008, p. 44-49.
- Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 52.
- Berry médiéval, op. cit., p. 57.
- « Seigneurs de Levroux », Le Blog de Bernard du Berry
- « Le Bouteiller de Senlis, p. 7 et 8 », sur Racines & Histoire
- « Bertrand de La Tour comte d'Auvergne, p. 328 », sur Histoire généalogique de la Maison d'Auvergne, t. Ier, par Etienne Baluze, chez Antoine Dezallier à Paris, 1708
- « Le Veneur de Tillières, p. 6 », sur Racines & Histoire
- Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 168.
- Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
- Notice Louis Gauvin, sur le site du Comité français pour Yad Vashem.
- « L'ancien sénateur Guy Besse est décédé », La Nouvelle République, (lire en ligne).
- Site du ministère de l'Intérieur : Résultats des élections municipales de 2001, consulté le 18 février 2013.
- Site du ministère de l'Intérieur : Résultats des élections municipales de 2008, consulté le 28 novembre 2009.
- [PDF] Site de la préfecture de l'Indre : Résultats des élections municipales de 2014, consulté le 28 avril 2014.
- Site de l'Union des démocrates et indépendants : Fédération d'Indre (consulté le 26 septembre 2016).
- Site de la préfecture de l'Indre : Direction Départementale des Finances Publiques, consulté le 25 août 2012.
- Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
- Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
- Site de Région de Gendarmerie du Centre : « Groupement de l'Indre »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 23 août 2012.
- Site du conseil départemental de l'Indre : Avec le Département, des routes encore plus sûres !, consulté le 9 mars 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Site de l'académie d'Orléans-Tours : « Coordonnées des établissements scolaires publics et privés sous contrat »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 16 août 2012.
- Site de l'académie d'Orléans-Tours : Tableau des secteurs de recrutement collèges et lycées, consulté le 20 août 2012.
- Site hopital.fr : Hôpital local (Levroux), consulté le 24 août 2012.
- Site de l'archidiocèse de Bourges : Doyenné du Boischaut Nord « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), consulté le 4 mai 2013.
- Bruno Mascle, « Bodin-Joyeux : la qualité dans la peau », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, , p. 9.
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Lentilles vertes du Berry, consulté le 11 novembre 2014.
- « Eglise Saint-Sylvain », notice no PA00097368, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Inventaire du mobilier de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- Francesca Picou-Lacour et Lucien Lacour, Sur les pas d'Ernest Nivet dans l'Indre, Châteauroux, Les Amis d'Ernest Nivet, , 52 p..
- « Porte de Champagne », notice no PA00097370, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Statue Le berger allongé », notice no PA36000042, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Vestiges du château », notice no PA00097367, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison de bois, dite Maison Saint-Jacques », notice no PA00097369, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Site des villes et villages fleuris : Toutes les communes fleuries, consulté le 22 décembre 2016.