Gaudiempré — Wikipédia
Gaudiempré | |||||
L'église Saint-Nicolas. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC des Campagnes de l'Artois | ||||
Maire Mandat | Luc Delaporte 2020-2026 | ||||
Code postal | 62760 | ||||
Code commune | 62368 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gaudiemprois | ||||
Population municipale | 212 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 10′ 43″ nord, 2° 31′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 114 m Max. 169 m | ||||
Superficie | 6,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-le-Comte | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | http://gaudiempre.fr/ | ||||
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Gaudiempré est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Gaudiemprois.
La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 141 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais dans la vallée de la Quilliene, Gaudiempré est une commune rurale de l'Artois situé à 14 km à l'est de Doullens, à 35 km au sud-ouest d'Arras et à 63 km au sud-ouest de Lille.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 6,26 km2 ; son altitude varie de 114 à 169 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
Le territoire de la commune, situé dans le bassin Artois-Picardie, est traversé par la Quilliene, un cours d'eau de 11,88 km, qui prend sa source dans la commune de Saulty et se jette dans l'Authie au niveau de la commune de Thièvres dans le département de la Somme[3].
Deux autres petits cours d'eau drainent la commune :
- le Ruisseau de Beaucamp, cours d'eau naturel non navigable de 5,1 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Amand et se jette dans la Quilliene au niveau de la commune de Pas-en-Artois[4] ;
- le Chapelle Saint-Liévin, cours d'eau naturel non navigable de 1,49 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Amand et se jette dans le Ruisseau de Beaucamp au niveau de la commune[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 872 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 4 km à vol d'oiseau[8], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,4 | 3,3 | 5,1 | 8 | 10,8 | 12,8 | 13,1 | 10,7 | 7,9 | 4,5 | 1,9 | 6,7 |
Température moyenne (°C) | 3,5 | 4 | 6,7 | 9,5 | 12,6 | 15,5 | 17,8 | 18 | 15 | 11,2 | 6,9 | 4 | 10,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,7 | 6,5 | 10,1 | 13,9 | 17,2 | 20,2 | 22,9 | 23 | 19,4 | 14,5 | 9,4 | 6,2 | 14,1 |
Record de froid (°C) date du record | −13,6 01.01.1997 | −13,7 07.02.1991 | −9,9 04.03.05 | −3,8 02.04.1996 | −0,9 05.05.1996 | 1 02.06.1991 | 5,5 19.07.1989 | 5,2 05.08.1989 | 2,5 25.09.03 | −4,7 24.10.03 | −8 24.11.1998 | −13,2 29.12.1996 | −13,7 1991 |
Record de chaleur (°C) date du record | 14,8 09.01.15 | 17,4 24.02.21 | 23,2 31.03.21 | 26,2 15.04.07 | 30,9 27.05.05 | 34 18.06.22 | 39,4 25.07.19 | 37,7 06.08.03 | 33,4 15.09.20 | 28,2 01.10.11 | 19,4 07.11.15 | 14,9 07.12.00 | 39,4 2019 |
Précipitations (mm) | 79,1 | 69,4 | 69,7 | 53 | 66,6 | 71,5 | 77 | 81,3 | 67,3 | 78,6 | 85,1 | 101,1 | 899,7 |
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[12].
Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composée pour 70% en culture[13].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : la vallée de la Quilliene, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 ha et d'une altitude variant de 65 à 154 mètres. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[14].
Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 261 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 29 protégées et 14 taxons (espèces et sous-espèces) menacées et quasi-menacées[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Gaudiempré est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), prairies (9,1 %), forêts (7,2 %), zones urbanisées (4,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales D 1 et D 23 et est située à proximité de la RN 25 reliant Amiens à Arras[21].
Transport ferroviaire
[modifier | modifier le code]La commune se trouve à 24 km au sud-est de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[22].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Gunduwini pratum en 1179 (titres de Haute-Avesnes, p. 11), Gondewinpre en 1180 (ibid., p. l4), Gaudinpre en 1220 (ibid.,p. 37). Goediempre en 1262 (ibid., p. 46), Geudimpre en 1291 (cartulaire des chapellenies d'Arras, f° 106 r°). Geudinpré en 1383 (Abbaye Saint-Vaast d'Arras, H. 1149), Geudiempré en 1424 (Arch. nat., S. 5207), Gheudiempré en 1499 (charte d'Artois), Goudepré en 1515 (Arch. nat., J. 1005, n°2), Geudepré en 1518 (ibid., J. 795, n° 47, f° 18 v°), Galiompré en 1618-1619 (abb. de Saint-Vaast, reg. H. 221), Geudiemprez en 1665 (Arch. nat., S. 5207, n° 13)[23], Gaudiempré en 1793 et depuis 1801[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]La route départementale RD-1, connue sous le nom de chaussée Brunehaut, passe au sud-est du village, ce qui laisse penser qu'il s'agirait d'une ancienne voie romaine.
En 1262 existait à Gaudiempré une maison de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui dépendait de sa commanderie de Haute-Avesnes[23].
Circonscriptions d'Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Sous l'Ancien Régime, Gaudiempré, en 1689, faisait partie de la sénéchaussée de Saint-Pol et suivait la coutume de la châtellenie de Pas. Son église paroissiale qui dépendait du diocèse d'Arras, doyenné de Pas, était consacrée à saint Nicolas et avait Grincourt pour secours[23].
Avant la Révolution française, Gaudiempré était le siège d'une seigneurie[24].
Seigneurs de Gaudiempré
[modifier | modifier le code]Wallerand Obert, écuyer, est en 1585, seigneur de Gaudiempré, Grévillers, conseiller du roi Philippe II, procureur général en la province d'Artois. L'élection d'Artois rend une sentence le déclarant noble le [24].
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]Gaudiempré était membre de la Communauté de communes du canton de Pas-en-Artois, créée fin 1997 et qui a fisionné avec la communauté de communes des villages solidaires pour crééer en 2008 la communauté de communes des Deux Sources. Celle-ci a été dissoute fin 2016, et Gaudiempré a été rattachée le ) la communauté de communes des Campagnes de l'Artois, dont elle est désormais membre.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie depuis 1803 du canton de Pas-en-Artois[1].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte, qui n'est plus qu'une circonscription électorale.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]À la suite de la fermeture de l'école du village en 2002, les enfants de la commune sont scolarisés à Pas-en-Artois[32]. La mairie occupe désormais les locaux de cette ancienne école[32].
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[33].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Gaudiemprois[34].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 4], en évolution de +7,61 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 101 hommes pour 97 femmes, soit un taux de 51,01 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Le village, a vocation agricole, compte en 2019 plusieurs exploitations agricoles. Dépourvu de commerces de proximité, il accueille plusieurs artisans[32].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Nicolas, datant de 1620[40] qui a été rénovée dans les années 1990[32]. Elle héberge trois éléments patrimoniaux inscrits au titre d'objet des monuments historiques[41].
- Le monument aux morts[42].
- La stèle à la mémoire du mitrailleur Andrew Mynarski (en), située rue de Saint-Amand[43].
- Un calvaire.
- L'arbre de la Liberté, érable planté en 1789 pour commémorer la Révolution française et l'arbre de la paix, planté en 1995 pour rappeler les 50 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale[32].
- Le monument aux morts.
- Un calvaire.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Andrew Mynarski (en), aviateur canadien qui s'est écrasé la nuit du 13 au à la sortie du village à la suite du débarquement de Normandie[32].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De sinople à la fasce ondée d'argent accompagnée au 1er canton d'un soleil d'or[44]. | |
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Détails | Adopté par la municipalité en 1994. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « Gaudiempré » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 12 NE, Amiens [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Quilliene (E5500600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Beaucamp (E5500630) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Chapelle Saint-Liévin (E5501920) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gaudiempré et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quilliene, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Gaudiempré ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Comte Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 167, lire en ligne sur Gallica.
- Amédée Le Boucq de (Chevalier) Auteur du texte Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, par M. le chevalier Amédée Le Boucq de Ternas,... œuvre posthume publiée par sa famille. (29 octobre 1878.), (lire en ligne)
- « Siméon Menuge, maire de Gaudiempré, nous a quittés : Premier magistrat depuis 1989, Siméon Menuge est décédé, samedi 7 septembre à l’âge de 79 ans. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Bilan des maires - Gaudiempré - « Une période de transition et une élection partielle » : Le décès de Siméon Menuge, le 7 septembre, va forcément bousculer la donne pour les prochaines municipales. C’est avec Albert Dingreville, premier adjoint, que nous avait fait le point sur la commune (178 habitants) de la CC des Deux Sources », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Gaudiempré : Albert Dingreville, nouveau maire pour cinq mois », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « le conseil municipal a élu le premier magistrat en la personne d’Albert Dingreville qui totalise 37 années comme élu dont trois mandats comme adjoint ».
- « Gaudiempré: Luc Delaporte devient premier magistrat : Après le décès de Siméon Menuge et les quelques mois assurés par Albert Dingreville, c’est dorénavant Luc Delaporte qui prend les rênes de la commune, à l’issue de la réunion du conseil municipal, vendredi soir dernier. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- N. A., « Gaudiempré (les projets des maires): « faire avec le budget jusqu’en 2026 » : Luc Delaporte a pris les commandes d’une municipalité endettée. Ce qui limitera forcément les investissements qui se réduiront, dans un premier temps aux mises aux normes imposées », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Sophie Diers, « L'Abeille se pose à ... Gaudiempré », L'Abeille de la Ternoise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gaudiempré (62368) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Lieu de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
- « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Stèle », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).