Transports en commun de l'agglomération mulhousienne — Wikipédia

Soléa
logo de Transports en commun de l'agglomération mulhousienne
Logo de Soléa.
illustration de Transports en commun de l'agglomération mulhousienne

Création
Dates clés 1957: adoption du nom TCM
1985 : adoption du nom TRAM
Octobre 2002 : adoption du nom Soléa
 : inauguration du tramway de Mulhouse.
Forme juridique Société anonyme d’économie mixte
Slogan Les transports de l'agglomération mulhousienne.
Siège social Mulhouse
Drapeau de la France France
Direction Alain Moubarak
Actionnaires Transdev : 87,8 %
M2A : 10 %
Actionnaires privés : 1,2 %
Trace : 1 %
Activité Transport de voyageurs
Exploitation
Gestion d'infrastructure
Produits Tram-train Mulhouse-Vallée de la Thur, Tramway de Mulhouse, BHNS de Mulhouse, Liste des lignes de bus de Mulhouse
Société mère Transdev
Filiales Mulhouse Mobilité
Effectif 611 (31 décembre 2018) dont 397 conducteurs
Site web solea.info

Chiffre d'affaires 10.2 M (2016)
Résultat net 508 000 (2016)
en augmentation + 13 % AF 2015

Les transports en commun de l'agglomération mulhousienne, exploités sous le nom Soléa, est la société qui administre les réseaux bus et le tramway de Mulhouse dans l'agglomération de Mulhouse. Elle exploite également le tram-train Mulhouse-Vallée de la Thur conjointement avec la SNCF.

Soléa est une Société anonyme d’économie mixte locale détenue à 87,8 % par Transdev, 10 % par Mulhouse Alsace Agglomération (l'autorité organisatrice), 1 % par la TRACE (dans le cadre d’une participation croisée) et 1,2 % par des actionnaires privés[1].

Le siège social ainsi que le dépôt et les ateliers se situent sur un site unique au 97 rue de la Mertzau à Mulhouse. L'entreprise possède également deux agences commerciales à la Porte Jeune et dans la gare de Mulhouse-Ville.

Les fiacres et les omnibus

[modifier | modifier le code]

Un arrêté municipal datant du instaure un service de fiacres mis en place en 1854, secondés à partir de 1864 par des omnibus ; il s'agit des premiers transports en commun de Mulhouse[2].

Les premiers tramways

[modifier | modifier le code]
Trolleybus du Rebberg.
Autobus Floirat Z10 utilisé à partir de 1954.

Une concession de 30 ans est accordée par le maire de la ville pour la construction et l'exploitation d'un tramway en 1880[2]. Un an plus tard, les premiers tramways à vapeur de marchandises commencent à circuler pour approvisionner les différentes usines de la ville et l'année suivante, le service voyageurs est mis en place[2].

En 1884, les TM (Tramways de Mulhouse, Tramways Mulhausen en allemand) sont créés afin d'exploiter l'ensemble des tramways mulhousiens[2].

Le bruit, la fumée, les incidents et incendies ainsi que les tremblements ont raison des tramways à vapeur en 1894 remplacés par la traction électrique[2]. Cependant, le trafic marchandise sera toujours assuré par des locomotives à vapeur[2]. En 1900, le réseau de tramway transporte 2,7 millions de voyageurs[2].

Le tramway ne pouvant desservir le Rebberg car celui-ci est a flanc de colline, une ligne trolleybus surnommée Gleislos (sans rail en allemand) est mis en service en 1908 pour remédier à ce problème mais un incendie, dix ans après, va détruire l'intégralité des véhicules qui ne seront pas remplacés[2],[3].

Les autobus

[modifier | modifier le code]
Le Mercedes-Benz O 405, premier bus accessible à plancher bas mulhousien.

En 1930, la première ligne d'autocars est inaugurée pour desservir le Rebberg ainsi que le Zoo situé dans ce quartier de la ville[2]. Le tramway transporte 12 millions de voyageurs au cours de l'année.

Après la Seconde Guerre mondiale, le réseau est entièrement reconstruit et les véhicules entièrement remplacés ; le premier vrai autobus urbain, le Floirat Z10, arrive en 1954[2]. Le nouveau réseau compte deux lignes de tramway, deux nouvelles lignes de trolleybus à partir de 1947[3], cinq lignes d'autobus et deux lignes de tramway interurbain[2].

En 1957, le réseau voyageur de tramway est fermé et démonté, les trolleybus sont supprimés à leur tour en 1968[3]. L'entreprise prend le nom de TCM (Transport en commun de Mulhouse) et assure trois types de transport[2] :

  • Transport urbains de passagers ;
  • Transport occasionnel et d'ouvriers (abandonné en 1985) ;
  • Transport de marchandises avec une flotte de camions (activité qui prit fin en 1979).

Dans les années 1970, près de 200 abribus sont créés ainsi que plusieurs couloirs bus pour faciliter leur circulation, tandis que les bus sont équipés d'un système de radiotéléphonie[2].

En 1982, le SITRAM (Syndicat intercommunal des transports de l'agglomération mulhousienne) est créé pour organiser les transports en commun de l'agglomération et entame en 1985, la restructuration complète du réseau (itinéraire, numérotation des lignes, fin des zones tarifaires...) et le réseau prend le nom TRAM, qui deviendra aussi celui de l'entreprise en 1992. En 1987, un parking-relais est créé et relié avec le centre-ville à l'aide d'une navette considérée comme une innovation au niveau national : la Tramette[2].

En 1989 le réseau se dote d'un SAEIV et en 1993 de ses premiers bus à plancher surbaissé[2].

La renaissance du tramway et le tram-train

[modifier | modifier le code]
Heuliez GX 117 qui fut utilisé pour la Tramette navette direction centre-ville, comme en témoigne sa livrée.

En , l'entreprise prend le nom de Soléa remplaçant Les transports de l'agglomération mulhousienne (TRAM), les bus changent de livrée en 2004 au profit du jaune, noir et rouge en vigueur depuis[2].

En , le réseau est étendu vers les sept communes du bassin potassique et la tarification zonale est mise en place[2].

Le , le nouveau tramway de Mulhouse est mis en service après 3 ans de travaux et a été inauguré par Jacques Chirac une semaine auparavant[2]. Le réseau de transport en commun est entièrement refondu pour s'adapter au tramway à l'été 2006[2]. Le , la première extension du tramway est inaugurée vers le quartier de Bourtzwiller : la ligne 1 dessert trois nouvelles stations[2].

Fin 2008, le SITRAM, historiquement actionnaire majoritaire de Soléa, cède ses parts à Transdev qui devient de fait l'actionnaire majoritaire à hauteur de 67,80 % ; Soléa est alors la première société d'économie mixte à avoir une société privée comme actionnaire majoritaire[4].

Le , le SITRAM est dissout et remplacé par Mulhouse Alsace Agglomération pour l'autorité organisatrice des transports. Avec ce changement, les lignes suburbaines sont créées pour desservir l'ensemble de l'agglomération ; le , le réseau est étendu à huit nouvelles communes[2]. Le , Transdev Soléa devient exploitant principal.

Le , le tram-train Mulhouse Vallée de la Thur est inauguré et la ligne 3 du tramway de Mulhouse est mise en service le lendemain[2]. Quelques lignes de bus ont été remaniées pour être en correspondance avec ces nouvelles lignes.

Le , à la suite de l'extension du périmètre de l'agglomération en 2010, un nouveau service de transport à la demande est mis en place : Filéa ; le service de covoiturage est lancé le même mois ainsi qu'un abonnement combiné avec le service d'autopartage Auto'trement (aujourd'hui Citiz)[2].

Le , la première ligne du bus à haut niveau de service de Mulhouse est créée afin de pallier le report des extensions du tramway à Kingersheim et Wittenheim[2].

En 2015, le réseau se dote d'une navette électrique en centre-ville et une navette en autocar est créée pour desservir l'Écomusée d'Alsace et le Parc du Petit Prince[2].

En 2018, le réseau s'étend sur les six nouvelles communes ayant rejoint M2A tandis que le réseau reçoit ses six premiers autobus standard électriques[2].

Identité visuelle (logo)

[modifier | modifier le code]
Tram-Train et Tram à la station Gare Centrale.

Le réseau de transport en commun de l'agglomération mulhousienne est unique en France : il est le seul réseau à posséder une ligne de Tram-Train utilisant réellement à la fois des voies de tramway et de train, au contraire d'autres lignes comme celles de Nantes ou de Lyon. De plus, le réseau est composé de trois lignes de tramway ainsi que de 24 lignes de bus dont 13 lignes interurbaines (lignes régionales accessibles au tarif urbain) et 13 lignes scolaires. Le réseau s'étend sur tout le territoire de Mulhouse Alsace Agglomération qui représente une population de plus de 275 000 habitants répartis sur 39 communes, ainsi que sur les communes traversées par le Tram-Train[5].

Le réseau Soléa compte 29 stations de tramway et 903 arrêts de bus. Près de 113 000 voyageurs empruntent chaque jour le réseau pour un kilométrage annuel de 6,4 millions de kilomètres en 2018[5]. En 2015, 22,3 millions de déplacements ont été réalisés sur le réseau Soléa[6]. Afin de faciliter les correspondances, le réseau est organisé autour de 7 pôles d'échange.

Il est également doté de 2 parking-relais situés à Université et Nouveau Bassin sur la ligne 2.

Les lignes de Tramway

[modifier | modifier le code]

Le tramway de Mulhouse compte 3 lignes circulant sur les communes de Mulhouse et Lutterbach. Des extensions vers Kingersheim, Wittenheim et Illzach sont prévues sans qu'une date ne soit avancée. Environ 60 000 voyageurs par jour empruntent ce mode de transport sur les 16,2 kilomètres du réseau. Les tramways Citadis circulent tous les jours (sauf le 1er mai) entre 4h30 (6h40 le dimanche) et minuit (h 0 le samedi). Sur la ligne 3, la fréquence des Citadis est de 30 minutes intercalés entre les Avanto du Tram-Train, ce qui fait une rame toutes les 15 minutes. Cette ligne a permis également de mailler le réseau de tramway. Les lignes 1 et 2 sont certifiées NF Service par l'AFNOR. La ligne 3 est également certifiée depuis le .

Ligne Parcours Fréquence
(Tram)(1) Accessible aux personnes handicapées Gare Centrale ↔ Châtaignier 6 à 8 min
(Tram)(2) Accessible aux personnes handicapées Coteaux ↔ Nouveau Bassin 6 à 8 min
(Tram)(3) Accessible aux personnes handicapées Gare CentraleLutterbach Gare 30 min

Le Tram-Train

[modifier | modifier le code]

Cette ligne est la première et unique véritable ligne de Tram-Train de France. Longue de 22 kilomètres, elle dessert 18 stations réparties sur 6 communes. La partie urbaine de la ligne est la ligne 3 du tramway et emprunte la ligne de Lutterbach à Kruth sur le reste du parcours. Le Tram-Train est coexploité par Soléa et la SNCF sans changement de conducteurs à la limite urbaine. Une extension du service vers Kruth est prévue à terme. Les rames Avanto circulent tous les jours de h 30 (h 30 le samedi, h 50 le dimanche) à 23 h 20 (20 h 30 le dimanche).

Ligne Parcours Fréquence
tram-train Accessible aux personnes handicapées Gare CentraleThannThann-Saint-Jacques 30 min

Les lignes de bus

[modifier | modifier le code]
L'arrêt Stockbrunna à Habsheim, desservi par une ligne périurbaine et le service Filéa.

Le réseau de bus est réorganisé le 2 septembre 2019 : le nouveau réseau s'organise autour de quatre lignes structurantes « Chrono » (dont l'ancienne ligne 4), voit ses réseaux de soirée et du dimanche basés sur l'offre de semaine (fin des lignes 6x et 7x) et Filéa remplace TaxiSoléa[7].

Le réseau d'autobus mulhousien est restructuré le autour de trois catégories de lignes :

  • Lignes « Chrono » C4 à C7 : Ce sont les lignes structurantes du réseau, dont la ligne de BHNS ;
  • Lignes 8 à 17 : Ce sont les lignes principales du réseau, desservant Mulhouse et sa première couronne ;
  • Lignes 50 à 59 : Ce sont les lignes suburbaines du réseau, en réalité constituées de lignes régionales en intégration tarifaire, elles desservent les zones les plus éloignées de l'agglomération.

Ces lignes sont complétées par plusieurs services spécifiques comme ChronoPro, Filéa, Filéa de Nuit , Tribus , la navette de Brunstatt-Didenheim et la navette de Riedisheim.

À la suite du report des extensions des deux premières lignes de tramway, Mulhouse Alsace Agglomération a décidé de les remplacer par des bus à haut niveau de service. La première ligne, la 4, a été ouverte le et part de Mulhouse pour rejoindre Wittenheim en traversant Kingersheim, avec des prolongements vers Ruelisheim en heures de pointe. Le , la ligne 4 devient la ligne « Chrono » C4.

Créé en 1991, le service Domibus destiné aux personnes à mobilité réduite, est exploité par Soléa à travers sa filiale Mulhouse Mobilités[8],[9].

Le service fonctionne à l'aide 12 minibus adaptés et ce tous les jours avec un tarif unique de 1,50  le trajet[8].

Intermodalité

[modifier | modifier le code]

En dehors du Tram-train, l'intermodalité est présente dans l'agglomération mulhousienne avec les services suivants.

Vélos en libre-service

[modifier | modifier le code]

La ville de Mulhouse dispose de son système de vélos en libre service, VéloCité opéré par JCDecaux comprenant 40 stations[10]. En outre, il est possible de louer un vélo auprès de Médiacycles à la gare de Mulhouse-Ville[10].

Enfin, 11 abris à vélos sécurisés sont disposés aux gares TER et aux stations du tram-train[10].

Autopartage et covoiturage

[modifier | modifier le code]

L'agglomération mulhousienne est couverte par le service d'autopartage Citiz. En outre, Soléa propose des solutions de covoiturage destinés aux professionnels[11].

Parc relais

[modifier | modifier le code]

Les deux parcs relais, gratuits pour les abonnés, permettent de stationner son véhicule dans un parking aménagé puis d'emprunter le réseau Soléa ; situés le long de la ligne 2 du tramway ils offrent en cumulé près de 400 places[12].

Ces deux parcs sont[12] :

  • Nouveau Bassin (230 places), destinés aux automobilistes venant du nord ;
  • Université (170 places), destinés aux automobilistes venant du sud.

Accessibilité

[modifier | modifier le code]

Si sur le réseau mulhousien l'ensemble des lignes et rames de tramways sont accessibles aux personnes à mobilité réduite, il n'en est pas de même pour les lignes de bus[13]. Si plus de 80 bus sont équipés pour accueillir les personnes à mobilité réduite, tous les arrêts ne disposent pas de quais surélevés ; au niveau des lignes, seules les lignes périurbaines 50 à 59 ne sont pas considérées comme accessibles[13].

Exploitation

[modifier | modifier le code]

Tramway et Tram-train

[modifier | modifier le code]
Modèles de rames du tramway de Mulhouse et du tram-train Mulhouse-Vallée de la Thur
Constructeur Modèle Nombre Numérotation Années de
livraison
Longueur Affectations Remarques
Alstom Citadis[14] 22 nos 2001 à 2027[note 1] 2006 32,5 mètres (Tram)(1)(2)(3)
Siemens Avanto[14] 11 TT16 à TT25 et TT27 [note 2] 2010[15] 37 mètres[15] (Tram)(3)tram-train La rame TT26 est réformée et sert de banque de pièces.

État de parc des bus Soléa[16].

La logique de numérotation est la suivante[16] :

  • 0-99 : minibus et midibus ;
  • 100-199 : standards électriques ;
  • 200-299 : standards au biogaz ;
  • 300-599 : standards au gazole ;
  • 600-799 : articulés (tout type de carburant) ;
  • 800-999 : véhicules de service.

Les lignes 50 à 59, constituées en majorité de lignes régionales en intégration tarifaire, sont assurées à l'aide de divers autocars non répertoriés ici.

L'agglomération a validé l'achat de huit autobus standards et de sept autobus articulés au biogaz en 2020 afin de renouveler le parc, ce qui a nécessité l'installation d'une station de compression au dépôt[17]. Les commandes suivantes se sont faites aussi avec des véhicules au biogaz.

Minibus du réseau Soléa
Constructeur Modèle Nombre Numérotation Années de
livraison
Affectations Remarques
Renault Master 14 nos 26 à 30, 32 à 39 2012 - 2022 Domibus, (Bus) Filéa
Citroën Jumper 1 no 48 2013 (Bus) Chronopro Le véhicule appartient à LK Chopin-Heitz
Dietrich Véhicules City 21 1 no 13 2015 (Bus) 13 Sur châssis Fiat Ducato III.
Bolloré Bluebus 6 m 2 nos 71 et 72 2015 (Bus) Navette Centre-ville Véhicules électriques.
Renault Trafic 4 nos inconnus 2016 (Bus) Filéa Les véhicules appartiennent à Transdev Grand Est
Mercedes Sprinter 4 nos 61, 62, 70 + ? 2016-2018, 2022 (occasion) (Bus) Chronopro 17 Les véhicules appartiennent à LK Chopin-Heitz

Le parc du service Filéa, sous-traité, est constitué de Renault Trafic, de Fiat Scudo ainsi que de taxis.

Midibus du réseau Soléa
Constructeur Modèle Nombre Numérotation Années de
livraison
Affectations Remarques
Heuliez Bus GX 137 5 nos 75 à 79 : 2020 à 2023 (Bus) 13 véhicules 77 à 79 ont été achetés d'occasion
Autobus standards du réseau Soléa
Constructeur Modèle Nombre Numérotation Années de
livraison
Affectations
théoriques
Remarques
Irisbus Agora S 1 543 2002 (série en cours de réforme) (Bus) 14 15 Véhicule confié a Transdev Grand Est
Heuliez Bus GX 327 39 nos 320 à 358 2008 à 2021 (Bus) C4 C5 C6 C7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 le 358 est utilisé pour former les conducteurs
Irisbus Crealis Neo 12 2 nos 360 et 361 2014 (Bus) C4 C5 C6 C7 8 9 10 11 12 16 BHNS
Iveco Bus Urbanway 12 14 nos 401 à 414 2015 à 2018 (Bus) C4 C5 C6 C7 8 9 10 11 12 16 le 411 est équipé de rétrovision
Heuliez Bus GX 337 ÉLEC 5 nos 101 à 105 2019 (Bus) C5 C6 C7 8 9 10 11 12 16 Véhicules électriques.
Scania Citywide GNC 12 nos 201 à 212 2021 (Bus) C5 C6 C7 8 9 10 11 12 16 Véhicules fonctionnant au biogaz.
Scania Citywide II GNC 11 nos 213 à 223 2023-2024 (Bus) C5 C6 C7 8 9 10 11 12 16 face avant et arrière différente, moteur sur le coté arrière gauche

fonctionnant au biogaz

Autobus articulés du réseau Soléa
Constructeur Modèle Nombre Numérotation Années de
livraison
Affectations
théoriques
Remarques
Irisbus Citelis 18 13 nos 640, 641, 643, 645, 647 à 655 2008

(série en cours de réforme)

(Bus) C4 C5 C6 C7 9 10 11 12 15, services scolaires Le bus 644 a brûlé dans un incendie.
Irisbus Crealis Neo 18 3 nos 660 à 662 2014 (Bus) C4 C5 C6 C7 9 10 11 12 15 BHNS, bus comptant 4 portes
Iveco Bus Urbanway 18 11 nos 701 à 711 2015-2018 (Bus) C4 C5 C6 C7 9 10 11 12 15 le 711 est équipé de rétrovision
Iveco Bus Urbanway 18 GNC 15 nos 721 à 735 2021-2023 (Bus) C4 C5 C6 C7 9 10 11 12 15
  • Véhicules fonctionnant au biogaz ;
  • Série 721-730 : Moteur Cursor 8 ;
  • Série 731-735 : Moteur Cursor 9 et face arrière différente.

Préservation

[modifier | modifier le code]

Quelques véhicules en fin de carrière seront sauvés d'une destruction par la sauvegarde.

Autobus préservés du réseau Soléa
Constructeur Modèle Nombre Numérotation Années de
livraison
Affectations
théoriques
Remarques
Renault Scemia 215 D 1 no 18 1946 Conservé par l'AMTUIR.
Floirat Z10 2 nos 209, 251 1954-1958 Le Floirat no 251 est conservé par l'AMTUIR tandis que le 209 est conservé par la section histoire de Soléa
Chausson AHH 1 nos 239 1962 bus pour les journées du patrimoine section histoire soléa
Saviem Chausson 4 1 nos 240 1963 bus pour les journées du patrimoine section histoire soléa
Berliet PCM 2 no 308, 309 1971 bus pour les journées du patrimoine section histoire soléa
Saviem SB2 1 no 108 1977 Le véhicule a été retrouvé par le musée des autocars anciens chez un habitant de Mittelhausen.
Saviem SC10U 1 no 359 1978 bus pour les journées du patrimoine section histoire soléa
Renault SC10R 2 no 360, 375 1982, 1983 bus pour les journées du patrimoine section histoire soléa
Van Hool AU 138 1 no 139 1987 bus pour les journées du patrimoine section histoire soléa
Renault PR100.2 1 no 417 1988 bus pour les journées du patrimoine section histoire soléa
Setra S 215 SL 1 no 302 1990 Le véhicule a été préservé par un membre de l'association Car-Histo-Bus.
Renault VI Agora S 3 nos 522, 525, 537 1997-1998 Le véhicule 525 a été préservé par la section histoire soléa.

Le 522 appartient au service Proxibus. Le 537 sert de bus dépanneuse pour l’atelier.

Irisbus Agora S 1 no 546 2002 Le véhicule est conservé par le lycée Bugatti d'Illzach
Heuliez Bus GX 317 2 nos 311 et 319 2003 Le véhicule 319 sert de banque de pièces pour le 311
Tramway préservés du réseau Soléa
Constructeur Modèle Nombre Numérotation Années de
livraison
Affectations
théoriques
Remarques
Winterthur Gletisa (locomotive à Vapeur) 1 no 7 1882 Conservée au Musée de Blonay-Chamby en Suisse.
De Dietrich Remorque de Tramway Dietrich 1 no 337 1925 Conservée au Dépôt Soléa

Anciens autobus réformés

[modifier | modifier le code]

Liste incomplète[16].

  • 6 Renault TL (nos 1 à 6) ; livrés de 1930 à 1932, réformés de 1943 à 1956.
  • 6 Renault Scemia 215 D; livrés de 1946 à 1947 et réformés en 1961.
  • 6 Chausson APH 2-50 (nos 22 à 27); livrés de 1951 à 1952
  • 3 Chausson APH 2-52 (nos 28 à 30); livrés en 1953.
  • 13 Floirat Z-10-1 (nos 201 à 213); livrés en 1954 et réformés en 1970.
  • 10 Floirat Z-10-2 (nos 214 à 223); livrés en 1955 et réformés en 1971.
  • 5 Floirat Z-10-3 (nos 224 à 228); livrés en 1956 et réformés en 1972.
  • 1 Floirat Z-10-4 (no 229); livré en 1957 et réformés en 1974.
  • 2 Floirat Z-10-5 (nos 230 et 231); livrés en 1959 et réformés en 1974.
  • 8 Chausson AHH (nos 232 et 239); livrés entre 1960 et 1962 et réformés en 1977.
  • 4 Saviem Chausson 4 (nos 240 à 243); livrés en 1963 et réformés en 1977.
  • 6 Floirat Z-10 (nos 248 à 253); livrés entre 1965 et 1966 et réformés en 1971.
  • 58 Berliet PCM (nos 254 à 311); livrés entre 1967 et 1971 et réformés en 1985 et 1988.
  • 48 Saviem SC10 U (nos 312 à 359); livrés entre 1973 et 1978 et réformés entre 1989 et 1995.
  • 5 Saviem SC10 UMA (nos 201 à 205); livrés en 1977 et réformés en 1987.
  • 37 Renault SC10 R (nos 312 à 359); livrés entre 1982 et 1986 et réformés progressivement jusqu’en 2003.
  • 32 Renault PR 180.2 (nos 701 à 727 et 730 à 734) ; livrés entre 1985 et 1994, à partir du 727 : livrés en 2001 (mis en service en 1989 à la RATP), réformés entre 2001 et 2016 ;
  • 55 Renault PR 100.2 (nos 401 à 455) ; livrés entre 1987 et 1990 réformés entre 2002 et 2014.
  • 13 Renault R 312 (nos 201 à 213) livrés entre 1988 et 1995, réformés progressivement de 2014 à 2015 (le 201 a été vendu à Genève en 1997);
  • 2 Setra S 215 SL (nos 301 et 302) ; livrés en 1990 et réformés en 2008.
  • 7 Mercedes-Benz O 405 N (nos 501 à 507), livrés entre 1992 et 1993, réformés en 2014.
  • 4 Mercedes-Benz O 405 GN (nos 601 à 604) livrés en 1995, réformés en 2014 (604) et 2015 (601 à 603) ;
  • 2 Renault PR 118 (nos 728 et 729) livrés en 1998 et 1999 (mis en service entre 1995 et 1997 à Renault Véhicules Industriels), réformés en 2016 ;
  • 18 Renault Agora S (nos 521 à 538) livrés en 1997 et 1998, réformés entre 2016 et 2022 .
  • 9 Renault Agora L (nos 621 à 629) livrés entre 1998 et 2000 ; réformés en 2018 et 2021 ;
  • 14 Irisbus Agora S (nos 539 à 542, 544 à 553) livrés en 2002, réformés entre 2016 et 2023 ; le 542 à brulé dans un incendie.
  • 7 Irisbus Agora L (nos 630 à 636) livrés entre 2002 et 2003 ; réformés entre 2021 et 2022.
  • 10 Heuliez GX 317 (nos 310 à 319) livrés en 2003 ; reformés entre 2022 et 2024.
  • 3 Irisbus Citelis 18 (no 642, 644, 646) livré en 2008 et réformés en 2023, le 644 a été détruit par un incendie en 2015.
  • 4 Heuliez GX 327 (nos 94631, 94632, 94633, 94634) livrés en 2012 ; et vendus en 2018 aux réseaux de Verdun, Saint-Avold et Metz. Le 94633 a été vendu en 2023.

Anciens midibus réformés

[modifier | modifier le code]
  • 8 Saviem-Chardon SB2 (nos 101 à 108) livrés entre 1978 et 1979 et réformés entre 1983 et 1986.
  • 10 Van Hool AU138 (nos 131 à 140) livrés entre 1983 et 1987 et réformés entre 1997 et 2006.
  • 4 Heuliez GX 117 (nos 141 à 144) ; livrés entre 2001 et 2002 et vendus en 2008.
  • 4 Heuliez GX 127 (nos 73 et 74) loués entre 2019 et 2021 à Heuliez, en provenance de Vichy, puis revendus par le constructeur. Puis 2 autres loués entre 2022 et 2023 en provenance de Sens.

Anciens minibus réformés

[modifier | modifier le code]

Liste incomplète[16].

  • 2 Peugeot J9 (nos 181 à 182) livrés en 1981 et réformés en 1992.
  • 6 Renault Master (nos 21 à 25, 31) livrés en 2005 et 2007 et réformés en 2022.
  • 2 Dietrich City 21 (nos 13, 14) livrés en 2013 et 2015 et réformés en 2015 et 2022
  • 2 Dietrich City 23 (nos 14, 15) livrés en 2016 et réformés en 2024

L'unique dépôt du réseau se situe au siège de Soléa rue de la Mertzau à Mulhouse (47° 45′ 44″ N, 7° 20′ 05″ E).

Certains accidents ou incidents concernant les tramways mulhousiens sont assez fréquents (en moyenne 1 toutes les 2 semaines) cela peut être assez spectaculaire, telles les collisions avec d'autres véhicules.

Les accidents de bus demeurent assez rares, certains incendies (bus 644 et 542) sont dus à des défaillances techniques.

Les agents de Soléa assurent la sécurité tous les jours, en particulier pendant la crise de Covid-19, des haut-parleurs ont été mis en place sur les arrêts de tramway pour rappeler les gestes barrières.

Les pompiers font souvent des rappels de sécurité avec des exercices sur le terrain avec des agents de Soléa.

Personnel d'exploitation

[modifier | modifier le code]

L'entreprise Soléa emploie fin décembre 2018 611 salariés dont 397 conducteurs, 76 agents des services technique, 37 personnes chargées de l'exploitation, 41 pour la prévention et la sécurité et 60 pour les services annexes (administratifs, commerciaux, etc.)[5].

Information aux voyageurs

[modifier | modifier le code]

L'information aux voyageurs passe par les écrans installées à bord des tramways et des bornes d'information présentes aux stations et de tramway et aux principaux arrêts de bus. Le système d'aide à l'exploitation et à l'information voyageurs (SAEIV) permet d’indiquer en temps réel le passage du prochain bus, les perturbations, les correspondances ou ajuster les départs entre bus et tramway. Les SAEIV sont toutes équipés de haut parleurs pour les mal-voyants, qu'on active grâce à une télécommande spéciale.

Soléa informe via les réseaux sociaux, à travers ses comptes Facebook et YouTube, ainsi que par des applications smartphone[5].

Tarification et financement

[modifier | modifier le code]

La configuration du réseau, qui inclut une ligne de tram-train sortant du périmètre de l'agglomération mulhousienne, implique un système tarifaire particulier comprenant quatre zones, dont trois (B à D) nécessitent un titre « Attitudes »[18] :

  • La zone A correspond à Mulhouse Alsace Agglomération. Dans ce périmètre c'est la tarification Soléa qui s'applique ;
  • La zone B correspond aux communes de Wittelsheim et Cernay. Dans ce périmètre, un voyage en bus Soléa ou en tram-train depuis la zone A vers la gare de Graffenwald et avec un titre « Attitudes » dans les autres situations ;
  • La zone C correspond aux communes de Vieux-Thann et Thann ;
  • La zone D correspond aux autres communes desservies par la ligne TER au-delà de Thann et jusqu'à son terminus à Kruth.

Jusqu'en , la zone A était elle-même découpée en deux zones (A1 et A2)[19].

Ce zonage disparaît avec la fin des titres Attitudes le , la tarification TER Grand Est s'appliquant sur le tram-train au delà de la gare de Graffenwald[20].

Tarification

[modifier | modifier le code]
Oblitérateur à tickets Soléa.
Tarification Soléa
[modifier | modifier le code]

La tarification repose sur un système composé de tickets et de cartes d'abonnements papier accompagnées d'un coupon mensuel ou annuel ; le réseau Soléa ne dispose pas en effet d'une billetterie moderne reposant sur une carte à puce RFID comme à Strasbourg par exemple. En revanche, l'utilisation du « Compte mobilité », qui permet de regrouper sur un seul compte ses abonnements Soléa, VéloCité, Citiz et parkings payants permet d'obtenir une carte de transport spécifique et des titres de transport à tarif réduit[21].

La tarification actuelle, mise en place le 1er juillet 2019, a introduit l'aller-retour sur le ticket unitaire ainsi qu'une baisse des prix de certains tickets, ce qui constitue une première dans l'histoire du réseau[22].

Un ticket un voyage coûte 1,50  (1,30  via le « compte mobilité », 2  auprès du conducteur, et 13  en carnets de dix) et permet l'aller-retour, l'achat d'un titre « Duo » à 3  permet deux voyages d'une heure, un titre valable 24 heures coûte 4,50  (5  en version famille et 15  en version destinée aux groupes scolaires de 30 personnes maximum) ; le réseau est gratuit en cas de pics de pollution à l'ozone[23]. Un ticket journée destiné aux groupes de trente personnes maximum est vendu à 15 [23].

Un ticket vendu 2  (gratuit pour les abonnés) est vendu aux automobilistes garant leur voiture en parc relais et permet un aller-retour en tramway dans la journée[23].

Des formules d'abonnements au mois et à l'année existent selon trois tranches d'âge[23] : moins de 26 ans, 26 à 64 ans et 65 ans ou plus. En version annuelle, un abonnement destiné aux déplacements professionnels existe tout comme une option incluant l'accès au service d'autopartage Citiz[23]. Un abonnement mensuel à tarif réduit « Joker » existe aussi pour les demandeurs d'emploi[23].

Tarification « Attitudes »
[modifier | modifier le code]

La tarification « Attitudes » est nécessaire pour emprunter le tram-train au-delà de la gare de Lutterbach et repose sur trois titres occasionnels (tickets un voyage, aller-retour et carnet de dix) et un abonnement mensuel[23]. Le tarif varie en fonction du nombre de zones empruntées[23] : par exemple, le ticket un voyage coûte de 4,70 à 6,70 .

Les titres Attitudes sont supprimés le et sont remplacés par la tarification TER classique pour les trajets continuant au delà de la gare de Graffenwald, les titres Soléa s'appliquant jusqu'à cette limite[20].

Autres tarifs intermodaux
[modifier | modifier le code]

Les tickets et abonnements « Alsa+ » permettent de combiner l'utilisation des réseaux Soléa, Fluo Grand Est et TER Grand Est avec un seul titre[23]. Enfin, les titres transfrontaliers « DuAL » permettent de voyager entre Mulhouse, Müllheim et Fribourg-en-Brisgau ainsi que d'utiliser le réseau Soléa et ceux du Regio-Verkehrsverbund Freiburg (de)[23].

Canaux de distribution

[modifier | modifier le code]

Les titres et abonnements sont distribués via des canaux de vente variés[23] : les principaux sont les agences commerciales (Gare de Mulhouse-Ville et Porte Jeune), les distributeurs installés aux stations de tramway, l'application smartphone officielle et la e-boutique sur internet. De nombreux commerces partenaires vendent certains titres comme les carnets de tickets et les conducteurs de bus vendent les tickets « un voyage » et « Duo » exclusivement[23].

Financement

[modifier | modifier le code]

En 2019, le financement du fonctionnement du réseau (entretien, matériel et charges de personnel) est assuré par Soléa. Cependant, les tarifs des billets et abonnements dont le montant est limité par décision politique ne couvrent pas les frais réels de transport. Le manque à gagner est compensé par l'autorité organisatrice, Mulhouse Alsace Agglomération. Elle définit les conditions générales d'exploitation ainsi que la durée et la fréquence des services. L'équilibre financier du fonctionnement est assuré par une dotation globale annuelle à Soléa, notamment grâce au versement transport payé par les entreprises de plus de neuf salariés et aux contributions des collectivités publiques.

La précédente délégation de service public (DSP) a commencé le pour une durée de 8 ans. Le délégataire est Transdev (nommé Veolia Transdev entre et ) comme pour la précédente DSP[24]. À la suite du report sine die des extensions de tramway[25],[26], le réseau actuel ne va pas être bouleversé dans les prochaines années. Cependant, dans l'attente d'une relance du projet, la ligne 4 du bus à haut niveau de service de Mulhouse est mise en place en pour desservir Kingersheim et Wittenheim sur le tracé de la ligne 1 ; une seconde ligne est étudiée sur le tracé de l'extension de la ligne 2[27],[28].

D'autres lignes pourraient être également aménagées pour fluidifier le trafic bus et le rendre prioritaire au niveau des feux tricolores. La certification des lignes va également se poursuivre. Le service de transport doit être étendu en . La tarification multimodale devrait également être généralisée dans toute l'Alsace, comme cela est prévu dans la convention SNCF-Région 2010-2018. Un nouveau plan de déplacement urbain (DPU) devra être réalisé pour 2013 par l'autorité organisatrice des transports.

La délégation de service public est renouvelée à Transdev pour six ans le avec comme objectif une refonte et une simplification du réseau de bus en , la simplification de la tarification et à plus long terme l'extension des parcs relais[29].

À long terme, les extensions du tramway, au nord pour la ligne 1 et à l'est pour la ligne 2, devraient être réalisées. Le Tram-Train devrait également être étendu et desservir l'intégralité de la ligne de Lutterbach à Kruth et ainsi remplacer le TER. Le Schéma de cohérence territoriale (SCOT) prévoit d'autres extensions du réseau en transport en commun en site propre (TCSP) vers Pfastatt, Illzach et Riedisheim. L'utilisation du réseau ferré existant est également envisagée : vers Altkirch (ligne Mulhouse-Belfort), vers la vallée de Guebwiller, vers Habsheim (ligne de Strasbourg-Ville à Saint-Louis) et en direction de l'Allemagne (ligne de Mulhouse-Ville à Chalampé)[30],[31].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Cinq rames surnuméraires ont été louées puis vendues au tramway de Melbourne après 2008 : 2003, 2006, 2011, 2013 et 2023.
  2. La numérotation des Avento (tram-train) est nationale, les rames TT01 à TT15 sont exploitées par la SNCF sur la ligne 4 du tramway d'Île-de-France

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Transdev rachète Soléa
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y et z « Histoire du transport public mulhousien », sur solea.info (consulté le ).
  3. a b et c « Mulhouse - Trolleybus », sur amtuir.org (consulté le ).
  4. « Transdev rachète Soléa, l’exploitant des transports urbains de Mulhouse », sur busetcar.com, (consulté le ).
  5. a b c et d « Chiffres-clés (décembre 2018) », sur solea.info (consulté le ).
  6. « Focus sur le transport de passager dans l’agglomération de Mulhouse », sur Vialsace.eu, .
  7. « Réseau de bus Soléa : (r)évolution en vue pour la rentrée », sur mplusinfo.fr, (consulté le ).
  8. a et b « Le service Domibus », sur solea.info (consulté le ).
  9. « DOMIBUS // M2A », sur mulhouse-alsace.fr (consulté le ).
  10. a b et c « Vélo / SOLEA », sur solea.info (consulté le ).
  11. « Voitures / SOLEA », sur solea.info (consulté le ).
  12. a et b « Parking + tramway », sur solea.info (consulté le ).
  13. a et b « Un réseau accessible », sur solea.info (consulté le ).
  14. a et b « Etat de parc Mulhouse », sur tc-alsace.eu, .
  15. a et b « 12 tram-trains Avanto pour l'agglomération de Mulhouse », sur swe.siemens.com, .
  16. a b c et d « État de parc Soléa, complété par les membres de TC-Alsace », sur docs.google.com, (consulté le ).
  17. « Mulhouse Alsace Agglomération (m2A) - Conseil d'Agglomération réuni en date du 28 novembre 2019 », sur mulhouse-alsace.fr, (consulté le ).
  18. « carte du zonage tarifaire Attitudes », sur e-boutique.solea.info (consulté le ).
  19. « Transports: Une meilleure desserte du nord de l’agglo à partir de septembre », Journal l'Alsace du 21 mars 2013, consulté le 27 avril 2013.
  20. a et b « Suppression de la tarification Attitudes », sur solea.info (consulté le ).
  21. « Compte mobilité », sur solea.info (consulté le ).
  22. « Mulhouse inaugure une baisse du prix du ticket de bus et de tram sur son réseau », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  23. a b c d e f g h i j k et l « Soléa // Liste des tarifs », sur solea.info (consulté le ).
  24. Transdev renouvelé pour l'exploitation du réseau de Mulhouse
  25. DNA du 24 juin 2010 : Mulhouse, abandon des extensions du tramway
  26. « Reportage France 3 Alsace Mulhouse : l'extension du tram stoppée »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  27. [PDF]« Bulletin municipal trimestriel de la commune de Wittenheim décembre 2012-février 2013 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) sur le site officiel de la commune ville-wittenheim.fr, consulté le 22 février 2013.
  28. « Dans l’attente de cette connexion avec le réseau de tram existant, l’agglomération travaille à la mise en place d’un bus à haut niveau de service sur l’axe concerné. » extrait du « PV du conseil municipal de la commune de Wittenheim du 24 octobre 2012 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) sur le site officiel de la commune ville-wittenheim.fr, consulté le 22 février 2013.
  29. Vincent Lemiesle, « Transports en commun à Mulhouse: Soléa rempile pour six ans et nous promet le meilleur pour 2024 », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  30. Carte du développement des TCSP
  31. « Le réseau TCSP prevu en place dans le SCOT »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]